Au Début…

…J’étais un valeureux guerrier, même si j’avais quelques désaccords avec les lois, j’étais toujours reconnu comme étant Yarsil le combattant. Lorsqu’une bataille éclatait, c’était moi qu’on venait chercher pour la terminer. Je suis robuste et je ne crains pas le danger ou même la mort. Pour moi, la mort est une histoire de comment, car tôt ou tard elle doit venir, alors autant se donner la peine de partir en faisant quelques choses qui nous ont cher et important. Mes parents, surtout mon père avait pas mal de connaissance à Naturalia, ma ville natal, je me suis fait très vite des amis et des ennemis, et même si mon père semblait partager beaucoup de chose, je savais qu’il me cachait quelques chose et que même ma mère ne le savait pas. Il vivait dangereusement et plus je grandissait plus je ne voulais plus rien savoir et même me décider à quitter le foyer afin de m’éloigner d’éventuel futur problème.

Alors que je croyais ma vie réservé au sang, à l’entrechoc des armes et à la fureur du combat. Une femme a su me détourner d’un destin qui m’aurait amené rapidement à la mort. Ma petite Maeva a fait de moi ce qu’on appelle un homme civilisé. Je l’aimais au point d’avoir échangé mon épée contre une hache de bucheron et mon armure contre une tunique verte. Je taillais du bois du matin au soir pour pouvoir faire vivre celle qui allait devenir ma femme. On parlait d’enfants, de grande maison, d’un domaine, d’un avenir et plus on l’évoquait plus je m’y projeté. Le jour glorieux approcha, ma famille y était, la sienne également. Elle m’attendait, car seul ma présence manquait à l’appel. Je me rappelle qu’un duo d’homme m’avaient bloquer dans une taverne alors que j’annonçais que j’allais me marier. Il posaient d’étrange questions, des questions dont la réponses étaient évidente. Ce n’est qu’aujourd’hui ou je sais que c’était juste pour me faire perdre du temps.

Mon mariage fut un véritable carnage lorsque j’arrivais sur les lieux. L’autel au milieu de la forêt était en feu et en sang. Ma bien-aimée fut enlever, et alors que je ne croyais plus en rien, avec le seul espoir de la retrouver un peu plus loin, au pire avec des bandits me demandant une rançon…Par les dieux ! si seulement il avait pu s’agir d’une rançon, je l’aurais payer mille fois plus tôt que de découvrir ma femme pendu dans un arbre avec un message écrit avec son sang…

Depuis ce jour, mon cœur fut brisé, mon esprit adepte de la rage et de la colère. Mon cœur était dur et froid comme la pierre. Mes yeux crachait la haine, main mains étaient devenu des engins de mort. La mort que je ne craignais pas m’avait transformé en son plus simple instrument. La vengeance fut ma seul ambition, après avoir tenté de ressusciter ma belle. La nécromancie de Maléficium, la lumière de la tour blanche, les potions des rouges…rien ne pouvait m’aider…j’ai tué tous ceux qui ne voulait pas m’aider. Je me fou des guerres, je me fou des anges, je me fous des dieux et des hommes. Tout ce que je veux, c’est retrouver mes tourmenteur et ramener Maeva à la vie !

J’arrive mon amour…

Le sang coulera...les rivières deviendront rouge.

Mes actes:

Bellinda , allé marchande Naturalia

Andromaque , Lac

[/u]Murd, océan

Mes souvenirs:

Bellinda forêt

[u]Mes tourments:

Une personne…

…étonnante, dont l’aura à un drôle d’influence sur moi Bellinda m’accompagne depuis maintenant un petit moment. Le plus troublant, c’est que j’ai était envoyé pour la tuer en échange d’informations sur une éventuelle solution pour ramener Maeva à la vie. Mais le sort en avait décidé autrement. La mage rouge savait ou je pouvais trouver un des mercenaires que je recherchais. Secrètement, j’ai fait un lien entre cette situation et les fréquentations de mon père. Je m’approche de la vérité. Même si elle me semble si immense…

Pour revenir à mon acolyte, qui, je pense me surveille pour éviter de nouveau bain de sang, fut la première personne depuis mon mariage à réussir à repousser ma rage meurtrière. J’ai souvent des visions du passé. Même éveillé, la réalité se déforme et l’environnement et les gens prennent des forment familières…Pourquoi es ce que je la voit-elle avec les trait de Maeva ? je ne comprends pas. Surtout que j’ai voulu la tuer une deuxième fois. Lorsque j’ai commencé à réaliser l’influence qu’elle avait sur moi. Oui, je voulais m’en débarrasser pour qu’elle me laisse tranquille, pour me laisser seul dans ce cercle vicieux qu’était la haine. J’ai tant des questions pour elle, pourquoi reste elle, Pourquoi m’aide-t-elle lorsque je suis blessé ? Pourquoi me couvre-t-elle lorsque je suis recherché ? Je sens mon esprit souffrir et mon cœur saigner à côté d’elle, comme si on essayer d’aspirer un poison en mordant dans la chair.

Bellinda, qu’as-tu fais de moi ?

Maeva, j’sais pu…

…ma chérie je sais pu, si j’y crois encore ou si je suis perdu. Si tu es encore dans mes tourments. Je sais pu, je suis perdu. Pour toi j’ai tous laissé, pour toi j’ai tout donné, mon cœur mes armes et mon âme. Pour toi j’ai renoncé à la chair tendre des femmes. La vie ma donnée ta bonté, et la mort a pris la mienne. Je ne peux plus aimé avec mon regard rempli de haine ! Et parmi les gens, j’envie tout ceux qui y crois, j’envie tout ce qui peuvent encore aimer. Pourtant je suis un homme comme les autres qui doucement s’est noyé dans l’amertume des ténèbres et qui perd la foi en toi. J’sais pu Maeva, je me sens tellement seul sans toi. Es ce que c’est toi qui a voulu ? Que ton homme saigne et tue, j’sais plus…Avec toi j’arrivais à pardonner, maintenant c’est mes armes qui tranches. Pour toi je suis devenu quelqu’un de bien, mais depuis ton trépas je ne vois plus de lumière, ni de flamme pour me guider. Seule l’odeur du sang et de la vengeance me pousse. J’sais pu…Es ce que c’est la vie qui me rejette ? Sans que la mort m’accepte ?

Chaque jour mon amour, devient de plus en plus lourd, je cri ! Mais tu es sourd, j’ai perdu mon amour ! Ma princesse, c’est ma prière ! Je suis à genou devant des vœux, que je crois repartent vers les cieux et qui bientôt me diront adieu. Je suis…malheureux !

Pourtant je me souviens, avant que je me plaigne, avant que je blasphème, je pouvais dire je t’aime ! La vie était plus belle, les gens la rendait facile, il suffisait d’aider…Ma chérie tu me manque…toi qui sais tout sur moi, écoute les sanglots d’un homme qui te supplie à genoux, qui devient…fou.

J’sais plus, Maeva, je sais pu, je suis perdu , je sais pu si tu es encore là ou si je parle à mon âme. Tout ce que je sais, c’est que je suis encore là…et que je suis désolé…J’aurai voulu te prendre une dernière fois dans mes bras…et tout ce que j’ai, c’est encore ce son qu’était ton glas…

…dieux tu me manque…