'' La lame est l'âme du guerrier, le miroir celui de la femme''

C'était l'une des phrase que mon père répétais le plus lorsque nous étions dans sa forge. Il ajoutait ensuite: '' Si tu regarde la lame d'un chevalier et qu'elle est émoussée et mal entretenue, c'est que tu as face à toi un guerrier négligeant. Ne sois jamais négligeant avec tes armes, Kharn car elles sont le reflet de toi même.''

Il parlais beaucoup mais ses paroles étaient des plus importante a mes yeux. C'étais le savoir d'un vétéran qui m'étais donner mais j'étais trop jeune pour en comprendre le fond de ses mots. Je regrette un peu d'avoir été aussi ignorant dans mon jeune âge, peut-être aurais-je vendu plus de mes produits? Mon père chérissait les épée et les armures qu'il vendait comme si ils étaient ses enfants. C'était un homme passionné, ça c'étais sûr. Je l'étais aussi quand j'était adolescent mais ont dirait que la flamme de ma forge s'est éteinte.

'' Donne un nom a tes armes sinon, tu aura toujours un sentiment de détachement envers elles et c'est le comble pour un guerrier.''

Peut-être qu'il a raison, je devrais leur trouver un nom. Mais, rien ne me viens en tête, pourtant je les ai forgée moi-même, c'est presque comme si c'était mes enfants... Pourtant je n'y arrive simplement pas, peut-être que l'idée me frappera un jour, pour l'instant je me contenterais de les entretenir encore et encore.

Il ne faut pas être négligeant.

En rapport avec : Un grain de sable dans la soupe

L'écriture semble plus appuyé que la dernière fois, l'encre s'écoulant de manière plus prononcées dans les page du carnet et les trait étant plus gras.

''- Si...Si je retrouve ses deux gamins! Je vais leur faire la peau a tout les deux! Je me fout si je doit le faire a mains nus ou avec mes dents! Il vont crever, tout les deux. Ou alors je les ferait souffrir jusqu’à ce qu'ils me supplient d'arrêter! ''

Il prit une pause, les trait reprenant une apparence plus soignée et moins agressive.

''-Peu importe, un mage a soigner mes blessure avec ces connerie de sort. Il a bien paniquer quand il a vu que ça magie n'avait pas grand effet. Il s'est résolu a utiliser les herbe médicinale qu'il avait ramassé plus tôt dans la journée. Les gens sont coopératif une fois sous la pression d'un lame appuyée a la gorge.''

L’écriture redevint normale.

''-Dans tout les cas, je dois retourner au manoir se soir, je louerais un cheval ou j'en prendrais un, je m'en fiche. J'ai autre chose a faire que de me balader. Je ramasse mes chose a la chambre du Chardon Ardent et je fous le camp de cette ville. L'air des plaines dévastée me fera du bien, elles me calmeront. Enfin, peut-être.''

En rapport avec : La traversée

Pas le choix d'Accompagner ces sale gosse jusqu'à Malificium. Mon bras me fait souffrir même après les soins de la femme aux thermes. Avec un peu de chance nous ne nous ferons pas attaquer et je pourrais me débarrasser de ses deux idiots avant d'arriver en ville. Je préfère tout de même rester sur mes garde, la gamine zieute un peu trop mon armure a mon gout et elle semble bien plus dangereuse que je l'aurait cru. L'Autre me semble toujours comme un poids inhumain mais, peut-être que je pourrait l'utiliser comme chair a canon si vraiment des bandits nous attaquent.

J'ai l'impression que ''Roussette'' sera moins un poids que l'autre. Mais, je ferais attention de ne pas trop baisser ma garder avec elle dans mon dos.

-Après l'attaque-

Mon bras me faire toujours mal, c'est pas trop monstrueux mais bien agaçant. J'avais raison au sujet des deux, la rouquine est pas mal, elle se défend bien. Mais, l'autre est un idiot qui se laisse exposer devant des archer pour festoyer une mort. En plus qu'il en a trop fait pour un résultat peu convaincant... Bref, en route pour Malificium, j'ai besoin de nettoyer tout se sang et d'une lit ou me poser.