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Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ]

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MessageSujet: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyMer 7 Sep - 21:41


~~ Identité ~~


Identité


Nom : d'Amocryth
Prénom : Cyric
Surnom: --
Age : Une vingtaine d'années
Sexe : Masculin
Statut: Aigrefin
Race: Humain (Souillé d'un lointain leg démoniaque)
Alignement : Loyal Mauvais

Pouvoirs :

- ‡ Force surhumaine ‡ Plus que des poussées d'adrénaline, plus que son support organique ciselé, la force peut être surnaturelle.
- ‡ Contrôle des Ombres ‡ Façonnant les voiles, les simulacres et les chimères de l'alter ego fuyant du spectre lumineux, Cyric forme d'étranges silhouettes, étire les ombres portées et concentre des nodules de noirceur condensée.
- ‡ Correspondance par l'Ombre ‡ De la pénombre au reflets portés, le fils de l'Ether noir arpente les boyaux obombreux en s'extirpant des ténèbres d'un point à un autre, via l'Umbra.


Armes :


- ‡ Shaïrkath ‡- Carcan de douleur :

Ce harnois ou exosquelette amélioré est une armure conçue et pensée par Cyric. Plus qu'une protection, elle est aussi un support et un outil sur lequel le Fils de l'Ether Noir travaille ses aptitudes de combat. Entrainé à utiliser différentes boxes entre autres arts martiaux, elle soutient les parties du corps utilisées pour frapper. Soit les genoux, les coudes, les poings et les pieds.
Épousant le corps de l'Aigrefin, une première couche de cuir soutient une armature d'acier noirâtre finement ouvragée et articulée. Un cache-cœur, une ceinture abdominale, des spalières et une braconnière protègent son torse, ses flancs ainsi que ses épaules. Pour l'appui offensif, des cubitières et des genouillères dardées de piques promettent des poinçonnages mémorables. Les poings du Chevalier Noir, eux, sont couverts de gantelets parfaitement articulés, dont les phalanges proximales sont affublées de deux crochets épais et de grande résistance. Quant à ses pieds, ils sont bardés de bottes ferrées suffisantes pour briser quelques tibias sans trop d'encombres.

- ‡ Quimascarifah ‡- :

Pour préserver cette ambivalence entre la défense et l'attaque, ce support de bon ouvrage pourrait être considéré comme une arme de jet et un bouclier. Fixé sur le gantelet du Fils de l'Ether noir, il n'est qu'une targe à lames de forme octogonale. Forme dont chaque arête est décorée d'une lame courte et incurvée (d'une quinzaine de centimètres environs), le pourtour de cette égide est donc hérissé d'une kyrielle de vagues acérées. Une fois lancé avec la force nécessaire, cet objet possède les mêmes facultés qu'un Chakram. Les matériaux constituant ce petit bijou semblent osciller entre la platine et l'acier. le fronton octogonal est noir cependant, les secrets de sa coloration sont détenus par le Maître artisan qui a aussi travaillé l'armure du Chevalier Noir.


Main directrice : Ambidextre



Description


Caractère :

Pour ce que l'on peut en voir, il est à l'image de son ancêtre, suffisant, arrogant, bordant le nihilisme destructeur. Sûr de ses capacités et de sa suprématie. Son ambition cependant, contrairement à celle qui a nourri ses aïeuls est mal placée, cet homme ne semble trouver son compte que dans l'opulence et l'oisiveté.
Au delà des apparences, de cette surface terne et viciée, se cache un homme réfléchi et manipulateur, un homme qui n'a d'estime que pour lui même et pour quelques rares privilégiés qui s'escriment à l'obtenir. Parfait pervers ou prédateur, il possède une bonne 'analyse' de la psyché humaine, il sait s'adapter, pour ne pas dire se travestir en proie quand il joue au mieux les chasseurs. Il est doué ou affublé, d'une indifférence inhumaine, certains parlent d'égoïsme, d'autres de cruauté et d'inhumanité, Cyric lui considère qu'il est un survivaliste. Ignorant les œillades inquisitrices et les jugements hâtifs d'une norme décadente, décérébrée et tout aussi individualiste, qu'il ne peut l'être. Si certains le contredisent, il pendra volontiers des robes blanches ... Pour ce qui est de son statut au sein de la société, il n'expose que des richesses matérielles, il n'est pas un meneur dans l'âme. Il est un très bon outil de destruction, un tueur né, mais encore une fois, que les têtes de jeu se le disent, il n'est pas un molosse docile. L'avoir pour allié ne demande pas de sacrifices de salive, ni d'oraisons enflammées ... Non, il faut les racler les fonds de coffre pour le satisfaire. Il n'a pas de maître, pas de dieu, pas de couleurs.
Ce qu'il faut en retirer, c'est qu'un allié sans idéologie particulière, peut coûter cher. Et si l'or ne peut guère alléger vos bourses, le sang sera votre dernier fardeau.

Physique :

Si bien des Aigrefins ont inspiré la terreur par leur carrure, Cyric lui n'aurait pas de quoi faire pâlir les trois royaumes. On pourrait affirmer cependant qu'il est bien fait et bien bâti. Une corpulence moyenne pour une taille modérée. Un mètre quatre vingt de muscles nervurés et ciselés, suffisamment discrets pour feindre la faiblesse et suffisamment puissants pour donner l'occasion à un adversaire de réévaluer ses jugements primaires. Un corps parfaitement épousé et souligné par son armure, quand il ne porte pas de drapés et de toilettes opulentes. Son visage fin et anguleux, qu'il s'en plaigne aux Mochdilym, est blême ... Oui, il affiche une pâleur des plus surnaturelles. Le complexe de traits qui orne ce support marmoréen n'en est pas moins agréable et harmonieux. Ses lèvres ténues, parfaitement dessinées, sont bien souvent encerclées et rongées par une barbe de quelques jours. Son nez mutin soutient des iris d'un noir d'encre. Certains décèlent cependant dans cette noirceur infinie, un minuscule éclat d'argent, d'autres d'or, mais tout est question de ... Perception.
Sa chevelure elle, est son seul héritage maternel, une longue crinière d'airain et de cuivre, qui encadre chaotiquement son faciès de Baroudeur. Si certains affirment qu'il jouit d'un magnétisme particuliers avec les dames, il n'en est rien, il possède un pouvoir d'attraction certain mais ce n'est là qu'un charme sauvage. Qu'il parvient d'ailleurs fort bien à occulter par sa "Personnalité si singulière".




Historique


Histoire :

■ I - Contine des Larmes de la pierre -

Fin de la cinquième guerre, Jour de la Géhenne.

On dit que dans les landes dévastées, sur les ruines d'une arche, un veilleur de pierre est prostré depuis le grand cataclysme. Qu'il pleure la destruction de l'Ancien monde, l'assèchement des mers et la mort des Noyés. Il est même devenu le centre de biens des attentions, un objet de pèlerinage et de culte. Mais bien peu savent qui il fut et pourquoi, aujourd'hui encore, des larmes de sang jaillissent de ses globes rocailleux.

Ce jour maudit ou les Trônes de la justice sont tombés du firmament houleux comme des éclairs, ou ils tentèrent de 'purger' le monde, un meneur de ces guerriers de l’Éther succomba a un vice pourtant porté par tous les Anges. L’orgueil. Sarigah à la tête de sa cohorte punitive, faisait face au corrupteur de deux mondes. Ce mage au nom oublié portait un titre qu'aujourd'hui encore, les trois royaumes ne peuvent prononcer sans crainte et amertume, celui de 'Tourmenteur'. Pour qu'un visage soit mis sur ce statut, sachez que cet homme voguant entre les royaumes, ni vivant, ni mort ... S'appelait Elzear Mochdilym Qsuryavanssahr. le Céleste et le réprouvé se lancèrent dans un duel épique et effréné devant la porte des Abysses, une confrontation à laquelle seule la mort pouvait mettre un terme. C'est déformé par les brûlures et les stigmates, insensible aux milles douleurs que lui infligeait Sarigah, que le tourmenteur se redressa. L'Ange s'enivra alors de son ascendance sur le Mage Noir

Genou a terre, faciès barré par sa chevelure d'encre, le Réprouvé se figea. Difficile d'affirmer qu'il avait opté pour la reddition, avant que cette puissante fulguration ne balaye les landes déjà meurtries. Un rayon incommensurable, gargantuesque, qui dévorait et consumait tout ce qui se trouvait sur sa route ... L'Ange alors persuadé que ses pairs l'avaient abandonné, se tourna vers cette manifestation cosmique. Et c'est de son ventre, que le fer de la Bâtarde Maudite émergea.
Ce jour là, les envoyés du Paradis se figèrent un instant pour encaisser la douleur pernicieuse de leur frère. Ce jour là, une lame maudite fendant en estoc traversa le corps céleste d'un exécuteur des hautes œuvres. Mais il n'y eu aucune autre explosion, car l'essence manique de l'Ange resta prisonnière d'un corps organique, alors que le Rejeton des abysses exerçait sur l'âme même de sa proie, une pression grâce à ses pouvoirs. Une lointaine et antique branche de nécromancie qu'il avait alors nommé le Corpus. Enfermé dans sa geôle de chair, le Purificateur sentit ce qu'aucun autre veilleur de l'Elysée n'avait pu ressentir : La douleur.
Comme un parasite, une tique, le Profane fit fondre sur sa proie un épais et obombreux tentacule noirâtre, pour panser ses plaies et affliger à son ennemi, tous ses stigmates. C'est à son oreille qu'il susurra alors :

" Nous allons tous deux disparaître, pour laisser imaginer aux stellaires et aux déités, que leurs desseins se sont concrétisés ... Je veux que tu regardes ce que tu as engendré, tout en sachant, que tu seras le porteur de mon sceau, de ma clé ... Quand tu ne seras plus qu'un exilé, comme moi, je veux que tu prennes conscience que je te survivrais à travers les âges et que je détruirais tout ce que tu as tenté de bâtir, que je monterais aux nues pour massacrer lentement tous tes frères ... Qu'à mon éveil je plongerais ce monde dans la corruption la plus totale. L'eau deviendra sang. Les terres fertiles deviendront cendres. Je danserais sur les ruines de ton utopie ... Prends le temps d'imaginer tout ce que je vais accomplir. "

- Seul un hurlement s'extirpa de la bouche du Divin. Entre quelques gargouillis et projections sanguines. Le réprouvé attendit le châtiment, en contenant l'ange au bord de l'implosion, dans son carcan manique. Drapé de dignité, le visage serein, Elzear Mochdilym Qsuryavanssahr fut littéralement consumé par ce flet lumineux tout droit tombé des cieux. Il ne resta dans son sillage que cette épée, prisonnière d'un étrange socle de pierre, une évocation zoomorphe. Un corps d'hybride cambré en arrière et transpercé d'une lame palpitante, dont les deux ailes consumées
touchaient terre. Il fallut un temps pour que les battements sanguins contenus dans l'épée ne se taisent, mais ceux qui connaissent la légende d'Askamaranth le savent. Elzear est retourné à son plan originel, natif qu'il est des Abysses et il attends que son sang réveille la clé dont Sarigah est devenu le porteur.
Vous l'aurez donc compris, lecteurs de cette contine, tous les jours, l'Ange pleure à l'idée d'être devenu complice du Tourmenteur et impuissant il prie pour qu'un chevalier au cœur pur goute le fruit de son désespoir. Ces maigres de larmes de sang.

- Xaheres Zohan -


■ II - Les caprices du vent -


C'est sans doute grâce à l'héritage de mes ancêtres, que je suis aujourd'hui en mesure d'attendre une juste récompense. Dans les écrits de mon grand aïeul, j'ai contemplé la gloire passée des Robes Noires. Surtout dans sa dissidence. J'ai réussi avec l'aide de plusieurs mercenaires, à briser la roche des Landes devastées et à en extirper l'épée légendaire du Tourmenteur. N'étant guère le calice du sang des Mochdilym, je n'ai pu réussir à retirer la lame de son enclave de pierre, j'ai simplement prélevé un morceau conséquent de la statue du Veilleur. Je ne puis me résoudre à détruire "la clé".
Pour l'activer et l'arracher à son fourreau rocailleux, il me faut trouver un héritier. La Lignée semble s'être éteinte avec les Trois descendants d'Abigor, je prie pour que ce ne soit pas le cas, car ceux des Outremondes attendent le grand jour de leur libération, j'honorerais le pacte établi par mon ancestrale famille et je gagnerais la puissance des anciens grâce au soutient du dernier fils des Mochdilyms.

--

J'ai enfin et après trois années trouvé un héritier. Suivant la généalogie de la lignée d'Amocryth, j'ai retracé le parcours d'un fils de sang pur et de lignée directe avec Aradel Mochdilym, l'émissaire des Neufs royaumes. Portant aujourd'hui le nom de la Matriarche d'Amocryth, amante de l'illustre ainé du Tourmenteur avant le grand cataclysme. Selon les témoignages de certains réfugiés démoniaques, le Prince décadent aurait souhaité honorer les préceptes de la famille avec la saillie d'une démone de bonne lignée. Surthan aurait résulté de cette union. Il aurait à son tour eu un fils d'une humaine, un batard nommé Cyric. Il est à ce jour une bénédiction pour les desseins du Tourmenteur, même si il a été arraché à l'arbre originel de la Dynastie, il n'en est pas moins fait du même bois.

--

Askamaranth a été trouvée et saisie par les Robes rouges. Je ne doute pas qu'ils remontent jusqu'à moi. L'arme maudite a été brisée, quelqu'un d'autre savait quelle menace la clé représentait pour les Trois Royaumes. J'ai réussi a récupérer des éclats oubliés de l'arme, confiant à un Shaman de la Tribu des Fils du Gibbeux, l'un de ces boyaux vers l'Outre-monde. J'espère que son pouvoir et sa sensibilité aux manifestions de la l'Abysse, seront autant de marchepieds et de ponts, que le Tourmenteur pourra emprunter, vers notre monde. Ceci sera ma dernière intervention sur ce journal, le sacrifice de ma lignée, puisse-t-il être honoré par les dissidents de Malificium. Le Tourmenteur reviendra ...

- Tehuti Zohan -


■ III - Lumières sous la nouvelle lune. -

Alors que je contemplais les lueurs moribondes et ardentes de ce vieux tripot. Alors que les corps nus des possédées ondulaient lascivement sous les spectres de grenat et d'émeraude, je perçus dans la quasi-pénombre de cet arborée infernale, des yeux d'un gris d'Anthracite. Des iris qui me renvoyaient une triste image de moi-même. Buvant plus que de raison, je tâchais d'oublier cette œillade dans le fluide ardent et emeraldin qui emplissait mon godet. Je tétais le lait ardent de la fée verte, la dame de mon cœur. La seule qui parvenait à me faire tourner la tête, la seule qui me menait à transcender mon propre corps. J'y parvins, du moins j'aurais pu, avant que ce vieillard encapuchonné ne vienne s'installer à ma table.
De son ample pèlerine ne jaillissait qu'une longue et broussailleuse barbe d'argent. Et dans l'ombre des étoffes, je ne vis que ses yeux mercurés ... Froids. Vides.
Je saurais exactement vous retranscrire ce qu'il s'était dit cette fameuse nuit, je vous retracerais donc notre dialogue par écrit :

- " Tu es le second prisonnier que je viens poinçonner. Contemplatif et impuissant devant les plus insondables et incompréhensibles beautés de ce monde débauché et corrompu ... "

Voilà l'introduction qu'avait posé cet énigmatique vieillard. Ses iris d'acier luisants d'avantage dans les méandres ombrageux que contenaient ses drapés de lin noir. A cette entrée en matière je répondis simplement :

- " Tu ne seras pas l’énième inconscient à venir user ma méridienne avec plus d'eau de feu dans le sang que ne l'exigent certaines lois. Raison pour laquelle tu va repartir consumer tes chimères en marchant sur les deux supports noueux et calleux que tu oses appeler jambes. "

Et persistant, sifflant comme un serpent, cet inconscient continua de me défier :

- " Étrange resucée, ton compost verbeux et tes idiomes acidulés sont sans doute plus divertissants que ceux de ton feu père ... Je n'ai pas beaucoup de temps devant moi, alors je vais faire court. Je suis là pour te donner ce qui te revient en tant que 'Descendant unique de la lignée Mochdilym' "

Désireux de faire disparaître ce sourire suffisant de son visage, je serrais le poing. Mais une telle audace ne pouvait pas être nourrie sans pouvoir, je restais donc sur la défensive :

- " Les soiffards qui me balancent Sürthan au visage sont nombreux ... Je suis l'engeance de la lignée d'Amocryth, va prendre un verre sur mon ardoise pour tout frais d'honoraires et disparais ..."

Mais l'homme refusa l'alternative proposée, il ignora ma clémence et n'en montra aucune à mon égard :

- " Il y a eu un autre homme avant ton père, il avait lui aussi cette piètre complaisance et cet ego cyclopéen ... Tu es porteur du lointain leg d'Aradel Mochdilym et tu persistes à agiter l'oriflamme de la lignée parasite d'Amocryth. A force de t'observer Cyric je me conforte dans l'hypothèse qu'une malédiction pèse sur cette branche de l'arbre généalogique. Une sylve mourante, presque caduque, qui menace de laisser chuter sa dernière feuille ... Je ne te demande rien, prends simplement ce legs et fais tes choix. Mais gardes en mémoire que tu ne peux pas renier ton sang. "

Sur ces mots il releva le menton, affichant un dédain des plus détestables. Je ne sais toujours pas pourquoi je n'ai pas été en mesure de le réduire au silence cette nuit là, mais j'imagine sans trop de mal que j'ai eu raison, aujourd'hui. Je me contentais de m'adapter au discours de ce sale présomptueux en versant dans l'élan sardonique.

- " Ravi que tu aies eu le loisir de t'acoquiner avec les miens, mais pour ce qui est de la magistrature tu as sans doute passé trop de temps a fabuler. J'ai des couleurs et elles ne dépendent pas de mon sang ..."

Plus pressant alors, le vieillard se contenta de poser une breloque sur la table avant de se vouter vers moi et de m'asséner un coup des plus vicieux. Sa petite oraison m'avait, je dois l'admettre, laissé un stigmate profond et particulièrement douloureux :

- " Hm. Suivant d'une meute de pillards, enrôlé de force dans les corps d'armée, fantassin, puis éclaireur, tu as réussi à révéler quelques talents qui t'ont mené à une élite de reconnaissance, car tu étais las de faire le ménage derrière les premières lignes, selon tes termes. Les petits contrats crapuleux ont fait de toi un éliminateur efficace. Tu as attiré l'attention d'un seigneur de guerre honnit, d’écuyer tu as gravi les échelons jusqu'à devenir son vassal. Jusque là, espérons le, tu avais conscience de n'être qu'un faire valoir et à sa mort tu as pris ton misérable pécule. Fond que tu dilapides en putains, boissons et autres futilités. Tu passes tes journées à user les bancs de ce rade ... En effet, tu es un véritable 'porte-oriflamme'.
Comme je te l'ai dit, je t'ai longuement observé. Je sais aussi que tu te poses de nombreuses questions, mais garde les, prends juste cette chaîne de platine et le fragment qu'elle porte. C'est là le vestige d'une "véritable dynastie" dont tu es l'héritier. Fais en ce que tu veux, mais réfléchis bien, car tu finiras par le comprendre, elle est la clé de ton avenir ... "


Cette nuit là, il se contenta de me laisser là, seul à cette table. Pris d'un tourment indéfinissable, d'un malaise. Une prise de conscience que mon ego eu du mal à accuser. Je pense avoir contemplé cette babiole des heures durant. Je n'ai jamais plus revu cet homme, je sais juste que son corps à été retrouvé dans les ruelles de Malificium, et ses yeux, disaient nombre de gens, étaient noirs comme une nuit de nouvelle lune.
Qu'il portait un étrange objet shamanique sur lui. Un collier d'ossements affublé d'un éclat de platine ... Maintenant je le sais, cet étranger n'était que de passage, il venait de loin, de très loin. D'un lieu situé aux confins de ce monde. Son pèlerinage était destiné à remuer le passé et à en réveiller les fragments. Et il savait qu'en me remettant cette chaîne, il me prendrais à parti. Des robes rouges me cherchent, et je sais ce qu'elles veulent. Mais qu'elles se le disent, je ne suis pas une proie, sur le lot, je suis le prédateur. Ils l'apprendront, à leur dépens.

Comment avez-vous connu le forum? : Je l'ai toujours connu


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--



Dernière édition par Cyric d'Amocryth le Mar 13 Sep - 15:55, édité 21 fois
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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyMer 7 Sep - 22:06

Bonsoir,

Bienvenue parmi nous

Préviens nous quand tu auras fini ta fiche

Ambrosia
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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyVen 9 Sep - 6:35

(J'avais pas vu que tu avais posté ta fiche ><)


Bienvenue sur Nel Beraid Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] 3982057981 Bonne chance pour ta fiche!


Sigrid
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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyVen 9 Sep - 22:30

Merci à vous pour votre accueil, je suis ravi de revenir aux sources et de taquiner à nouveau cette bonne vieille muse Nelberienne, je suis cependant désolé de prendre un peu de temps avec cette fiche, mais j'essaye de la fignoler au mieux. Je serais sans doute absent ce W-e mais je promets de l'achever au plus tard dimanche soir ou lundi.
Je serais dans le temps ! Foi de vilain : )

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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptySam 10 Sep - 7:22




Pas de soucis Cyric ^^ Prends ton temps! Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] 2675203089
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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyMar 13 Sep - 15:55

Voilà. Fiche Terminée. ^^
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MessageSujet: Re: Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] Cyric, Fils de l'Ether Noir [ Fini ] EmptyMar 13 Sep - 17:42

Bonsoir,

Eh bien, cette fiche me convient.

Tu vas juste être un joli ennemi de plus à éradiquer pour ma gentille Ambrosia ^^

Tu es validé

Bon rp

Ambrosia
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