Invité
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 |  Sujet: Niavhe Lesedi ~Astre Déchu~ Lun 12 Sep - 18:12 | |
| ~~ Identité ~~ Niavhe Lesedi
Nom : Lesedi
Prénom : Niavhe
Surnom: Nia
Age : 24 ans en apparence, mais l’âge d’une étoile déchue en réalité.
Sexe : Féminin
Statut: Chroniqueuse
Race: Sipka
Alignement : Neutre-bon
Pouvoirs:
- Contrôle de la météo
- Pouvoir de Parendar
Pouvoir au choix : Empathie tactile : un contact peau à peau lui transmet une emotion que resent son interlocuteur. Une émotion violente peut lui causer un choc physique et elle n’a aucun contrôle sur le fait de ressentir ou non, sur ce qu’elle choisit de percevoir ou sur ce que ressent la personne en question.
Armes : Une dague d’apparence simple mais à la qualité indéniable.
Main d'appui : Droitière
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Description
Caractère : Comme beaucoup de Chroniqueurs, Niavhe est d’un caractère contemplatif. Telle est l’une des principales qualités des siens, une spécificité bien utile pour recenser dans leurs écrits ce dont ils sont témoins. Mais la jeune Sipka se montre plus curieuse que certains de ses congénères, poussant l’intérêt au-delà de la simple observation : Niavhe veut tout savoir, tout voir, tout goûter et surtout tout comprendre.
Une volonté rendue compliquée par sa maladresse. Niavhe a beau avoir déjà un certain âge, elle conserve la crédulité, la curiosité et la confiance d’une enfant… ou d’une étoile tout juste chue, dans son cas. Elle a pourtant appris à faire preuve de prudence mais toujours avec une gaucherie qui est, pour ainsi dire, la signature de Niavhe.
Cette maladresse est un trait tant physique que morale. Niavhe a la synchronisation d’un chiot avec deux pattes plus longues que les autres. Sans compter qu’elle a tendance à dire ce qui lui passe par la tête là où elle devrait peut-être parfois dire… eh bien ! Autre chose. Elle n’en est pas enfantine pour autant, elle a simplement quelque problème d’inhibitions. Mais après tout, elle n’est pas humaine !
Malgré son habitude de se promener avec une dague, comme la plupart des membres de sa communauté, Niavhe a un léger problème avec la violence. Le sang l’intimide, elle ne connaît que quelques manœuvres défensives de base et même si sa vie en dépendait (ce qui serait pour elle la seule circonstance dans laquelle elle envisagerait de se battre) elle ne saurait pas faire grand-chose. Raison pour laquelle sa capacité à charmer ceux qui l’entourent lui est particulièrement agréable…
Physique : En effet, Niavhe est pourvue d’un physique avantageux, elle a bien fini par le constater. Ses grands yeux bleus qu’elle aime à souligner d’un maquillage charbonneux ou de couleurs chatoyantes changent de couleur pour virer au gris selon la lumière ou son humeur. Elle préfère mettre l’accent sur ses yeux, sa bouche attire suffisamment l’attention par sa forme et sa couleur incarnate sans avoir besoin d’artifice. Bien sûr, ses yeux pourraient se suffire à eux-mêmes, soulignés par l’arc délicat de ses sourcils sombres, mais l’expérience lui a prouvé qu’en attirant l’attention sur le jeu de ses longs cils noirs, elle pouvait obtenir beaucoup.
Niavhe apprécie autant son physique pour ce à quoi il peut lui servir que pour son propre goût des belles choses. Elle aime à coiffer ses longues mèches ivoirines tout autant que les laisser flotter, invite irrésistible à y glisser les doigts. De taille moyenne, sa silhouette n’a rien à envier à qui que ce soit : toute de finesse et de courbes appétissantes. Une silhouette qu’elle aime à parer de tenues diaphanes et vaporeuses, même si elle a un goût certain pour les couleurs riches et sombres qui tranchent si bien sur sa carnation. Sa peau pâle rosit délicatement à la moindre émotion ou au moindre frottement un peu trop prononcé. Une sensibilité qui la rend particulièrement sensible à toute violence : la moindre prise un peu ferme sur son poignet se solde par un bracelet d’hématomes tandis que la plus infime griffure laisse sur sa peau d’albâtre un trait sanguinolant.
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Historique
Histoire : Vous connaissez déjà Niavhe. Beaucoup d’entre vous au moins. Vous entendiez des contes à son sujet quand vous étiez enfants, votre mère vous chantait des berceuses qui parlaient d’elle et de sa lumière scintillante qui perçaient les ténèbres… Mais tout cela c’était avant qu’elle tombe.
Niavhe arriva lors de la Troisième Chute. Autant dire qu’elle fait partie de la dernière génération de Chroniqueurs, ce qui représente une position à la double signification. Techniquement, elle observa le monde depuis les cieux pendant six milliards d’années de plus que ses aînés de la première génération, ce qui lui vaut le respect en tant qu’observatrice de l’infiniment grand. Mais, mathématiquement, l’incarnation qu’elle s’est choisie est six milliards d’années plus jeune que ceux de la Première Chute. Ses frères et sœurs l’entourèrent dès son arrivée. Pendant des années, Niavhe garda le silence, observant son nouveau « ciel » et ses congénères qu’elle rencontrait pour la première fois : non seulement elle les rejoignait enfin sur NelBeraid mais, bien que la lumière de chacune se communiquait à elle du temps de leur éclat, chacune d’entre elles restaient loin, dans son coin de l’univers. C’était la première fois que Niavhe côtoyait quelqu’un.
Jamais elle ne sut comment elle était arrivée là. Son dernier souvenir en tant qu’étoile, avait été la caresse d’énergie… Cela lui avait rappelé quelque chose… l’une d’entre elles. Puis ce fut comme une déflagration dans son cœur et le blanc prit le pas sur le noir du ciel.
Quand elle se réveilla, elle vit toujours ses sœurs loin dans le ciel. Mais c’était différent. Comme si elles avaient changé de place et que le vide stellaire lui-même s’était modifié. Elle prit lentement conscience de l’odeur d’herbes, de fleurs sauvages et de rosée qui l’entourait, de la douceur froide et humide de l’herbe sous sa peau nue. Elle qui n’avait jamais eu d’odorat pour sentir, et que rien n’avait jamais approché sans se brûler irrémédiablement à sa lumière, se découvrait un corps comme ceux qu’elle avait observés pendant tant de milliers d’années. Un corps fragile et qui avait des besoins.
Besoin de chaleur tout d’abord… Puis de nourriture. Besoin des autres, découvrirait-elle. Une étoile n’a besoin que d’elle-même pour briller, de la présence lointaine de ses sœurs pour ne pas être seule, et de ces poussières qui s’agitent dans l’univers pour Observer. Mais dans ce monde, sous cette forme, la jeune chroniqueuse apprit qu’elle ne pouvait seule pourvoir à tout ces besoins. Sitôt arrivée, elle devait trouver sa place dans le grand mécanisme qui faisait tourner ce monde et assurait la survie de tous ses éléments.
Niavhe fut chanceuse. Sa chute lumineuse, de nuit et dans une des communautés qu’avaient fini par fonder les siens, lui évita d’affronter seule ce bouleversement. Les Chroniqueurs avaient beau partager à présent le monde qu’ils s’étaient contenter d’observer de loin, ils ne se mêlaient pas vraiment à ceux dont ils recensaient les faits et gestes. Niavhe devait être d’une curiosité plus puissante que celle des autres Chroniqueurs, car quelques années après son arrivée, elle ne tarda pas à chercher à se rapprocher de plus en plus des « Corps non célestes » comme elle les appelait. Selon elle, s’il leur avait été donné de pouvoir évoluer parmi ceux qu’ils observaient, ce n’était pas pour rester aussi distants que du temps de leur splendeur stellaire.
Aussi Niavhe quitte-t-elle régulièrement ce qu’elle a appris à appeler son foyer, là où elle et ses semblables vivaient à l’écart du monde, pour fréquenter les peuples de Nel Beraid armée de fusains, d’un flacon d’encre, d’une plume d’acier (merveilleuse invention des Chroniqueurs) et d’un épais carnet de parchemin vierge. Pour le principe elle a aussi une dague : mais plus efficace, elle ne se sépare jamais de son minois et des ses manières de Chroniqueuse.
Comment avez-vous connu le forum? : Par Cirdan Dödsfall ^^
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Compagnon Animal / Familier
Nom : Duvan
Description : Le fidèle compagnon de Niavhe mesure 16 cm dont la moitié pour sa seule queue. Sa robe, douce et chaude, est d’un brun sombre sur lequel tranche son ventre blanc et son museau rose. Niavhe s’efforce de surveiller sa ligne mais elle ne peut pas résister à son adorable petit nez et à ses grands yeux bruns ce qui explique sa silhouette dodue. Le petit rongeur est souvent pris pour une souris ce qui peut provoquer force cris et chaos. Mais Duvan est en réalité un mulot. Incapable de rester en place dans les moments où il n’est pas totalement plongé dans le sommeil, ses petites pattes s’agitent pour frotter son petit nez ou laver sa fourrure. Le reste du temps, il demeure lové dans la chaleur de Niavhe, contre son cou, dans une poche ou dans son décolleté.
Créature peu téméraire, Duvan préfère largement rester à l’abri dans le giron de sa campagne. Pourtant sa curiosité (trait qu’il en commun avec sa maîtresse) le pousse parfois à montrer son museau dans les moments les plus incongrus.
Rencontre : La rencontre entre Duvan et sa Chroniqueuse fut soudaine mais naturelle. Niavhe avait trouvé refuge au cours d’un de ses voyages dans une auberge, modeste mais propre. Bien sûre elle avait son lot de nuisances, comme tous les établissements de ce genre. Il se trouva que l’une de ces nuisances fut un petit mulot qui avait trouvé un filon de graines, suffisamment important pour le nourrir jusqu’à la fin de ses jours !! Malheureusement pour lui, il s’agissait simplement du grenier à grain de l’aubergiste, lequel apprécia peu la présence de cet hôte qui ne prenait même pas la peine de payer.
Des cris annoncèrent sa venue : ceux de l’aubergiste qui poursuivait le noble animal, armé d’un tisonnier qu’il abattait à coups réguliers et puissant. Les échardes volaient, le tenancier ahanait et le rongeur, toujours, courait. Par hasard ou attiré par son charme stellaire, celui qu’on appellerait plus tard Duvan trouva refuge auprès de Niavhe. Contrairement à certaines représentantes de la gente féminine sur cette planète, Niavhe, en tant qu’étoile, n’avait pas développé ce dégoût atavique des petites bestioles… de sorte qu’elle la ramassa au creux de sa main et ne vit en elle que sa douceur, sa chaleur et ses grands yeux bruns. L’aubergiste tenta vaguement de la convaincre de lui remettre la « chose », mais un regard suppliant de ses grands yeux bleus suffit à lui excuser ce petit caprice. Le lendemain, en quittant l’auberge, la Chroniqueuse décida d’emmener le rongeur. Lequel se laissa faire. L’aubergiste ne le pleura pas.
Pouvoir : Duvan a l’étrange faculté de sentir bon. Il émettra pour les personnes qui l’entourent une délicieuse odeur (selon les goûts des gens)… Un tel sentira une odeur de gâteau au chocolat, untel sentira le parfum des freesia… On ne sait pas ce qui provoque ce phénomène et il peut survenir à tout moment sans logique apparente.
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Ambrosia Mayfair
~Admin~~La Rose Ecarlate, niv 5bis~~
Messages : 4474
Date d'inscription : 31/07/2011
Age : 41
Feuille de personnage
Pouvoirs: Herboristerie, magies élémentaires (terre et électricité), télékinésie, guérison
Armes: deux dagues, phoebus, Zarling
Relations:
| | Sujet: Re: Niavhe Lesedi ~Astre Déchu~ Lun 12 Sep - 20:06 | |
| Bonsoir,
Bienvenue parmi nous
Très joli avatar
Ta fiche me convient
Tu es validée
Bon rp |
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