Après avoir passé un moment au chaudron étoilé, un endroit fort agréable, Miranda, la shaman, et Edalion le chevalier arrivaient enfin devant les portes du château. Edalion leva la tête et balaya le paysage du regard, pas pour admirer, mais pour se familiariser. Les portes étaient grandes ouverte, et il en déduisait que c’est là que la garnison des soldats devait se trouver étant donné le nombre de passage qu’il y avait. Puis, il confirma également que les cavaliers se trouvaient également ici car le couple a failli se faire renverser par un étalon en course. Surement un messager. La plus part des gens d’ici dévisagé le chaman et le guerrier en se demandant ce qu’il faisait ici, ou même pour se moquer d’eux. Edalion regarda Miranda en roulant des yeux.

« Je crois que c’est ici, mais j’espère que l’esprit changera… »

Et là en un instant, Edalion avait dans ses pensées de devenir celui qui s’occupera de ça, de l’ordre et de l’organisation de ce château…Mais cette pensée fut rapidement coupée, par l’intervention de deux gardes qui semblait reconnaître la coupe. En vérité, il s’agissait de ceux qui avait cueilli les fameux itinérant. En fait, ils se dirigeaient vers la dame, et en déduisaient donc que l’homme à côté d’elle devait être le bon samaritain. L’un d’entre eux commença une conversation avec Miranda, pour savoir ce qu’elle faisait là, poser des questions sur Edalion et aussi pour la remercier de les avoir prévenus.
Cependant, le deuxième qui était un peu en retrait dévisagé Edalion, comme si il lui était familier. Bien sûr, le chevalier l’avait remarqué et il craignait le pire pour la suite. Le garde fouilla sa poche et sortit un petit bloc, avec pas mal d’information dessus, en particulier des noms avec des descriptions approximatifs, et surtout le titre s’intitule : Personne recherchée. Quand Edalion pu lire le titre, il se retourna comme pour admirer le paysage de derrière, sur ce coup-là, il compté sur Miranda pour le tirer d’affaire, sinon, il entrera dans le château, mais avec des fers à ses poignets.

Edalion avait l’impression d’être un criminel ou un voleur. A devoir se cacher ainsi derrière les gens et à fuir son identité. Mais une question demeurée, devait-il payer pour se crimes passés alors qu’il était manipulé ? Sur le coup, le guerrier remerciait silencieusement Miranda quand il la voyait s’interposer entre lui et le deuxième garde. Durant quelques instants, il était oublié, mais c’est alors qu’un Nième homme apparut devant eux. Un certain Erek qui portait sur lui la responsabilité de ce lieu. Edalion se redressa et allait jusqu’à réapparaître à côté de Miranda. Cet homme avait l’air robuste et sa posture témoignait son expérience. De son œil, il finissait d’inspecter le chef rapidement. C’était une habitude qu’il avait, d’observer les gens, que ce soit en combat, ou dans la vie de tous les jours. Depuis les arènes, il savait que celui qui avait un maximum d’informations sur sa cible avait un net avantage, en bien ou en mal. Comme pour Miranda à la porte du Paradis, bien qu’une ombre de mystère planée encore au-dessus d’elle. Néanmoins, une confiance mutuelle c’été installée et c’était une bonne chose pour lui. Bref. Le chevalier baissa la tête en guise de salut, et se permis de prendre les paroles en premier.

« Sir Erek, je vous présente, mon amie Miranda Tolmed, et je suis Edalion, Edalion Hélioz. L’objet de notre visite et que je suis un ardent défenseur des vertus de notre cité, et j’aimerai officialiser mon statut. Je vous remercie également de nous recevoir. »

Edalion était toujours le même, une posture droite, un regard qui portait un lourd passé, mais dont l’aura était juste et bon. Sa particularité n’était pas ses habilles bleus ou son long manteau descendant à ses chevilles, mais son cache-œil, peut être courant à certains endroit, mais qui laissait toujours un message d’expérience du combat et de la douleur. Un sabre de type chinois était accroché à sa ceinture noir, ces longues épées à la lame courbé et large. Mais seul Edalion pouvait savoir, pour le moment, qu’elle n’avait pu servit depuis trois ans en tant qu’arme. Edalion s’en servait surtout comme outil. Jusqu’à maintenant, seul son expérience martial avait su le tirer des ennuis qui lui imposait de se défendre.

Cette description, le soldat l’avait retrouvé dans sa liste, mais au lieu de le crier dans tout le château, Il profita de la présence de son chef, pour lui montrer la ressemblance avec un homme recherché, pour de multiples meurtres. De plus, Edalion s’était présenté, et cela a permis au soldat de voir ce nom juste en dessous. Maintenant que le chef des chevaliers était là, Edalion n’avait pas peur de devoir affronter un Nième jugement, il se tenait droit et de plus, Miranda était là pour l’aider à prouver sa bienveillance. Qui savait ce qui allait se passer ?

Je fixais le jeune homme sans un mot. J'écoutais avec soin les dires du garde. Un pli soucieux se forma sur mon front lisse. Un criminel... et il osait venir devant moi? Voilà une preuve de courage, qualité oh combien indispensable pour faire un bon chevalier. Ou alors était-ce de la stupidité? Allez savoir. Tant d'êtres humains font preuve d'une intelligence fort limitée pour pas dire inexistante. Et cela, je ne le supportais pas dans mes rangs. On était certes voué au combat et non aux livres mais il ne fallait pas non plus paraitre pour le pire des pécores.

"Votre discours est discordant par rapport à vos anciens faits. Comment cela est-il possible?"

Ma voix était ferme mais chaude. Je n'avais aucune marque d’agressivité. J'étais plus dans l'expectative actuellement que dans la volonté de le ramasser à terre. Je jetais un rapide coup d'oeil à la demoiselle. Garante de son avenir en quelque sorte... Voilà qui était fort intéressant. Je passais ma main droite sur mon menton tout en continuant mon petit discours :

"Et quelles sont ces dites actions? Je vous suis tout ouie. Attention juste à ne pas me faire perdre patience."

Oh oui, je suis une personne accessible mais il ne faut pas non plus aller trop loin sous peine de tâter de mon épée. Je ne suis pas le chef pour rien, il serait dommage que le jeune homme soit obligé de comprendre pourquoi. Je souris doucement afin de l'inciter à m'expliquer les faits. Il avait la chance de passer pour autre chose qu'un criminel borgne. Voyons donc comment il allait s'y prendre.

Edalion avait toujours su que tôt ou tard, il devait faire face à ce genre de situation. Qu’il devait bien faire comprendre qu’il fut un criminel malgré lui. Et comme Miranda lui a dit, il était plus une victime des magiciens noirs qu’un de leur allié. Il n’avait pas vraiment de preuve, d’ailleurs c’est aussi pour cela que Miranda était présente. Seul son œil gauche était un souvenir de cette époque, mais même si il le dévoilait, cela n’expliquerait rien, et le chef des chevaliers prétendraient surement qu’Edalion se serait fait ça tout seul. Et donc, il décida de commencer par le début et de tout lui raconter, de sa vie de fermier, à ces heures de gladiateur, d’esclave et d’assassin…

« J’ai vu le jour à Naturalia et je suis le fils d’un fermier et j’aurai voulu continuer les activités de mon défunt père si ces chiens de Noir ne m’avaient pas enlevé après avoir tué ceux qui avaient le plus de valeurs à mes yeux. Car mes parents faisaient partie des rares personnes avec la flamme de l’espoir dans les yeux pour notre monde, il m’avait tant appris sur la vertu de la vie et sur la moral de ce monde. Mais j’étais confronter à souiller ce qu’il me disait, car je fus jeté dans les arènes pour les seules distractions de peuple. Je devais tuer mon adversaire si je ne voulais pas être tué à mon tour…Longtemps j’ai ignoré pourquoi es ce qu’ils ne m’ont pas tué avec mes parents, mais comme mon père, ils avaient vu que j’avais du potentiel qui sort de l’ordinaire. …Alors ils m’ont utilisé, pour leur plaisir, mais plus tard…pour leur besoin… »

Edalion s’était infligé une nouvelle tristesse mélangé à un début de colère en parlant de tout ça et dans ces conditions. Au point que pour raconter la suite, il arracha son cache œil et ainsi dévoiler son œil blanc semblable à un miroir, dans lequel tous se reflétaient. Il se souvenait de chaque détail, chaque attaque, chaque victime. Bien qu’il essaye de raconter cela comme une simple histoire, sa peine et sa souffrance se voyait dans son œil et s’entendait dans sa voie. Mais sa plus grande tristesse était de devoir porter sur lui la réputation de ce qu’il allait dévoiler à cet instant.

« Je fus plusieurs fois blessé au cours de cet époque-là, mais rien ne pouvait comparer ce qu’on m’a fait au visage. Une flèche m’avait atteint, et dans sa grande fausse générosité, celui qui commandait à ce moment-là, m’avait rendu la vue, en améliorant mon œil, me donnant ainsi un don sournois que je pensais utiliser contre lui pour m’échapper, mais ce fourbe m’avait maudit à une rage sans limite qui ne pouvait être apaisé que par le combat et le sang. Je ne contrôler plus mon corps, bien que conscient, il était impossible de m’arrêter, je tuais chaque personnes devant moi sans pouvoir une seul seconde, me donner la mort par moi-même ou laisser quelqu’un enfin me tuer…mais le pire, c’est qu’il décida de me sortir de l’arène et me placer sur les chemins, attaquant ainsi….femme…enfant…vieillard…animaux…chevalier…magiciens…tout ce qui se dressait sur mon chemin avaient connu la mort, jusqu’au jour où un groupe de mage blanc s’était interposé, de leur magie ils ont pu me libérer de cette rage, mais ils l’ont payé de leur vie, car des magiciens noirs, me suivaient partout pour éviter que leur armes de destructions se fasse tuer . Je n’ai pu que m’enfuir, car revenu à moi je n’étais devenu faible pour affronter tant d’adversaire. J’ai juré alors d’employer tout ce qui m’avait été transmis, pour défendre ce que les mages noirs avaient détruit jusque-là, à travers moi. Mais rien n’est plus dur que d’aider une personne et qu’elle reconnait dans son sauveur un meurtrier du passé, je ne cherche ni gloire, ni profit, je veux pouvoir prouver à tous les esprits de mes victimes que je les ramènerai à la paix, et j’aimerai neutraliser les actes des mages noir pour qu’il ne puisse plus jamais utiliser quelqu’un …Seul, je ne peux pas y arriver, c’est pourquoi je me tourne vers la chevalerie. Je deviendrai un grand atout pour vous et moi j’ai besoin des chevaliers pour devenir plus fort et montrer au peuple que je suis de leur côtés… »

Edalion s’arrêta de parler, il en avait assez dit. Tout était vrai, il voulait absolument entrer dans ce groupe. Mais il n’avait pas l’intention de le supplier à genou, si Erek ne le voulait pas, alors tan pis, il se débrouillera autrement. Il espérait également qu’il n’avait pas l’intention de l’arrêter si jamais il y avait un refus. Il respira un bon coup et attendait patiemment ce qui allait suivre. Miranda connaissait déjà cette histoire, mais elle ne l’avait pas jugé pour autant, elle avait trouvé en Edalion un ami, le chevalier espérait que ce chef en fera autant et qu’il le prendra comme un frère d’arme…

J'écoutais avec soin les dires de mon future disciple. Je fronçais les sourcils par moment ou bien semblais prendre un regard lointain comme si je m'imaginais parfaitement la scène qu'il semblait me dessiner. C'était en effet le cas. Je le prenais dans toute son envergure et pas juste dans son passé. Le silence s'installa quelques secondes. Je répondis doucement :

"Pourquoi vous n'avez pas soigné cet oeil? Car c'est bien là ce qui vous condamne aux yeux des habitants."

Oui, ils le reconnaissaient qu'à cause de son physique. Des mages blancs à très haut niveau pourraient éventuellement le guérir. Ainsi, il n'aurait plus à subir la curiosité sur ce qu'il avait eu par le passé. Il pourrait enfin se libérer du poids qui semblait tant peser sur ses pauvres épaules.

J'écoutais les dires de Miranda. Je souris doucement. Elle semblait vraiment l'apprécier et avoir à coeur que je le prenne parmi les miens. Ses arguments n'étaient que secondaires mais je les pris en compte. Après tout, qui mieux qu'elle pourrait connaitre son présent? Je pris encore quelques secondes de réflexion et alors que je m’apprêtais à répondre, un chevalier pénétra dans la pièce où nous étions visiblement affolé. Il posa son genou gauche au sol, la tête basse, il m'interpella :

"Sire Erek, je suis désolé de vous importuner mais votre présence est nécessaire sur le pont levis. Nous avons un problème technique avec une catapulte."

Je soupirais doucement. Je me devais de valider tout équipement militaire afin de connaitre parfaitement mon armée. Mon entretien avec Edalion était donc terminé.

"J'arrive. Faites venir Jason."

Je me tournais vers le paladin et la shamane et repris :

"Vous m'avez convaincu. Considérez-vous comme chevalier. Afin d'officialiser tout cela, Jason, mon conseiller politique, va venir régler les quelques derniers détails avec vous."

Je saluais d'une légère révérence la demoiselle et je quittai la pièce rapidement. A peine cinq minutes après mon départ, un homme à la longue chevelure rousse, une cicatrice sur la joue gauche, les yeux vifs et bleus, en armure, fit son apparition.

[Je vous laisse le gérer comme convenu]

Le chevalier avait attentivement écouté Miranda. Il était plus que ravi de l’avoir à ses côtés à ce moment-là. Elle était juste et ses paroles étaient fidèles, Edalion ne pouvait espérer un meilleur témoin que son amie. Bien que son récit ait fait mouche à sir Erek et que l’appui de Miranda lui avait assuré son titre de Chevalier, la question liée à son œil l’avait un peu gêné. Edalion avait quand même si lui répondre avec sagesse. Car Erek semblait être resté sur une idée, que seul son œil pouvait effrayer les gens, alors que ce n’était pas le cas. Edalion devait l’aider à avancer sur cette idée.

« Ce n’est pas mon œil qui me ralenti, simplement la réputation qu’ont apporté les survivantes de mes escarmouches malfaisantes. Mon œil est le témoin de mon changement, et j’utiliserai la capacité qui m’a été donné, contre ceux qui m’ont maudit. Et grâce à l’ordre de la chevalerie, j’espère inverser cette réputation et faire savoir à tous que je suis de leurs côté. »

Erek semblait avoir compris, mais il fut interrompu par un soldat qui demandait la présence du seigneur des lieux. Edalion s’inclina devant lui en guise d’au revoir avant de recevoir un certain Jason. Peut-être est-il celui qui lui donnera ses premiers objectifs. Mais ce ne fut pas le cas, enfin, pas tout de suite. Jason se présenta en saluant la shaman et le nouveau chevalier. Il leur demanda de le suivre pour faire une visite des zones importantes, comme la salle de rassemblement. On pouvait noter la place qui y avait ici, et donc le nombre de combattants que renfermé ce château mais qui pour Edalion était toujours insuffisant quand il repensait aux nombres de personnes qui défilaient à la porte du paradis. Ensuite, d’un balcon du château, on pouvait voir la cour où on voyait sir Erek examiner la fameuse machine de guerre. La Jason leur expliquait que chaque décisions ou chaque sortit ou entré du château devait être fait sous la connaissance d’Erek. Encore une fois, Edalion se demandait s’il était au courant de ceux qui utilisait leur statut de Bienfaiteur pour accomplir des actes malsains. Et pour finir, il leur montra la salle d’entrainement, ou des soldats combattaient entre eux, au premier coup d’œil, Edalion constatait des erreurs dans les mouvements, et leurs actions. Es ce l’instructeur qui n’était pas consciencieux ? Ou L’esprits du combattant avait-il quitté ces soldats ?

Le chevalier jeta un coup d’œil à Miranda, mais sans rien dire. Il ne savait pas ce qu’elle pensait sur le coup, mais quoi qu’il en soit, Edalion avait le sentiment qu’il allait avoir pas mal de travail à faire ici. Edalion voudrai discuter avec elle de ça, mais entre eux uniquement, c’est pourquoi il attendait la fin de la visite. Et d’ailleurs pour finir, Jason leur montra le tableau des missions. Dans le hall du château, sur un comptoir, on pouvait voir des centaines et des centaines de plaintes et de requête faites par le public. Sur le tableau juste à côté, il y avait les avis de recherche de différent criminel. Edalion était satisfait de ne plus en faire partie. Avant de les quitter, le conseillé permit à Edalion de choisir sa mission parmi tout ça. Bien sûr, il y avait des missions plus importantes données par des chevaliers hauts gradés, mais pour le moment, le chevalier devait faire ses preuves. C’est alors que Miranda et Edalion se retrouvaient seuls.

« Qu’en pensez-vous ? Moi je pense que quelques chose manque dans ce château…mais quoi qu’il en soit, je dois me montrer déterminé…comme toujours. »

Edalion avait souri à ses derniers mots, même si il y avait du travail à faire, il était content d’être là et commençait à se sentir comme chez lui, comme si ce château l’avait attendu depuis toutes ces années. D’ailleurs, en attendant la réponse de la belle Miranda, Edalion fouilla les missions et au hasard, il en sortit une. Il s’agissait d’une demande d’escorte pour un groupe de gens voulant aller passer une journée et une nuit à une rivière. Bon pourquoi pas, et avec ça, il prit un avis de recherche sur le tableau. Un triple meurtrier recherché dans les montagnes interdites. Mais avant tout, il se retourna vers Miranda.

« Je choisis ces deux-là, que j’accomplirais au mieux, mais avant d’y apporter toute mon intention, j’aimerai vous accompagner là où vous deviez aller avant notre rencontre. Vous avez eu la gentillesse de m’accompagner jusque-là et j’aimerai vous remercier en vous offrant le restant de ma journée. Je commencerais mes missions dès demain ! Qu’en pensez-vous ? »

En même temps, Edalion lui tendit les deux fiches qu’il avait choisies. Il espérait également qu’elle accepte, car il ne voulait pas la quitter ici, alors que son premier objectif, qui était d’aller en château, était accompli. Celle de Miranda ne l’était pas et le chevalier voulait en faire sa toute première mission.

Il ne savait pas trop quoi penser de cette situation. Miranda était quelqu'un de bien et dont le chevalier en avait fait une amie, et par son geste et son générosité, une amie chère à ses yeux. Elle avait raison, maintenant, il était le chevalier Hélios, et il devait se concentrer sur ce tableau rempli de gens qui attendaient d'être secouru. Mais son humanité regretté déjà la présence de la shamane. il l'écouta attentivement et ensuite, il y avait comme un grand silence pendant quelques secondes. Edalion la regardait, droit dans les yeux. il voulait la remercier, l'enlacer, l'embrasser, une poigné de mains, mais il se contenta, d'un sourire, car il était sur qu'elle saurait trouver dans le regard du chevalier et dans ses traits les remerciements nécessaire. Il avait juste à ajouter:

"Nous nous reverrons, je tiens à vous connaître plus que ça, et je tiens à sauver votre bourse encore une fois..."

Biensure c'était ironique, il ésperait que tout ce passe bien pour elle. Il voulait simplement dire, que la prochaine fois, elle verra un chevalier défendant un peuple, et un homme défendant une amie. Miranda quitta la salle, laissant le guerrier avec ses deux feuilles en mains. Il était temps de se mettre au travail. il ne s'était meme pas encore installé , qu'il fila chez les supérieur, leur dire qu'il prenait en charge ces deux quêtes. Aujourd'hui, il avait changé de vie, et plus il avancait plus ca lui plaisait. La guerre, la bataille, l'arme et le sang était dans sa nature, mais il avait décidé de les employer au service du bien et de la vértue.
Après quelques minutes, le voila qu'il s'élanca dans la cour, et quitta le chateau pour sa première mission, direction, les montagne intérdites, la ou, un meurtrier se cachait.