Cela faisait maintenant plusieurs mois que l'on avait pas vu Duscisio où que se soit dans Nel Beraid.
Son retour soudain et sans qu'une question ne se pose, dans l'Herboristerie Mystique où il travaille en tant qu'apprentie.
Dans cette dites boutique celui ci venait à peine d'arriver, son sac remplit de plante de toutes sortes jusqu'à que tout dépasse. Il n'est pas très loin, en effet celui ci a déjà commencer son travail au sain de la boutique. La première chose à faire était donc de ranger rapidement se qu'il avait trouver pour les garder le plus longtemps possible. A côté de son sac il y avait deux livres anciens assez gros. Ne cherchez pas à lire le titre, ils sont en Fallacien, cette langue presque morte dont il a même commencer à apprendre quelques mots à sa dite professeur d'herboristerie : Ambrosia, actuellement absente. Celle ci lui avait apprit la première fois comment faire une potion de soin et autre remède utile. En plus de revenir d'un voyage dont la cueillette, celui ci n'a pas hésiter à se renseigner en passant chez ses parents pour apprendre quelques informations importantes sur les siens, et comme prévu les livres qui se trouvaient à côté de son sac n'était qu'autre que les livres d'herboristerie et de remède de la famille. Leur taille et leur poids était celui d'un manuscrit qui assemblait toutes les connaissances possible et inimaginable de tous un peuple. De tels livres ne se trouvent nul part ailleurs et sa valeur est inestimable.

La boutique était éclairé par de multiple bougies de cire qui signifiait bien que quelqu'un était présent à l'intérieur. Duscisio actuellement dans l'arrière boutique revenus peu de temps après derrière le comptoir pour y prendre son sac en premier, puis ses livres dans un second aller-retour. Que faisait-il ? Ouvrant celui ci après avoir sortie quelques plantes, il analysa ses trouvailles pour savoir se qu'il allait pouvoir en faire. Oui, on est pas loin de la fin de la journée mais Duscisio n'avait rien de mieux à faire que de travailler pendant encore quelques heures dans l'herboristerie. Pour quelqu'un qui débute on voyait bien qu'il était très passionner par se qu'il faisait. Les pages du premier livre tourné avec précaution tout de même l'informait de se qu'il devait savoir, le second était pour le moment laisser en retrait car le titre – différant du premier de quelques mots – n'avait pour le moment aucun intérêt.

C'est pendant un heure qu'il rangea les plantes qu'il avait rassembler, celle ci n'avait aucunement perdu de leur vitalité d'outre le fait que le mode de conservation de Duscisio avait quelques choses de fantastique. Vous n'imaginez pas par contre le travail que c'est de s'occuper de ses plantes ramasser avec précaution chaque jours pendant deux mois afin de pouvoir les ramener en bonne état dans la boutique. Maintenant qu'il est présent dans celle ci il allait pouvoir faire une permanence pour différant types de service que l'Herboristerie Mystique disposait. Il savait se qu'il devait trouver quand il le devais. Il s'en souvenait encore mais en fit une brève revue à l'instant. La suite vint à la lecture de l'un des livres. Prenant une pause en sachant qu'il reviens d'un voyage assez long et épuisant, restant sur le comptoir en train de lire l'un des livres qu'il avait récupérer chez ses parents. L'écriture assez complexe ne semblait pas lui poser problème, le Fallacien étant sa langue natale, celui ci le lisait avec aisance, la fin de la journée approchait sans espérer avoir un client ou un collègue se pointer.

Ah ! Me voilà à nouveau de retour chez moi. Bien que j’aimais livrer mes plantes à Bénécius, car je respectais l’environnement et le respect du peuple qui l’habitait, j’étais né à Naturalia et j’avais plus de repère ici. Certaines personnes me reconnaissaient dans la rue, non pas parce que j’avais que dix-huit ans, que j’étais vêtu d’une tunique bleu et que j’avais l’aire tout à fait normal et banal, mais surtout c’était à cause du petit chariot que je trimbalais avec moi toute la journée. J’étais devenu le garçon au chariot, rien de bien palpitant, mais c’était très bien comme ça, du moment qu’on ne m’ennuyait pas ça m’allais très bien. Surtout que ce jour-là, j’avais fini mes livraisons et qu’en fin de journée, ma charrette était vide. Dedans, il n’y avait qu’un lit de terre fertile qui ne demandait qu’a recevoir des végétaux pour le voyage suivant.

Pendant que je marchais dans la rue commerçante, j’avais remarqué la boutique de la famille Mayfair, je ne les connaissais personnellement, mais je savais qu’ils étaient doué dans la connaissance des plantes, étant herboriste également, je m’étais toujours dit qu’il serait bon d’aller les voir un jour histoire d’en apprendre plus et pourquoi pas de faire connaissance. Mais à chaque fois que je passais devant, il n’y avait personne. La propriétaire était partie il y a longtemps, d’après les passants. Mais pourtant, cette fois ci, je voyais de la lumière, et comme c’était la fin de journée, je m’avançais vers la boutique. J’étais un peu gêné, je n’osais pas trop, car je détestais déranger les gens. Après avoir laissé mon chariot dehors, délicatement, j’ouvris la porte et glissa ma tête dedans.

Immédiatement, je sentis les arômes venir à moi, certains que je pouvais identifier sans problème, mais d’autre qui m’avait l’air bien mystérieux. Puis enfin, mes yeux arrivèrent à distinguer une personne au comptoir plongé dans un livre. On aurait dit un mage rouge.
Mage rouge…d’après une de mes amis, j’en serais un moi aussi, mais je n’avais ni l’allure, ni l’étoffe d’un lanceur de sort, mon habit était bleu et pas rouge, et surtout que j’aurai voulu ne jamais avoir de pouvoirs magiques. Mes talents d’herboriste et de livreur étaient suffisants. Mais, je voulais en savoir plus sur ce lieu, alors j’ouvris la porte et leva la main pour saluer, sauf que, ne levant pas mon pieds assez haut, il se prit dans le tapis de l’entrée et je me retrouvai très vite à plat ventre. J’avais mal, mais ce qui me gêné le plus c’était la situation. Alors que je me relevai doucement, je constatai qu’en retirant mes mains du sol, il y avait deux petites tâches brunâtre…oh non…ma température venait de monter d’un coup…par reflexe, je croisai mes bras dans le but de croiser mes mains avant de parler.

« Bonsoir, je suis désolé, j’ai pas fait exprès, je voulais juste voir à l’intérieur…mais je crois que je vais y aller, je ne veux pas vous déranger… »

La lecture du manuscrit avait quelques choses de très impressionnant et intéressant. Sa lecture à voix basse ressemble fortement des incantations que l'on prononce pour une cérémonie quelconque. Le livre en question était celui des potions. Conscient qu'il devait apprendre rapidement à connaître des potions plus complexe pour combler un peu les manque qu'il y a dans la boutique. Le stock était là, mais la passion d'apprendre toujours plus aussi et donc la lecture du bouquin avait quelques choses d'exceptionnel. Se n'était que les premières pages, en sachant qu'il allait passer du temps à lire et relire celui ci pour les imprimer entièrement dans sa tête et les appliquer sans trop de peine. Bien entendu, il ne les maitrisera pas du premier coup. Le but de rester faire une permanence était aussi de faire des essais à partir de se qu'il possédait.
Il ne savait pas encore utiliser correctement sa magie ni le pouvoir latent lier à Toribrioé, l'herboristerie était donc la seule chose qu'il puisse faire pour le moment. Le fait qu'il soit de la famille Balibe, la seule famille restant avec un potentiel de connaissances inouïs, lui ouvre des portes que d'autre n'aurait jamais.

En parlant de porte, celle de la boutique s'ouvrit dans un tintement de clochette, annonçant simplement qu'une personne venait d'entrer dans la boutique. Duscisio toujours sur son manuscrit n'avait encore rien remarquer ni entendu, il le montra même en tournant la page d'une manière lente et délicate pour commencer la lecture de la nouvelle page incruster de lettre et mots tout aussi compliquer les unes que les autres, les quelques dessins était là pour simplifier le schéma de présentation de la potion qui était présenter sur la ou les pages.
Revenons à la personne qui était entrée. Celle ci ne fit pas mine de discrétion bien au contraire, elle avait tout fait pour attirer l'attention de l'albinos derrière le comptoir. Il s'était littéralement casser la figure en se prenant les pieds dans le tapis d'entrée. Duscisio avait sentie quelque peu la magie s'utiliser, sans grave effet il n'y porta pas trop d'importance. Celui s'excusa après s'être relever, de l'avoir déranger.

Non. Ça ira jeune homme. Je peux vous aider peut-être ?

Le naturel vint immédiatement, l'habitude qu'il avait de parler avec autrui de manière commerciale en faisant ses voyages était bel et bien présent. Juste après interrogation il ferma son manuscrit, un bruit lourd signalant bien l'épaisseur du livre, avant de le décaler sur le côté.