Talent naturel [Terminer]

Cela ne fait que quelques heures, que l'on voit se promener un mage rouge encapuchonner sous une cape de même couleur, déclinant en aucun cas son appartenance pour cette castre d'herboristes de multi-talents. Leur domaine n'étant pas que la magie pur mais des potions qu'ils manipulent avec brio quand l'expérience est avec eux pour la réussite de se qui pourrait vous servir de remède quand la magie n'y peut rien. Bénélius, la cité de magie blanche. La plupart des habitants se font remarquer par leur statut de mage bénéfique, en grand nombre dans la cité lumineuse. La cité se manifeste pas une multitude de lieu toujours plus étincelant les uns que les autres.

Quoi de plus naturel que de chercher un lieu reposant après quelques jours de voyages à pied. Le froid arrive petit à petit et ceci sont de plus en plus difficile. Les contrer se couvrent d'un voile geler la nuit non très agréable se qui oblige de plus en plus le mage rouge à s'habiller un peu plus chaudement, se qui explique l'épaisseur de ses vêtements non négligeable. Mais il n'y a pas que ça. Outre mesure le fait que de se cacher au yeux de tous n'a rien à avoir avec le froid. Quelque chose que l'on ne peut juger au premier coup d'œil si l'on ne s'approche pas de lui pour en avoir les particularités qu'il possède. Le temps venu pour lui de se reposes les quelques heures ayant servit à visiter un peu la cité qu'il a pourtant visiter pour plusieurs raisons il y a bien des mois de cela. Les jardins de Bénécium sont réputé pour le calme que s'offre plusieurs types d'individu. La tranquillité y est si agréable que cela semble un bon endroit pour apaiser les forces ou simplement profiter des moments de sérénité immense d'offre ses jardins immense et remplit de couleur lumineuse. Se posant sur l'herbe parfaitement verte contre un arbre faisant assez d'ombre pour quelques personnes. Tout le monde prenait le soleil se qui fait que l'arbre en question est vide de présence. Tout cela semblait parfait pour le mage rouge qui semblait chercher la paix, se posant avec poids contre l'arbre encore vert, tout en poussant un énorme soupire de soulagement avant de respirer le plus calmement possible.

Pour ceux qui apprécier le calme des lieu n'est pas forcement pour s'y reposer. Certaines personne semblant mage s'exerce dans leur magie, tous ayant une maitrise différant alors que l'un d'eux semblait avoir vu le mage rouge pour saluer en premier temps et pour lui faire geste de s'approcher. La réponse étant un signe de main pour exprimer sa fatigue les mages blanc n'allait pas plus loin. Duscisio, tel qu'il se nomme, enleva sa capuche pour pouvoir sentir un peu le vent frais sur son visage, vent qu'il s'amusait un cours instant de manipuler avec se qu'il avait capturer de sa main, jouant avec en faisait une petite sphère de vent avant que celle ci se ne dissipe quand il ouvrit sa main, comme laisser une feuille partir au grès du vent. Si certain mage font leur exercice pourquoi pas lui ? Le repos qu'il prenait était presque suffisant. Il regardait les autres mages blancs faire comme il leur semblait dans leur manœuvre magique. Il respirait tranquillement, se reposait un maximum et voulais montrer un peu se qu'il voulait faire. Enfin montrer n'était pas le bon mot, savoir se qu'il sait faire serait une bien meilleurs expression. Il n'a utilisé sa propre magie que très peu ses derniers temps. Il enleva son sac de son épaule se leva et manifestait un flux magique particulier, ainsi que ses mots utilisé pour cette magie.

Acrigia, iciklia ti...
Acrigia, montre toi...

D'un ton bas ses mots était prononcé, mais une brise se transformant en un vent de plus en plus fort, le vent en question tournait autour du mage rouge d'un périmètre de plus en plus grand, bien trop grand bien sûr. Plus le vent devenait fort et grand, plus le flux magique de l'herboriste était important mais par ordre des choses la fatigue le gagne de plus en plus rapidement.

Mi, ti daliyio alasinia ti,... di ti filis ki mi ichtri puitisrun li tismni di ouni via, … di kioi plidi vi...
Moi ton serviteur t'appelle,... de ta force qui m'est prêter le temps d'une vie,... des quatre pôles vi...

Sentant une certaine limite venir soudainement, la bourrasque de vent se manifestant dans un large périmètre semblait diminuer fortement et soudainement pour disparaître comme il était arrivé. La briser était revenu mais Duscisio se mit à genou, encore plus fatiguer que quand il venais d'arriver. Son talent naturelle n'était pas suffisant. Alors que la plupart des mages manifestait leur stupéfaction en le regardant, celui ci se posa contre l'arbre exténuer. Il était allez bien plus loin qu'il ne le pouvait. Mais quel était cette incantation ? Personne ne semblait venir dans un premier temps, profitant de ce moment pour se poser contre l'arbre et respirer à fond...

Invité

Bénécius, la cité blanche. Plus la jeune elfe observait ces lieux plus elle si disait que son nom avait été bien choisi. A croire que rien ne pourrait jamais ternir l’éclat qui se dégageait de la cité en elle-même. Des monuments en marbre blanc, de la lumière éclatante et partout, des mages se promenant en tenue et grande cape blanche. De toute évidence, des mages bénéfiques, aussi connus sous le nom de mages blanc, évidemment. A croire que la couleur n’était pas de mise par ici. Tout étincèle et brille à sa manière mais seuls des voyageurs ou des étrangers se distinguent par des vêtements et des tenues aux teintes plus diverses. Du coup, elle qui avait l’habitude et surtout l’envie de passer plutôt inaperçu, on ne pouvait pas vraiment dire qu’elle arrivait à ses fins.

Ses vêtements de cuirs tannés dans les tons ocres voir brun la faisait devenir très voyante. Trop à son goût. Heureusement qu’elle n’était pas la seule étrangère à passer par ici. Finalement, pour une fois, elle appréciait presque être en contact avec tant de monde à la fois. Il est plus facile de se fondre dans la masse quant cette dernière vous ressemble. Pour rien au monde elle n’aurait voulu s’habiller de blanc comme cela semblait être la mode par ici. Alors, sans vraiment en prendre conscience, la jeune druide se mit à suivre les mouvements de foule les plus bigarrés qu’elle rencontrait quitte à faire de nombreux allers-retours. En même temps, ne connaissant rien de la cité, cela lui permit de prendre quelques repères.

Au bout d’un moment, ses errances finirent par l’emmener à l’entrée d’un parc. Plutôt d’un jardin. Immense. Dès qu’elle l’aperçut, elle n’eut plus qu’une envie : y aller. Bénécius était certes magnifique mais restait une cité traditionnelle. C'est-à-dire en pierre. Trouver un tel écrin de verdure par ici lui parut une véritable aubaine qu’elle ne voulait à aucun prix manquer. La voilà donc qui se mit à parcourir les allées verdoyantes et bien entretenues à pas lents, plus calme et un léger sourire aux lèvres. C’étaient presque comme se retrouver un peu chez soi que de flâner par ici. Le calme et la tranquillité des lieux l’imprégnèrent rapidement au point qu’elle se permit un instant de fermer les yeux.

Cependant, le calme ne dure jamais longtemps, surtout quand votre compagnon de voyage n’est autre qu’un petit singe incapable de tenir en place. L’animal ne put s’empêcher de partir seul faire son propre tour et voici donc la jeune fille en train de la suivre du coin de l’œil, juste au cas où. C’est quand le primate s’affola qu’elle accourut pour découvrir face à elle un spectacle un peu étrange. Un regroupement de mages blancs qui observaient avec étonnement un homme vêtu de rouge complètement affalé contre un arbre à quelques distances de là.

Sans se poser davantage de questions, la jeune druide traversa la marée de mage lui barrant le passage afin d’aller voir l’homme à la cape rouge. Il semblait très fatigué, respirant fort et un peu trop vite. Le singe, inquiet, remonta sur son épaule tandis qu’elle s’agenouillait face à l’inconnu. Son regard était clair, voilà qui était bon signe. Derrière elle, elle entendait le bourdonnement des voix des mages présents mais aucun ne semblait vouloir bouger. Alors, sans se soucier davantage des réactions des autres personnes présentes, elle lui demanda, sincèrement inquiète.

- Est-ce que vous vous sentez bien ? Je veux dire, est-ce que je peux faire quelque chose pour vous aider ?

Alors bine sur suite à cela personne n'osait l'approcher. Le manque d'expérience du jeune mage rouge lui donne une leçon. Ne jamais appeler se que l'on ne peut utiliser. A t-il vu trop gros pour une démonstration ? Une chose certaine est le fait qu'il n'a pas le niveau nécessaire pour un tel sortilège, son endurance magique est bien trop faible et pas assez développer. Avec le temps cela viendra, mais les priorités pour le moment sont de connaître un maximum de sujet pour fait appel à des capacités d'un herboriste digne de ce nom. Respirant bien fort mais trop rapidement, cela sembler inquiété certain sans qu'il n'ose tout autant s'en approcher. Il n'a besoin que de souffler un bon moment, reprendre une respiration normale bien que cela n'allait pas être facile. De son sac laisser à part il en sorti une gourde pour en boire quelques goutes, la gorge sèche, semblant ne plus pouvoir parler un petit moment il lâcha un petit zut tout en soupirant de sa faiblesse momentané. Va t-il devoir travailler cela ? Renforcer son entrainement spirituel ? Des penser sombres sur le fait de savoir comment il comptait faire fut interrompu par une personne qui finalement s'approcha de lui pour savoir s'il se sentait bien et le fait d'avoir besoin d'aide pour une quelconque raison. Heureusement qu'elle était là. C'était une femme. Celle ci n'avait rien à voir avec les mages blancs présent autour d'eux partant sans la moindre gêne. Cette femme n'était une mage blanche, elle dégageait une autre sorte de magie. Il le sentait. Gêne de Balibe que de sentir une tel magie dans chaque personne ? Surement. L'entrainement demeurent encore au vu qu'il ne connait rien de cette capacité. Le temps était à donner une réponse, juste histoire de rassurer la jeune femme.

C'est bon, j'ai juste besoin de repos.

Quel ironie. Venir ici pour se reposer et finalement être plus fatiguer qu'avant. Les yeux rougeoyant de Duscisio la regardait d'un air peiné, jusqu'à détourner le regard pour ne pas afficher cette peine. Il s'était fatigué pour un rien, s'en était presque frustrant. En plus de la fragilité de son corps il duit en subit la fragilité de son esprit. Néanmoins il ne renie pas se qu'il est. Le fait aussi qu'il ne sentait pas une seul regard mais deux, le deuxième étant un petit singe, le genre d'animal qui bouge tout le temps, il ne manquerait plus qu'il fouille dans les cheveux de la jeune femme pour y chercher de quoi manger et pour que Duscisio en rigole un peu. Surement domestiquer autant se montrer amical avec ses deux là, Duscisio reprit son sac pour chercher une éventuel nourriture qui traine dedans pour ce petit singe. Il aime aussi bien les animaux que la nature elle-même, mais bizarrement le plus intrigant était cette femme. Elle en avait l'odeur, l'odeur naturel, une certaine odeur de feuillage. Quand on a un nez aussi fin que le sien c'est évident de sentir une tel odeur. Plusieurs années maintenant qu'il traine de la nature afin d'y connaître tous les secrets.

Vous n'êtes pas une mage blanche. Druide ?

Bien que la réponse était évidente, le fait que Duscisio est beaucoup partager avec quelques druides qu'il a pu rencontrer pour en apprendre un peu plus sur se qui l'entourait. Sortant une noix trouver au fond de son sac de voyage, il la tendit au petit singe dans le creux de sa main, le choix étant pour le petit animal de la prendre ou non, pendant qu'il attendait la réponse de la jeune femme.

Invité

Par habitude et aussi par manque flagrant de courage, le petit primate était revenu se perché sur l’épaule de sa maitresse dès que cette dernière avait quitté le regroupement de mage. La sécurité relative que lui offrait la proximité de la jeune druide était un détail non négligeable pour lui. Aussi se fit-il beaucoup plus discret lorsqu’elle arriva à hauteur de l’homme vêtu de rouge. Etonnement, il semblait fragile, moins imposant qu’elle ne l’avait d’bord cru en l’apercevant de loin. Sans doute était-ce lié à l’effet de la cape qu’il portait qui, flottant doucement sur la légère brise présente, se gonflait doucement.

Dans tous les cas, il ne semblait pas dans un état trop préoccupant. Il respirait certes fortement mais les quelques gorgées d’eau qu’il absorba lui furent bénéfiques. Et puis, déjà, il lui répondit tranquillement, la rassurant en précisant qu’avec un peu de repos, tout rentrerait dans l’ordre. Même si elle ne le dirait pas à haute voix, elle préférait largement ça. Déjà, sans se soucier davantage de ce qu’il se passait, les petits groupes ayant suspendus leurs activités reprenaient chacun leur chemin, des échos lointains de discussion parvenant à ses oreilles sans qu’elle ne parvienne à saisir le sens du moindre mot. Et finalement, elle préférait qu’ils partent. Ils n’auraient été d’aucune aide de toute façon à rester ici à regarder bêtement ce qu’il se passait. Et elle avait horreur de cette sensation de se sentir observer sous tous les angles par tous les badauds présents.

- Dans ce cas, prenez votre temps. Je ne connais pas de meilleur remède à la fatigue.

La jeune elfe sourit doucement comme en signe d’encouragement. Elle était un peu intrigué par son regard rougeoyant et avait vaguement entraperçu cette expression de peine qu’il avait tenté de cacher. Elle n’en comprenait pas la cause et ne la chercherait pas. Mais elle resterait là le temps de s’assurer qu’il aille mieux. Elle était étonnée que personne ne se soit inquiété de son état à part elle et son compagnon. D’ailleurs, Ty’ee recommençais ses frasques, passant d’une de ses épaules à l’autre en escaladant sa tête, comme pour mieux observer la personne lui faisant face. D’ailleurs, la curiosité du petit singe monta en flèche dès que la main de l’homme en rouge disparut dans son sac.

La question qui suivit laissa la jeune druide un peu interrogatrice. Certes, il n’était pas difficile de voir qu’elle ne faisait pas partie de la caste prédominante de la cité. Mais de là à ce qu’il sache qu’elle soit druide, là, il la surprenait vraiment.

- Cela se voit tant que ça ? En effet, je suis druide de mon état. On m’appelle Myrrh. Et vous, puis-je vous demandez qui vous êtes car vous n’êtes pas non plus un mage blanc, ni un druide.

Une noix apparut alors au creux de sa main qui ressortait des entrailles de son sac. L’attention du petit primate fut sur le champ monopolisé par l’apparition du fruit. Déjà, le voilà qui s’approchait doucement, reniflant les doigts de l’homme avant de prendre la noix et de la secouer pour s’assurer qu’elle était vrai. Un petit cri fit office de remerciement avant qu’il ne se mette à cogner la coque contre une pierre pour pouvoir déguster son casse-croute inattendu. Le regard de la jeune fille se fit plus doux. Elle savait que son compagnon savait juger les gens à sa façon et ceux dont il n’avait pas peur ne représentait aucun danger pour elle.

- Et lui, c’est Ty’ee. Mon compagnon de voyage. N’est-ce pas, petit chenapan ?

Pour toute réponse, le capucin remonta sur l’épaule de la jeune fille, sa noix épluchée dans les mains avant de tendre à l’homme en rouge un petit morceau de cerneau en singeant le mouvement que ce dernier avait fait pour lui offrir le fruit quelques minutes auparavant.

- C’est sa manière de vous remercier. Vous êtes plutôt chanceux, on dirait qu’il vous aime bien.

Les exercices de respiration sont parfois utile, comme les entrainements dont il a l'habitude de faire pour simplement contrôler son propre corps. Jamais on aurai soupçonner ce jeune homme aussi expérimenter. Cela fait trois années qu'il passe à voyage dans le monde entier de Nel Beraid pour en connaître toujours plus. Aujourd'hui encore il pourrait en apprendre d'autres, aujourd'hui d'ailleurs il a apprit à ne jamais fait plus que se qu'il ne peut faire. S'il devait se défendre et que le sortilèges avait échouer il serait sans doute dans un sale pétrin. Fort heureusement, étant en Bénécius il n'a pas vraiment de soucis à se faire. Petit à petit il reprenait son souffle d'où le conseil de la jeune femme qui lui disait de prendre son temps. Prendre son temps. Il en a déjà conscience qu'il se sert absolument à rien de se presser. La preuve étant dans l'expérience acquit dans les plantes trouver dans la nature, il se trouve même que dans son sac se loge un petit livret de note pour s'y retrouver, qu'il lit de temps à autre si se n'est tout les jours pour en avoir besoin le moins possible. Il existe des milliers d'espèce de plantes, beaucoup se ressemblent le voyage est un bon moyen de les reconnaître parmi les autres afin de ne pas faire la moindre erreur.

En y mêlant le sourire de la jeune femme et de son animal qui faisait le singe – rien de bien étonnant au fait que s'en ai un – la fatigue semblait disparaître plus facilement, l'ambiance est un signe de repos, reposant le flux magique de l'albinos en lui-même afin de continuer la discutions. Il avait vu juste. C'est bien une druide qui se trouve parmi elle. Il ont des signes de reconnaissance particulier. L'un d'eux et cette odeur de nature qui émane d'eux. Le fait aussi que Duscisio est un peu cette odeur en lui à cause de ses épopées dans la nature à travailler son nez à reconnaître les odeurs fines quand celle ci se présente sans aucune autre aux alentours. Elle se nommais Myrrh, un nom qui ne ressemble à aucun autre, comme le sien qui est pourtant plus ou moins connu de certaine personne ayant prit part de la connaissance et l'existence d'une certaine personne de son rang, de sa famille.

Duscisio Diasti Balibe. Je suis un mage rouge, bien que je préfère le terme Herboriste pour me qualifier, apprenti-herboriste pour faire un peu plus juste.

En citant le nom il y eu quelques surprises autour de lui, les mages blancs l'ayant entendu se murmurait entre eux pour savoir où il avait déjà entendu ce nom par le passée. Vivant reculer il n'espère pas grande surprise de la jeune femme se trouvant en face de lui. Le singe se nommait Ty'ee. Une autre preuve que cette demoiselle ne sort pas d'une quelconque famille pour avoir un nom aussi original donner à son familier. Venant de lui, il éprouve une certaine nostalgie à ne pas connaître quelqu'un qui porte un nom courant. Ça change. Il ne possède pas de compagnon de voyage, préférant la solitude afin de travailler sans peine. Le jeune apprenti aime bien la solitude. Moins de soucis moins de stress. Travailler avec le seul son d'ambiance que la nature offre, autant en profiter avant de posséder peut-être un jour sa propre boutique en ville. Naturalia en possède déjà une d'après se qu'il a vu. L'herboristerie Mystique, depuis quand cette boutique existe ? De la concurrence à créer ? Non, loin de là, sachant qui en ai le propriétaire il préférait carrément y travailler. Cela serait une chance inouï !
Le petit singe avec accepter le présent du mage rouge qui le regardait de ses yeux grenat avant de porter attention à la jeune femme qui lui adresser l'une des remarques sur son compagnon.

Cela doit être dû au fait d'être aussi prêt de la nature que vous. J'aime la nature et se qu'elle m'offre. Leur habitants me remercie de cette gratitude comme ils le peuvent... Enfin je vois ça comme ça du moins.

Invité

La jeune druide contemplait alternativement le petit animal lui tenant lieu de compagnon et le jeune homme qu’elle venait de rencontré. La jeune femme se fiait beaucoup aux diverses réactions du petit singe depuis qu’elle avait quitté sa forêt natale car si elle avait du mal à ne pas tomber dans certains pièges du fait de sa naïveté, le capucin lui ne se laissait pas facilement berné. Sans doute son caractère sauvage jouait-il en sa faveur, elle n’avait aucune certitude. Si ce n’est que sa présence risquait de lui manquer cruellement le jour où il déciderait de la laisser.

Ses pensées revinrent vers ce qui se déroulait à l’instant présent. L’homme au manteau rouge se remettait doucement mais surement et cela la rassurait. Il avait retrouvé des couleurs et respirait plus calmement. La jeune femme était toujours surprise que personne ne soit venu à son aide avant elle mais elle préférait garder ses interrogations pour plus tard. En même temps, il y avait tellement de choses qu’elle ignorait. Son éducation était loin d’être inexistante mais elle s’était basée sur des données et des apprentissages complètement différents et qui ne lui étaient pas forcément nécessaire par ici. De ce fait, elle ne se sentait pas vraiment à sa place. Elle avait hâte de retourner en forêt bien que la nature présente ici lui permette déjà de se sentir plus à son aise.

L’homme face à elle se présenta à son tour. Par réflexe, une légère moue lui échappa à son nom. Il était si long qu’elle doutait d’arriver à le retenir correctement. Puis, il lui expliqua faire partie des mages rouge, ce qui expliqua clairement mieux la couleur si spéciale de son manteau. Les mots qu’il employa par la suite l’intéressèrent tout particulièrement. Herboriste. Ou dans son cas, apprenti. Voilà des termes et des connaissances qu’elle connaissait et sans doute partageait en partie pour avoir passée sa vie en pleine nature. Un sourire vint illuminer son visage. Il semblait même assez modeste pour reconnaître que ses connaissances n’étaient sans doute pas parfaites. Peu de gens l’admettaient, même parmi les siens.

La druide remarqua discrètement le moment d’arrêt de certains à son nom mais cela ne dura qu’un instant. Puis, chacun reprit sa vie là où il l’avait laissé. Elle ne douta pas une seconde du sa proximité avec la nature. Elle s’en voulait presque de ne pas l’avoir sentie avant, déçue de ne pas avoir réaliser ce détail. Elle devrait être plus vigilante à l'avenir.

- D’une certaine façon, vous jouez les intermédiaires entre la nature et les hommes. C’est une place très honorable.

Maintenant, le calme semblait définitivement revenu sur les jardins, comme si rien ne s’était jamais passé. Perché sur son épaule, Ty’ee finissait de manger son fruit, ne laissant aucune miette réchapper de son appétit. Après une caresse portée avec tendresse sur le dos du petit animal, la jeune femme demanda.

- Puis-je vous demander ce que vous êtes venu faire par ici ? Et aussi, pourquoi les mages ont semblé réagir à l’annonce de votre identité ?

La jeune femme se révélait curieuse. Elle avait bien compris depuis le début qu’elle possédait de sérieuses lacunes dans ses connaissances du monde en général. Ce voyage et ses rencontres imprévues étaient pour elle le meilleur moyen de remédier à cet état de fait.

La nature animal a tout de même un sacré potentiel. En plus de savoir que faire, quand le faire et comment le faire fascine beaucoup de personne. Duscisio et la jeune druide étant de cette ligner de personnes se souciant beaucoup de la nature. Le petit singe de cette demoiselle de nature savait que Duscisio pouvait être quelqu'un a qui ont peut faire confiance. C'est l'instinct animale, il n'y a pas mieux. La nature offre tant de choses qu'elle n'a pas fini de nous surprendre. En parlant de surprise il y avait quelques choses qui lui turlupinait depuis peu. La réaction des mages blancs à son nom qu'il n'avait pas dit à voix basse se faisait remarquer. La place qu'il occupait entre la nature et l'homme. Quel poésie. On en oubliait les murmures avoisinants sur son sujet. Il fallait la regarder. Celle qui était la plus supposer sur cette position était bien elle. Une druide, connu pour leurs symbiose avec la faunes et la flore.

Vous êtres la mieux placer pour ce titre je pense.

Le sourire en coin lui faisait reconnaître de toutes sa gratitudes. Duscisio ne cherchant point à prendre une tel ou tel place tant qu'il n'aura pas l'expérience nécessaire pour s'occuper de sa propre boutique sans faire d'erreur. Après ses années de voyage l'expérience acquit est certaine énorme, le fait de voyager tout autant quand il aura trouver sa place dans l'herboristerie sera tout aussi importante. Il n'a jamais fait encore de potions ou de remèdes, il n'a fait qu'être le cueilleurs d'herboristes déjà expérimenter dans le métier et déjà reconnu pour prendre les meilleurs plantes pour les livrer dans un état impeccable. Tout commence par se faire une réputation. Son propre nom facilite grandement la tache, se qui pousse à faire revenir la question suivante : Pourquoi son propre nom a fait lever des murmures.

Ah ça ?...

Le ton hésitant alors qu'il en sourirait ou en rirait presque de la nature de ses murmures à son égard en fonction de ce nom qui porte aujourd'hui un long passé. La jeune femme attendant patiemment la réponse pendant qu'il cherchait lui-même les mots pour le dire. Fallait-il tout dire ou simplement se contenter du principal ? Il n'y avait rien de mauvais à porter le nom de son arrière-grand père, surtout celui la.

Un héritage familiale. Je porte le nom de mon arrière grand père en tant que deuxième du nom.

Le diasti dans son nom n'était pas là pour faire beau. La présence de ce mon en était présent pour marquer la différence. C'est la seule chose qui le différencie de son ancêtre. Il possède tout. Trait physique, accent, nom. Diasti est la seule différence autre le fait qu'il ne soit non pas chevalier mais mage rouge. Une différence autre qui n'est pas si énorme que ça. Le premier du nom possédait une certaine expérience du métier d'herboristes dans vraiment le développer au vu de travail qu'il a affecter après la destruction du village de la blancheur il y a deux cent ans, aujourd'hui un tas de ruine ayant quasiment disparu avec le temps et l'usure de celui-ci. Des renseignements sur ce Duscisio ? Le simple fait qu'il possède Toribrioé à ses cotés, une épée peut ordinaire ne peut attirer à commencer les recherches au près du Gardien des Légende qui n'a peut-être rien perdu de sa mémoire.

Invité

La jeune druide prit le temps de réfléchir à la remarque que lui fit le mage rouge. 'Intermédiaire entre les hommes et la nature'. Non, plus elle y pensait et moins elle trouvait que cela lui allait. De toute façon, elle n'était personne pour pouvoir prétendre à un titre de ce genre. Et puis, elle connaissait si peu les humains en général. Cela aurait été faux de lui donner cette place. Autant la nature était son domaine autant ce monde qu'elle découvrait ne cessait de la surprendre et du coup, de changer aussi sa vision des choses. En bien parfois, mais aussi beaucoup en mal, malheureusement.

- Je reste persuadée que non. Je suis bien trop proche de la nature, ou trop éloignée des hommes pour vraiment faire office de lien entre les deux.
Il faut bien rester honnête, mes connaissances sont peut-être vastes mais très limitées dans leur champ d'action. Ce qui ne fait pas de moi un bon intermédiaire. Je me ferais trop facilement avoir.

Une moue accompagna ses paroles. Il est dur de réaliser à quel point la vérité peut être blessante, surtout quand on en vient à l'admettre de son propre chef. Oui, elle était bien ignorante et cela lui avait déjà joué des tours. Par réflexe, sa main vint saisir la cicatrice encore fraiche qui ornait son avant-bras, souvenir de sa première vraie bataille. Elle secoua vivement la tête afin de chasser ses images de son esprit et de revenir au lieu et au moment présent. La foule avait légèrement baissé son brouhaha mais ce dernier ne cessait pas, réveillant la curiosité de la jeune elfe.

Le jeune homme face à elle lui expliqua alors que son nom avait déjà appartenu à un autre membre de sa famille. Il était le deuxième du nom. Elle ne savait pas ce que ce nom pouvait bien représenté mais il était évident qu'il était assez connu pour susciter l'émoi des personnes présentes aux alentours. Par contre, comment était-il devenu célèbre et pour quoi, il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir.

- Apparemment, cet homme devait être très populaire pour que son nom ait ainsi traversé les mémoires. Lui aussi était dans le même domaine que vous aujourd'hui?
Voulez-vous vous lever? Marcher vous fera du bien maintenant que vous avez récupérer un peu.

Elle lui proposa sa main afin de l'aider à se relever. Quelque part, les regards qui restaient posés et concentrés sur eux commençaient à la mettre mal à l'aise et le fait de marcher leur permettrait de moins attirer l'attention. Et rien ne les empêcheraient de continuer à discuter tout en se promenant. Après tout, les jardins étaient grands, autant en profiter.

Spoiler:

^{[HRP] Mah. Te fait pas de bille pour ça. Je suis la longueur de mon(ma) partenaire.}

Avec se qu'elle répondait il y avait de quoi réfléchir. Trop proche de la nature. Ne serait-ce pas le problème actuel de Duscisio qui passait plus de temps dans la nature que pers des hommes ? S'approcher un peu plus de l'homme va être quelques choses d'assez difficile. Les plantes il suffit de quelques jours pour savoir comme elles vivent. L'homme c'est autre chose. Il se battent entre eux que se soit par plaisir ou pas règlement de compte. Mais savent faire preuve de gentillesse sans égal. Mais ne reste pas pour autant avide de pouvoir pour étendre ses droits par tous les moyens. Qu'en est t'il aujourd'hui ? Le monde vit en paix mais diviser avec chacun son opinion. Les noires se vont disparaître avec le temps à cause de l'avancer du désert dans leur territoire. Qui ne dit pas qu'il va avoir conflit pour qu'il puissent avoir leur terre s'agrandir sur de l'autre côté des terres qu'ils ont perdu ? L'avenir est incertain mais il est là, quelques part. Le temps avant qu'une guerre n'éclate pour une raison quelconque pourrait très bien arriver. Les blancs n'ont rien à envier, les rouges non plus. Leur mode de vie leur permet de vivre sans adversité.

Croyez moi, j'aurai préférer votre position à la mienne dans certaine condition.

C'était dit. Il le savait, ce n'était que logique. Pouvait-elle deviner cette prédiction de sa part ? Ou simplement chercher pourquoi il avait dit cela ? Il n'y avait rien à comprendre dans ses paroles. C'était une simple opinion. Être plus proche de la nature offrait des choses que l'homme ne pourrait offrir. C'est un fait. Nul plante ne vous trahira, nul plante ne pourra vous faire de mal tant que vous êtes sur d'elle. Pourtant, les poisons existent autant de l'homme que des plantes.

Les gestes de la jeune femme paraissait étrange. Même si elle avouait certaines choses d'elle-même cela semblait faire apparaitre des douleurs passées, son avant bras, il y avait quelques choses à son avant bras qui la faisait souffrir intérieurement. Ses yeux, ou plutôt l'iris de ses yeux paraissait de plus en plus fermer, aussi fin qu'un cheveux, essayant de percer se qui n'allait pas chez elle. N'y compter pas, il ne saura rien d'un simple regard. Il n'est pas devin ni psychologue, loin de là. Il se présente sous la forme d'un simple être humain normal, essayant de comprendre le sens des mots et des gestes de chacun. Vint maintenant son tour être mou d'éventualité concernant son propre nom. Avoir le même nom que quelqu'un de plus ou moins connu dans l'histoire de Nel Beraid n'a pas toujours du bon. Autre le fait d'avoir son nom il a l'obligeance de lui ressembler en tout point de vue. Le premier du nom était populaire d'une certaine manière. Le sourire en coin quand il entendit cela, la limite d'en rire ironiquement sans pour autant rejeter l'héritage qu'il porte dans ses veines.

C'était un chevalier, qui se battait pour la liberté de mon peuple à l'époque, qui vivait à l'écart du monde pour sa propre survit. Étant également le dernier de ce peuple de cette génération je n'aurait pas d'autre choix non plus de porter atteinte à ma responsabilité qu'à transmit mon ancêtre pour ne pas voir une connaissance disparaître par ma simple faute.

Il était vraiment également qu'il avait récupère. Il se leva sans la moindre difficulté, ramassant par la suite son sac dont il passa la bandoulière par dessus son épaule et son épée qu'il accrocha à sa ceinture. Marcher pour discuter n'allais pas être désagréable.

Invité

Sa réponse la laissa un instant un peu surprise. Fronçant légèrement les sourcils, elle essaya de comprendre un peu sa phrase, en l'analysant. Mais sans doute n'avait-elle pas la bonne manière de procéder car elle n'arriva pas à grand chose au final. Peut-être était simplement trop naïve pour vraiment comprendre ce qu'il insinuait. Elle ne voyait pas du tout pourquoi quelqu'un aurait pu préférer sa place à le sienne. Surtout après ce qui venait de lui arriver. En même temps, il est vrai que l'on souhaite souvent avoir ce que l'on a pas et que possède les autres. C'est une réflexe inné inscrit au cœur même de la nature humaine et ça, personne n'y pourrait jamais rien.

- On préférerait souvent être à la place des autres. Cela parait toujours plus facile vu de leur côté. Mais le jour où l'on s'y retrouve vraiment, on en vient à regretter la notre. Car c'est là qu'est notre place malgré tout.

Doucement, elle remonta sa manche afin de dévoiler la cicatrice à peine refermée qui ornait son avant-bras. Bientôt, il n'en resterait qu'une fine marque qui disparaitrait presque complètement mais pour le moment, elle était bien visible et encore lancinante par moments.

- Je croyais que tout le monde pensait dans le fond un peu comme moi. Il m'a fallut une mauvaise rencontre pour réaliser que ce n'était pas du tout le cas. Seule l'expérience permet de grandir. Moi aussi, ce jour-là, j'aurais préférée être à la place de quelqu'un d'autre. Mais cela m'a servi malgré tout. Alors, je reste ce que je suis, où je suis et je continue mon chemin.
De toute façon, je n'ai pas d'autre choix.

Elle termina sa petite tirade par un sourire. Fini les leçons de morale, ce n'est pas cela qui la ferait avancer. Elle remit sa manche correctement en place avant que son petit compagnon ne vienne à nouveau se manifester. Il avait parfaitement compris de quoi ils avaient parler et lui n'aimait pas y penser. Cependant, quelques caresses suffirent à le calmer rapidement. Si tout était aussi simple qu'avec son petit singe, la vie deviendrait alors un long fleuve tranquille. Mais elle perdrait aussi cette saveur si particulière qu'est celle de vivre et de découvrir à chaque secondes des choses nouvelles où insoupçonnées. Même si le monde n'était pas tout rose, il était malgré tout bien comme ça.

Lorsque Duscisio lui répondit sur l'origine de son nom, elle écouta ses paroles avec attention. Si lui était mage rouge, son ancêtre lui était un Chevalier. Un combattant du bien. Cela sonnait bien. Par contre, la suite de son explication lui parut un peu étrange. Ainsi, lui aujourd'hui était le dernier représentant de son peuple, il se voyait obliger d'une certaine façon que continuer le travail commencé par son ancêtre pour ne pas le voir disparaitre. Cela la laissa un peu perplexe. Elle attendit cependant que le mage se soit relevé et qu'ils aient commencés à faire quelques pas avant de formuler ce qui lui trottait dans l'esprit.

- Finalement, vous n'êtes pas libre de votre destin? Je veux dire, c'est par choix que vous avez décidé de continuer son œuvre ou plus par 'obligation' suite à cet héritage? Pour votre nom, ce n'est pas de votre propre choix, mais pour le reste?

Bien qu'elle ait peur de se montrer un peu indiscrète avec cette question, elle avait quand même vraiment envie de savoir. Après tout, c'était peut-être pour ça qu'il disait qu'il aurait préféré parfois être à sa place. Écrire sa propre histoire n'est déjà pas toujours évident, l'écrire en fonction de son héritage et pour rendre gloire à ses ancêtres devait se révéler un exercice d'autant plus ardu.

C'était inné. La grande sagesse des deux protagoniste faisait qu'il se répondait l'un l'autre par des phrases plus philosophique les uns que les autres. Être à la place des choses, paraissant plus facile. Si seulement elle savait le poids qu'il porte sur les épaules. Il ne disait absolument rien, pensait qu'il ne fallait pas en dire d'avantage sur sa personne. C'est se qu'il y avait de plus sage. Si seulement elle savait se que cela faisait d'être le dernier d'un peuple aujourd'hui en grande partie disparu, le fait de devoir transmettre tout se qu'il a apprit, à sa compagne ainsi qu'à sa propre descendance si celle ci se manifeste pas l'unification de l'un et de l'autre. Des dizaines et des dizaines de siècle de culture dans sa tête, ne possédant qu'une infime partie du savoir-vivre fallacien, ne possédant qu'une faible puissance magique ainsi qu'un pouvoir encore endormi l'empêchant de se défendre correctement. Il ne peut que se soucier de son propre savoir, de ses voyages pour accomplir un métier dans les règles de l'art.

La jeune femme exposa une cicatrise sur son avant-bras, témoin d'un destin qui n'était en aucun cas voulu de sa part. Elle n'avait fait qu'une mauvaise rencontre dit-elle. Le savoir n'est qu'une preuve d'expérience, avoir de l'expérience signifie que l'on apprend beaucoup, quelque soit se qu'il se passe on en convient à des conclusions, les conclusions forment se que l'on appelle le savoir. Une boucle infinie, aucun de va l'un sans l'autre à savoir seulement comment entrer dans cette boucle par le fait de marcher simplement dans la nature. Un destin en croise un autre, les deux s'en va confronter à un changement radical. C'est se qu'elle voulait conclure de cette cicatrice. Inutile d'aller plus loin dans les détails de la vie de la jeune femme. Il semblerait même que celle de Duscisio soit plus intéressante. Outre le fait de porter le même nom qu'un ancêtre plus ou moins célèbre et qui par ailleurs se fait donner la même réputation concernant la famille Balibe en elle-même. Bien que la douleur du passé ne semblait pas disparaître après ce sourire, son animal essayant tout de même de lui faire remonter un peu le moral.

Que pouvait-il dire ici ? Le changement de sujet devait venir au plus vite pour éviter un trop grand vide dans leur parole. Les questions le concernant personnellement arrivait plus tôt qu'on ne le pensait. Le fait de n'être pas le maitre de son destin. Elle se corrigea rapidement pour lui énoncer se qu'elle voulait savoir. Un choix ? Une obligation ? Duscisio eu un soupire un peu moqueur. Cette expiration d'amusement sur le fait qu'elle prenait peut-être tout ça pour une obligation le faisait rire intérieurement, mais...

C'est aussi faux que cela est vrai. Je prend ceci par un choix plus qu'une obligation. J'aime la culture que j'ai apprise de mes parents. Elle ne ressemble à aucune autre. Faire une différence avec les autres me permet de me démarquer de tous. C'est un bien fait. Les miens ne sont plus, je suis se que l'on pourrait voir comme un espoir de renaitre. Un peuple disparu qui réapparait par les années.

Il s'arrêta momentanément. Se préparant à faire un résumer de sa vie actuelle. Pourquoi racconter tout ça ? La façon la plus simple pour lui répondre n'était que comme cela. Il n'y avait pas d'autre alternative.

Je possède ces dons que tous membre directe de la famille possède. J'ai choisis de devenir mage rouge pour maitriser ma magie d'une certaine manière. Les traits d'un mage rouges se présente sous celui d'un herboriste, j'ai donc découvert ce métier par ce métier j'apprends tous se qui concerne la nature. J'aime la nature pour se qu'elle m'apportera. Elle fascine. Si je n'étais pas devenue mage rouge j'aurai prit un autre chemin. Le quel ça je n'en sais rien.

Il s'arrêta de marcher, la jeune femme ne tardant pas à voir qu'il le fit pour se retourner et le regarder, lui qui tendait une main sans pourtant vouloir qu'elle la prenne. Il tenait l'air ambiance comme d'un objet, cette objet invisible qu'est pour lui qu'en ce moment...

Le destin. Nous sommes maitres de notre destin quelque soit notre choix. On a toujours plusieurs choix dans la vie, l'intérêt de voir chacun de ses chemin nous permet d'avancer, en bien ou en mal, jusqu'à que notre vie prenne fin définitivement.

Il ferma son poing et remit son bras le long de son corps, pour finalement se tenir la hanche et attendre une quelconque parole, réflexion, les lancera peut-être dans un débat qu'il ne veut point. Il a simplement exprimer son point de vu en prenant sa propre vie comme exemple.

Invité

La réponse que lui offrit le mage rouge face à elle la laissa un peu songeuse. Elle comprenait sa façon de voir les choses comme elle avait un peu de mal à y croire parfaitement. En y réfléchissant un peu, on est toujours du savoir que nos ancêtres ou plus récemment simplement nos parents nous transmettent. Mais devenir le dernier espoir d’un peuple presque éteint, la seule personne encore détentrice d’un savoir aussi précieux que semblait être le sien. Cela devait malgré tout représenté un poids non négligeable sur ses épaules. Sans compter tous les gens autour de lui qui ne devaient cesser de le comparer à cet aïeul célèbre. Non, cela ne devait être aussi évident que cela.

En tout cas, lorsqu’il se mit à parler de son choix quant à l’ordre qu’il avait choisi d’intégrer, elle ne put s’empêcher de sourire doucement. La nature faisait d’une certaine façon entièrement partie de son être, alors elle se sentit de la manière dont il en parla. Il n’y avait donc pas que des bandits ne rêvant que d’argent et de capture. Il y avait aussi des gens comme Duscisio. Cela la rassurait.

- Je ne sais pas si j’aurais pu suivre une autre voix que celle qui est la mienne. Je suis née et j’ai grandi dans un environnement qui m’a conduit à devenir Druide sans envisager un autre chemin.

Ils firent encore quelques pas avant que le jeune homme ne s’arrête et ne se retourne, tendant sa main vers elle. Cependant, un simple coup d’œil suffit à lui faire comprendre que le but n’était pas qu’elle la lui serre. Dans sa paume, se tenait de l’air, du vent comme emprisonné dans une prison invisible. Sans doute un de ses pouvoirs qu’il lui révélait. En tout cas, elle trouve cela fascinant, ne détachant son regard de l’étrange phénomène que lorsqu’il reprit la parole.

Elle l’écouta sans l’interrompre jusqu’à ce que son poing ne se referme en libérant l’air emprisonné. Relevant le regard vers lui, elle comprit qu’il attendait une réponse de sa part. Il était évident que devant une telle explication, elle ne pouvait rester silencieuse.

- Nous avons toujours le choix. Seulement, beaucoup de gens ne le voient pas ou refusent de voir la possibilité qui se révèle la plus ardue. La facilité est tellement plus aisée. Et rassurante aussi.
En tout cas, vous avez une vision des choses très intéressante.

Elle aurait pu partir dans un grand discours ou un débat. Mais elle préférait couper court pour cette fois. Elle se remit en route, imitée par le mage rouge. Les jardins s’étaient quelques peu vidés de leurs visiteurs à présents et il était bien plus agréable de profiter maintenant des lieux. L’air était frais mais pas froid et les plantes ornant les jardins étaient toutes aussi belles les unes que les autres. Finalement, après un moment de silence, la jeune druide finit par reprendre la parole.

- Savez-vous ce que vous voulez faire de votre destin ? Vous avez déjà fait votre choix, ou au moins l’un de ceux qui pourrait faire vous avancer sur le chemin que vous avez choisi ? A moins que vous ne préfériez laisser une place au hasard ?

Les mots de l'albinos lui faisait rendre compte se qu'il portait sur les épaules. Son air songeur marquait un doute en plus d'une compassion pour les responsabilités qu'il porte sur ses propres épaules. Son destin est simplement lier à un futur déterminé à son propre peuple. En y réfléchissant, il n'y avait aucun mal mais aucun bien. Dans ses connaissances déjà apprise, il allait pouvoir tester de nouvelles choses, dans son avenir propre il va pouvoir enrichir le savoirs d'une certaine manière. Dans ce savoir il y a déjà les plantes, leur utilité mais cela ne va pas très loin que dans la mixture servant à protéger sa peau fragile du soleil en lui-même, et encore d'autre pour diverse remèdes mais il n'en sait pas plus. Le livres en parlant est dans la maison de ses parents, le passage vers celle-ci va se faire sentir, parler à ses parents de ses propres intentions et également de donner des nouvelles de lui. Le retour à Naturalia pour la seconde fois ses derniers temps allait être plus rapide qu'il ne le pensait. Il va avoir besoin de ce livre pour enrichir un peu plus ses connaissance. Ses années d'études se réduise à un voyage long de trois année ainsi que d'un simple livre qu'il aurait du posséder sur lui depuis le début pour se facilité la tache.

Le choix étant là, l'explication du fait du présent de Duscisio énonce le fait d'avoir toujours le choix. Combien de fois à t-il déjà entendu cela ? Dans les quatre coins du monde, l'albinos eu toujours un choix à faire, quand il était accompagné et que quelque chose d'important en dépendait cette phrase ressortait toujours. On a toujours le choix ? Le choix de choisir sa propre voix peu importe les conséquences.

Mon propre choix a déjà été fait. De là on acquièrent une certaine sagesse avec l'expérience qui nous est offert.

Alors que la marche reprenait de plus belle, l'éventualité des questions n'allait pas tarder à se manifester. Savoir quel choix il va faire pour son avenir imminent. Bien sur, il y réfléchit déjà, c'est la raison pour laquelle il se trouve ici. Visiter les lieux qu'il doit connaître, reconnaître chaque endroit du monde. Le travail de sa mémoire l'oblige également à réfléchir à son avenir imminent. Comment procéder par la suite ? La question de la jeune druide ne se fit pas attendre. Le silence perdurait momentanément pendant que le chant du vent autour d'eux prenait de l'ampleur. Se n'était pas sa magie. Non loin de là il était totalement passif. Savoir se qu'il allait répondre. Savoir si c'était le bon moment pour le dire. Savoir également s'il allait réellement le faire, en être certain, ne pas parler dans le vent. Le moment était bien choisit pour répondre à la question. Pourquoi ? Ses dernières années ont servit à reconnaître les plantes, savoir où elle se trouve, leur utilité dans les remèdes, se qu'il se passe quand elles sont mal utilisé. Alors évidemment la réponse venait d'elle-même.

Je vais retourner à Naturalia et trouver l'herboristerie dont je connais l'existence afin d'affiner mes connaissance en potions.

Un herboriste cueille des plantes pour en faire des remèdes, ses remèdes serviront à soigner la population dans le besoin. Cela est un fait. Cela est un choix.

Invité

D’une certaine façon, la jeune femme était curieuse de savoir ce que son interlocuteur allait lui répondre. Après tout, si l’on se limitait aux apparences, il ne devait pas vraiment être différents des autres mages rouges ni des autres êtres humains en général. Pourtant, il suffisait de quelques mots afin de découvrir toute la complexité de chacun. Rien ne l’aurait jamais laissé imaginer qu’il possédait un tel passé avec le poids qui correspond. La notoriété de ses ancêtres et toutes ses connaissances qu’il se devait de faire survivre et de continuer à améliorer, tout cela lui offrait en même temps tant de possibilités différentes pour son avenir que cela lui donnait presque le vertige.

Il lui assura avoir déjà fait son choix et en avoir acquérait une plus grande sagesse, ce dont elle ne doutait pas. L’expérience est la seule manière d’évoluer sur cette terre, elle en était intimement persuadée. Cependant, il n’est pas toujours évident de s’y confronter, elle en avait fait le test il y a peu.

Puis, il enchaina enfin en lui révélant ses prochaines intentions. Ainsi, il souhaitait retourner dans un lieu de sa connaissance. Une herboristerie située sur Naturalia. Cela ne la surprit pas tellement. Après tout, de ce qu’il lui avait dit, les mages étaient très portés sur cette discipline. Et il y a toujours quelque chose à apprendre des plantes. Cela, elle était bien placée pour le savoir. Et puis, il devait être difficile de travailler autour des potions en ne faisant que vagabonder à travers le monde. Créer des remèdes nécessitait un matériel précis et fragile qu’il trouverait sans doute là-bas.

- Dans ce cas, je vous souhaite toute la réussite possible dans la voix que vous avez choisie. Vous avez l’air doué, je ne doute pas que vous arriverez à vous faire une place et un nom dans ce milieu, autre que celui souvenir de votre aïeul.

A cet instant, la jeune elfe réalisa qu’elle-même n’avait aucun réel projet précis pour son avenir, qu’il soit proche ou lointain. Mais cela ne la tracassait pas plus que cela. Elle avait tant à apprendre et encore pas mal de temps devant elle. Alors, elle allait encore se laisser un peu porté par les choses. Il viendrait bien, tôt ou tard, le moment où elle devrait prendre des décisions ou choisir de s’engager d’une façon ou d’une autre pour la cause qu’elle jugerait la plus proche de ses idéaux. Mais elle n’avait pas envie d’y penser pour le moment.

Tout en discutant, leurs pas les avaient amenés à l’entrée des jardins. La brise avait légèrement fraichi à présent et la jeune femme resserra les pans de sa cape autour d’elle tandis que son compagnon à poil semblait de plus en plus intéresser par ce qui se passait à l’extérieur de ces lieux. Le regard de Myrrh, s’attarda encore un instant sur les jardins avant de revenir sur Duscisio.

- Je n’ai pas de projets aussi clairs que les vôtres. Pour le moment, je cherche juste à satisfaire ma curiosité et à découvrir ce qui se trouve à ma portée. Aujourd’hui‘hui, je suis ici. Ce soir, je serais peut-être loin. Dans tous les cas, j’ai été ravie de vous rencontrer. Mais à présent, je crois qu’il est temps pour moi de reprendre la route.

Lentement, elle fit un pas en direction de la sortie tout en saluant le mage rouge d’un signe de tête assortit d’un sourire. Le petit singe se joignit également à son geste, en manifestant bruyamment pour être sur d’être entendu.

Spoiler:

» Esprits naturel ( Arselianne )
» [Terminer] Reprendre un peu.
» besoin de RP (terminer)
» [Terminer]Nostalgie [Miranda]
» (terminer)La traversée [Mikaeus, Roussette]

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