Darius Metinstal

P.S. Prière d'excuser certaines erreurs, j'ai pas fait ça depuis une éternité...

~~ Darius Merinstal ~~

Identité

Nom : Merinstal, (Tannock pendant une partie de sa vie).
Prénom : Darius
Surnom: Fine lame
Age : 87
Sexe : Male
Statut: Chevalier
Race: Démon (Oui je sais, cliché total, mais avec ce nom de famille, je pouvais pas faire autrement ;_; vous devez déjà vous en douter de ça, par contre… Bref, passons!)
Alignement : Loyal-Bon (J’entends déjà les huées dans la foule crier “Clichééé... »)

Pouvoirs (les deux obligatoires de votre statut):
-Contrôle de la terre
-Vitesse Accrue

Pouvoir au choix (un seul se référer à la liste):
-Réflexes Accrus

Armes : 2 maximum, les armes à feux, magiques sont interdites
-Épée longue et Bouclier (Si ça compte pour 2 armes, prière d’oublier la deuxième.
-Lance courte

Main d'appui (droitier(e), gaucher(e), ambidextre) : Droitier

Description

Caractère :
Un type effrayant et cruel. C’est ce que la majorité des gens qui ne le connaissent pas réellement vous diront. L’homme est doux comme un agneau lorsqu’il n’est pas en train de combattre pour sa vie. C’est un être civile qui voit la conversation comme première méthode à tout et ne prendrais son arme qu’en dernier recours. Bien sur, il n’est pas parfait non plus, lorsqu’il commence à fatiguer on distingue en lui un ton énnervé, des expressions bien plus crues et une langue bien plus fourchue, mais n’est-il pas de même pour tous? Il à ses principes, et incarne ceux du chevalier type plutôt aisément. Il se bat pour la veuve et l’orphelin, n’accepte pas de prendre l’arme contre un individu sans défense, tente le mieux qu’il peut pour être un exemple aux autres et réussis plutôt bien. Ce qu’il aime? Oh c’est simple. Premièrement, chose bien simple, il apprécie la compagnie privée de femmes, ça coule dans la famille. Deuxièmement, c’est un amateur de bons vins… Mais pour y aller de manière plus générale, il aime vivre, il aime être entouré de gens en qui il a confiance… il aime la vie en général tant et aussi longtemps que la parole lui est allouée. Romantique dans l’âme, il est même dit que l’homme entretiens une correspondance avec une jeune noblesse… Mais encore, ce n’est qu’une rumeur… non? Peu de choses le mettent de mauvaise humeur, et encore moins de choses déclenchent sa colère… Mais si une chose le rends fou de rage, c’est bien la trahison. Que ce soit un frère d’armes, ou une partenaire plus intime… La trahison est pour lui le pire vice qui puisse exister. Loyauté, honneur, intégrité sont les trois mots qui le définissent le mieux.

Physique :
Passons ce qui est visible sur l’avatar et allons vers ce qui est réellement important. L’homme mesure environ 1 mètre 90, plutôt grand pour un humain, mais assez petit pour un démon. Son teint pâle, ses cheveux noirs et ses yeux d’un marron menaçant n’améliorent rien de lui. Il possède un certain charme, mais en même temps des traits clairement menaçants. On peut distinguer très aisément un genre de noblesse découler de ses manières et de son habillement. Lorsque sans son armure, il préfère en rester à des vêtements simples mais chics, afin de bien paraitre. L’apparence compte pour peu pour cet homme, mais il sait bien qu’elle compte pour beaucoup pour d’autres. Ses cheveux noirs, mi-longs sont soit cachés par son heaume, soit soigneusement coiffés. D’une musculature imposante mais pas exaggérée, parmi les siens on pourrait le confondre pour un faible… mais parmi les hommes, on le prends beaucoup plus souvent au sérieux. Bien qu’on puisse le prendre pour un faible chez les siens, le sous-estimer est probablement la pire des erreurs qu’on puisse faire.

Historique

Histoire :
« Je vous écris ce matin, non pas par ce sentiment pur qui m’embrase à chaque moment où je regarde votre chevelure voler dans le vent et votre sourire radiant de mille feux, mais bien par ce sentiment de perte complète et totale qui m’envahis depuis quelques jours. Mon absence lors des entrainements a été remarquée par bien des gens, et je crois bien que celle-ci n’a pas été ignorée par votre attention légendaire. Ce n’est tristement pas afin de faire mon romantique et mon éternel passionné que je prends finalement le courage de me confier à vous, ma chère amie… puisque vous êtes la seule en ce monde à qui je ferais autant confiance. Alors donc, si vous auriez l’aimable gentillesse de lire la suite en privé, je vous en serais infiniment reconnaissant. Tout à commencer il y a trois jours avec un rêve des plus flous, mais des plus étranges. J’étais en terres maléfiques, mais j’avais cet étrange sentiment d’être chez moi. Les brasiers brulaient au loin. Dans les montagnes sombres à l’horizon, le magma en coulait tels des rivières flamboyantes. Les orages grondaient au loin comme si le ciel se déchirait et cette odeur de soufre opulente ne voulait pas disparaitre de mon nez…

J’étais dans une tour de marbre noir, entouré par des bibliothèques sans fins, un grand individu que je supposais être mon père me battait et me forçait à lire plus de ces immondes livres, lire quelque chose que je ne comprenais pas… non, laissez-moi corriger, que je comprenais parfaitement mais que je ne désirais pas approfondir. J’étais clairement martyrisé afin qu’il voie se développer en moi un talent bien distinct… celui de la magie noire. Oui, je sais, vous allez écarter mes propos en caressant ma joue de votre douce main et me laisser croire à cette utopie qu’est notre vie à présent… mais ce n’est pas tout. Lorsque j’avais finalement terminé et satisfait cet homme qui se prenait pour mon tuteur, je pouvais finalement disposer… mais le rêve devint bien plus clair à ce moment, et l’image d’un visage qui me regardait avec dédain reste gravée en moi… Celui d’un jeune homme dont la haine pour moi n’était pas qu’éphémère, un adolescent pour qui je n’étais pas un idole mais bien une tour ennemie sur un jeu d’échec… Je n’étais pour lui qu’une nuisance et cela paraissait, mais encore, j’entendis ma voix tonner et lui demander ce qu’il faisait à me fixer, l’écartant sous des menaces si horribles qu’elles me retournaient le cœur.

Le rêve de cette journée ce termine ainsi, mais j’eus ce sentiment de dégout et ce poids intense dans l’estomac pendant toute la journée, au point où je n’eus pas la motivation de sortir de chez moi… Et cette odeur de soufre dégoutante, pire que celle de la mort, je la sentais encore. Encore aujourd’hui, elle me hante l’odorat au point où j’aurais peur de ne plus sentir votre si douce fragrance. En me levant ce matin, une douleur à la poitrine était aussi présente, douleur que j’eus compris suite au rêve de cette nuit-là… Encore une nuit ou votre visage ne se présenta point à mon esprit, à ma grande déception… Mais ce rêve était la continuité exacte du précédent. Le jeune homme que j’avais insulté se retira calmement et s’en alla de ma vue. Je sortis de la pièce et on me servit un festin de roi, alors que je m’asseyais à une position bien distincte à la table… Face à mon père. Cette table gigantesque, nous étions les deux seuls qui avions le droit d’y manger immédiatement, mais c’était si naturel pour moi à ce moment… Si naturel que j’avais l’impression d’y être pour de vrai. J’avais l’étrange pensée que je méritais ce repas plus que mon frère, ma mère et mes deux sœurs… que ceux-ci ne méritaient que d’effleurer mes restes. Un haut le cœur me prenait alors que je réalisais les pensées qui hantaient ma tête…

La nuit vint dans cette fantaisie trop réaliste à mon gout, et j’allai me retirer dans mes quartiers… mais cette nuit-là, le mage noir que j’étais ne vécut pas de repos. Mon frère vint dans ma chambre dès qu’il fut sur que je dormais… et me poignarda à trois répétitions. Le rêve se termina rapidement par la suite, alors que je le regardais d’un air presque content… murmurant le nom de ce frère… Sven.

C’est hier matin que ma panique fut à son plus haut niveau. La mémoire me revint peu à peu, comme si j’avais décidé d’oublier ces évènements il y a de cela bien des années, lorsque je me réveillé sans savoir qui j’étais, sur les rebords d’une rivière des terres neutres. Presque tout faisait du sens même… mais un détail manquait. Pourquoi étais-je en terre neutre et non dans une fosse à ordures près dans les landes infectes de Malificium? Tout faisait du sens, je me souvenais du nom de mon frère et ma sœur, de ma mère, de mon père… J’avais quelques souvenirs vagues des jeux sadiques auxquels je jouais avec mon frère, et du calvaire que j’ai pu lui faire subir, du bourreau que j’eus été il y avait de cela des années… Et tous ces souvenirs se battent encore en moi, au point où je ne sais même plus qui je suis. Suis-je réellement l’homme que je désire être? Ces questions résument bien ma journée d’hier… je n’ai pas mangé depuis, et mon air pathétique fait peur à voir.

Pendant que j’y pense, avant de continuer je désirerais vous demander pardon, puisque l’âge que je vous ai donné fut erroné… je n’ai pas un âge qui se calcule en années humaines, mais on pourrait évaluer celui-ci à 87 ans. Sachez, par contre, que ce mensonge que je vous ai dit n’étais pas intentionnel, simplement que j’eus peur de votre réaction si je vous avais déclaré que je ne savais pas mon propre âge. Ne vous inquiétez pas, très chère, malgré notre différence flagrante, mon cœur ne bat que pour une gente dame, et celle-ci n’est nulle autre que vous. Mais bref, le rêve continua au moment où tout avais coupé, lorsque mon frère venait de me poignarder trois fois de suite à la poitrine, mettant sa main sur ma bouche afin d’étouffer mes cris… et espérer que je perde conscience… Ce qui arriva par la suite m’étonna par-dessus tout. Je ne perdis même pas connaissance, je feins de le faire!

Celui-ci, trop excité par son fratricide déplaça mon corps dans ce qui semblait être une charrette, me trainant avant à travers toute la demeure gigantesque… Mon étonnement fut complet lorsque je vis que celui-ci avait préalablement entassé les deux corps de nos parents! Ce fourbe n’avait pas simplement tué son frère, mais bien aussi ses deux tuteurs! Ma nausée devint de plus en plus forte… surtout lorsque je réalisai que mon esprit était épris de plus de rage que de peine. Et ce haut le cœur devint encore plus insoutenable lorsque j’aperçus du bout de ma vision la chose la plus dégoutante que j’eus vu de toute ma vie. Alors que lui sortait la charrette et se dirigeait loin de la maison, je voyais ma petite sœur passer son doigt dans la trainée de sang que j’eus laissée en me faisant trainer… celle-ci fixait mon le liquide écarlate avec un regard pétillant de milles feux… et un sourire qu’on n’attribue pas à un enfant. Ses yeux se relevèrent et me fixèrent intensément… me faisant signe de la main, comme si elle me disait au revoir, avec une innocence propre à cette enfance que je ne reconnais plus en elle… mais ensuite, elle lécha ses doigts de mon sang. Du sang de son propre frère! Et ce sans aucune hésitation, elle léchait ses doigts en me regardant partir, le même regard heureux et déviant sur son visage, comme si elle appréciait le gout de ce liquide odieux, le gout du meurtre! Le gout du crime horrible que notre frère venait de causer! Et encore… les pensées du présent moi et du passé moi s’entrechoquaient : l’un pensant ouvertement : « Un jour, tu gouteras le sang de Sven, Saiad… » et l’autre étant trop occupé a régurgiter le peu qu’il avait mangé durant les derniers jours… La suite fut moins choquante, mais expliqua bien des choses. Mon frère nous jeta à l’eau, dans une rivière fétide non loin de là. Je passai quelques minutes à dériver afin de lui faire croire à ma mort, lui qui n’avait touché aucun de mes organes par une chance incroyable. Lorsqu’il fut parti et s’exaltait du fait que nous soyons tous mort, je nageai jusqu’à la rive ou je décidai de marcher jusqu’en terres neutres… mais je perdais du sang… trop de sang. Ma vision devenais floue… et les pierres étaient terriblement glissantes sous mes pieds. J’entends par contre la voix réconfortante de mon seul ami… Jean-Louis… qui me dit bien clairement : « Désires-tu réellement mourir sans même connaitre la vie? »… Et ensuite, je perds connaissance, me frappe contre les pierres escarpées, et me retrouve à la dérive.

Mon réveil fut brutal, et tout fait du sens maintenant. Tu te souviens de l’histoire de mon réveil, telle que je te l’ai racontée. Comme quoi ce vieux hibou m’avait sauvé la vie auprès des berges d’une rivière argentée de Naturalia… Et bien en voilà la cause, et voilà exactement pourquoi j’étais près de cette rivière… Jean Louis m’a questionné ce matin, me demandant ce que je me souvenais… Et il m’a confirmé que l’histoire collait. Il m’a avoué que mon périple et ma dérive dura une bonne journée, ou le pauvre avait été forcé d’attacher une corde autour de moi, et de me trainer par les eaux afin de me diriger plus près des terres neutres pour recevoir un traitement adéquat… Et que lorsque je pris connaissance, combien il était content que je ne me souvienne plus de rien.

Les pensées en moi s’entrechoquent encore et je dois avouer que j’ignore à présent ce que je dois penser… Je vous écris cette lettre en tant qu’un appel à l’aide, puisque je ne sais plus qui je suis, ni même ce que je devrais être, et vous êtes la seule vers que je désire me tourner… Vous ais-je menti tous ce temps en ne vous présentant qu’un être inventé de toute pièce? Suis-je réellement un être incliné vers un mal si grand et noir qu’on devrait le sceller pour l’éternité? Mon cœur bat la chamade, et ma perte est plus que totale. Des désirs de vengeance s’entrechoquent en moi, mais pourquoi? Je n’ai plus rien à faire de cette vie-là, je ne suis plus Darius Merinstal, je suis Darius Tannock… Je ne suis pas un mage noir, mais bien un chevalier! Je ne me bats pas pour le pouvoir, je me bats pour la protection de toute bonne chose! Ces choses qui sont si chères pour moi… sont-elles artificielles et sans valeur? Les intérêts de deux personnes se battent pour la continuité de ma vie!...

Il n’y a que deux choses dont je suis sure, la première est mon amour pour vous, ma tendre amie… la seconde est que le nom Merinstal doit être rasé de la surface de ce monde… Rien ni personne ne faisant tant d’horreurs de mérite de vivre sur ces terres. Aidez-moi, rappelez-moi qui suis-je… Ou du moins n’oubliez pas l’être que j’ai cru être et que je vous ai fait connaitre.

Éternellement vôtre,
-Darius Tannock.

P.S. Ceci est la dernière lettre que je signerai ainsi… puisque cette identité mensongère n’a plus lieu d’être non plus. »

Suite à cette lettre (Qu'il ne prit même pas le temps de parfumer), Darius n’eut d’autre choix que de se rendre à l’évidence… Il avait un jour été mage noir, certes… mais cette vie-là n’était plus sienne depuis longtemps. Regardant par-dessus son épaule, il fixa le hibou perché à sa fenêtre, celui même qui l’avait trainé pendant une journée entière dans les rivières de Malificium, soupirant de soulagement alors qu’il voyait que celui-ci restait encore à son chevet. Il l’avait élevé, il l’avait fait devenir un homme bien et c’était tout ce qui comptait. Mais encore, devant lui restait une tâche immense. Il devait un jour devenir fier de porter le nom de Merinstal, nettoyer ce nom de la corruption et du sang. Soupirant à cette pensée, il savait pertinemment quel devoir il lui restait, mais ne savait pas jusqu’où cette aventure le mènerait. Il avait trente-sept années de retard sur Sven, qui était probablement devenu un mage noir respecté…

Mais ça, c’était déjà trop loin. Il savait que cette aventure lui prendrait beaucoup de temps… et qu’il devrait partir pendant un bon temps, abandonnant tout derrière lui pour ce devoir qui lui était imposé. Un sentiment de vide s’installait en lui, comme si quelque chose ne collait pas encore totalement à la fiche… mais il n’était pas capable de rester sans rien faire. L’image de son frère était gravée dans sa tête, et son poing serré réclamait vengeance… Mais étais-ce le bon chemin? Seul le temps lui dirait, pour l’instant, il ne pouvait rester sans rien faire. Le soleil atteignait son zénith, suite à l’écriture de cette lettre beaucoup moins embrasés que les dernières, et le pigeon volait déjà vers sa cible… Il ne planifiait plus la revoir de toute façon, mais peut-être un jour sa quête serait-elle terminée?

Comment avez-vous connu le forum? : Ça fait un baille que je le connais en fait, j’ai tenté a deux reprises d’y faire des personnages mais à chaque fois quelque chose détournait mon attention de celui-ci et je quittais sans donner d’avis. J’ai depuis longtemps voulu revenir, m’y mettre plus qu’avant, mais ce sera un duel entre ma volonté et moi une fois de plus. Bref, j’ai été réintroduit une fois de plus par notre cher Sven, et je souhaite fortement qu’il me botte le c** plus fortement afin que je continue!

Compagnon Animal / Familier

Nom : Jean-Louis

Description : Vous savez, cette image typique que vous avez d’un hibou bien standard aux yeux si perçants et à l’air si curieux? Et bien c’est tout à fait l’image de Jean-Louis, qui se considère comme un noble de la gente ailée. De son nom complet, Jean-Louis de Hibou, cette créature peu orthodoxe serait plus acceptable à un banquet avec la famille royale que son « Marcheur » de compagnie, comme il l’appelle! La créature est bien sûr bonne de nature, mais cela ne l’empêche pas de se prendre pour le nombril du monde et avoir des gouts un peu trop capricieux pour son propre bien. Certes, c’est une description bien courte, mais à vous d’en découvrir plus sur ce joyeux et farfelu personnage.

Rencontre :
Ce vieux hibou n’était qu’un voyeur avant de rencontrer cette famille détruite qu’est la famille Merinstal. Son seul passe-temps était d’observer la vie mouvementée des humains. Par contre les humains devenaient prévisibles et ennuyant, alors voguant sur les vents, ce vieux fou de hibou alla jusqu’à Malificium pour recevoir un peu d’amusement! Perché auprès d’un manoir de taille ridiculement trop grande pour le nombre de gens à l’intérieur, il passa les deux mois à suivre aux fenêtres, écoutant tout ce qui avait à être écouté, et s’intriguant bien trop de ce nouveau spectacle plus effrayant que la vie tranquille des humains des villes. Il resta et fut un des seuls à apercevoir le meurtre multiple que Sven avait causé… Devant la connaissance qu’il avait, un sentiment de culpabilité naquit en lui et le fit remettre sur pied le pauvre Darius après sa perte de connaissance sur les berges de cette rivière fétide et rougie par le sang. Depuis ce jour, il à choisit son camp, œuvrant à faire de Darius une personne vivable en société. C’est d’ailleurs devenu ça plus grande fierté!

Pouvoir : Télépathie, ainsi qu’une vaste connaissance du monde sans-ailes, comme il le dit lui-même.

~~ Modo ~~ Messages : 643 Date d'inscription : 15/02/2012

tout cela m'a l'air parfait !

bienvenue parmi nous une nouvelle fois donc !

Je te valide et te souhaite un bon jeu !

Bienvenue parmi nous en retard