[Terminé] Une arme bien curieuse [Psaro, Raven]

Le voila qui arrive. Intimidé par le monde qu'il y a, Psaro avance lentement, manquant de se faire écraser par d'immense guerriers et démons. Un pas puis un autre, observe de chaque coté, il arrive sur la place du marché infernal. Enfin un marché. Peut être y trouverai il ce qu'il voulait. Il se place dans un coin ou il serait sur de ne pas ramasser de coups de pieds. L’atmosphère est particulièrement lourde. Il fait sombre, sans qu'il fasse nuit. Cette ville est bien a l'image de l’égoïsme des hommes. Le gnome passe les mains dans ses poche. Il cherche avec difficulté les différents stands qui jonchent la place, celle-ci étant bondée de monde, il ne vois pas bien loin. Soudainement, une voix grave surgit derrière lui. Une voix forte qui hurle, sur une espèce de scène :

-Approchez approchez! Les enchères vont commencer! Aller, mesdames t messieurs, sortez vos portes monnaies, on a de tout ici!

Psaro se retourne. Un grand démon, avec une longue barbe tressée scandait ces mots. Un monde pas possible se rameuta vers la scène. Il avait prononcé les mots magique, qui résonnait dans la tête creuse du gnome : "On a de tout, ici". Des matériaux? Ils auraient des matériaux? Trépignant d'impatience devant l'immense scène, il attendait en sautillant. Le démon, qui était retourné dans les coulisses, reviens accompagnée d'une jeune femme blonde, a la peau très blanche, charmante, mais vêtue de morceau de tissus en lambeaux, une paire de menottes aux poignets. Le démon, de sa voix grave et enjouée, recommence a hurler :

-Mesdames et messieurs, voici la première offre! Cette jeune femme n'as pas payé ses dettes. Les enchères commence a 2 000 pièces d'or!

La jeune femme leva les yeux sur la foule, un petit instant, croisant le regard de l'inventeur. Effrayée, certainement par le monde, elle baissa le regard au sol. Les gens derrière commençait a hurler des nombres, de plus en plus grands. Le gnome fixa la jeune fille un moment. Qu'est ce qu'il lui arrive? Le gnome, sortant pour la première fois dans le monde extérieur ne comprenait rien. Il se fraya un passage parmi les jambes de la foule derrière lui. Il rejoins le centre de la place, bien vide. Le démon continuait de hurler des nombres. Psaro en profita pour examiner les autres stands. Il attacha une attention particulière a l'une d'elle. Un peu de tout y était accroché, en particulier une sorte de plaque de métal, qui l’intéressait. Mais son attention fut reporté sur le démon sur la scène, qui hurla :

-5 000 pièces! Vendu au guerrier du fond!

La fille fut poussée de la scène, le guerrier s’avançant dans la foule. Étrangement, la jeune fille avait l'air effrayée, encore, dans les bras du guerrier. Ils sortirent de la foule, Le gnome les suis du regard, les mains dans ses poches.

Mon regard vagabondait sur les différents produits à vendre. Je dois faire attention, je ne dois pas rencontrer certaines personnes, j’ai des dettes à payer, mon manque d’argent ses temps si est inquiétant, Je n’ai pas eu de contrat depuis longtemps, mon argent était rendu si bas, que je ne peux même pas m’acheter une pomme. Généralement je prends qu’elle que chose subtilement, et généralement personne me voit, j’espère que cela sera toujours vrai à cet instant.

Ma tête me fait souffrir depuis mon réveille, je ressens d’étrange chose, mon regard s’assombrit de temps en temps pour se voiler de noir puis je reprends la vue qu’elle que seconde plus tard et généralement pas au même lieu. Mais que ce passait-il dans ma tête? Mon regard se pose de droite à gauche. Cette endroit, c’est l’auberge, dans une chambre, j’ai une clé en main, cela doit être ma chambre que je me suis loué pour la nuit, comme c’est étrange. On dirait quasiment qu’une autre personne navigue mon corps, dans ma main se trouve une bourse, étrange, je n’ai pas d’argent, l’ai-je volée? Mais ne repensons plus à cela pour le moment, la journée est belle, j’ai identifié ma chambre placer dans cette auberge, je regarda par la fenêtre, on voyait et entendais bien une enchère d’esclave. Sa me répugnait, je regarda la fille terroriser, plus que les enchères montait, je regarda mon bras, puis mon poignard, le tendit où mon poignet et l’ouvrit pour que le sang coule, et puis je sortie de ma chambre. Dans ma tête je calculais le temps entre l’achat et l’arrivé de l’acheteur et combien de temps cela prendra avant qu’il parte avec, je ne pouvais tout simplement pas voir du monde vendre un autre être.
Voilà j’étais sortie, je marchai rapidement, mon regard bleuté regardant droite et à gauche, je me dirigeais de pied ferme à l’enchère, mes pouvoirs harcelais ma blessure, je sentais mon sang s’agripper à ma plaie. Je vue le guerrier se diriger vers moi, j’avais bien découvert son plan de direction, il me manquait qu’à agir, je m’approcha du guerrier et me mit devant lui, regardant son nouvel acquisition. Mon sourire faisait charmeur, disons que souvent mieux vaut prendre le coté charismatique pour arriver à ce que l’on veut. Mon armure était l’une des choses qui surprenait plus qu’un combattant, j’ai une armure, mais protège peu, cachant que mes seins, mais gardant mon ventre ne liberté, mon bas caché sous cette longue jupe, ce que le monde ne sache pas est mon pouvoir… Un pouvoir que j’ai découvert depuis peu… Un pouvoir autant dangereux pour moi que pour les autre.

Je parlais au guerrier comme si il ne portait rien sur son épaule, et puis mon regard se figea sur un coin d’armure brisé, où le cœur. La discussion avec le guerrier était spécial, on parlais de mission en tout genre, moi disons que je disais pas grand-chose sur les miennes, il aimait se vanter, pu pour très longtemps, je mis ma main sur son armure en riant puis c’est la que mon sang joua. Mon sang sortie de ma chair couper et d’un geste rapide entra dans la craque de l’armure, se durcit et se planta dans le cœur de l’homme qui me regarda et recula et s’écroula au sol, j’eus le temps de prendre son ‘’achat’’, je glissa entre les mains de la jeune femme la bourse que j’avais étrangement dans mes mains au retour de mon esprit. Je lui murmura de courir et de ne plus jamais s’approcher d’ici, pour ne pas se faire vendre et cette fois définitivement. La jeune femme me regarda et s’enfuie en grand enjambé. Puis j’alla voir le guerrier dont m’ont regard vint feignez la peur je cria :

-Que quelqu’un aille le porter au mouroir! Vite! Où il y aura un cadavre ici!

Une personne s’exécuta, mais le guerier était déjà mort, mon sang, était dans ma paume de main et je l’essuya dans ma cape, il n’avait qu’à pas acheter une esclave, vivre et laisser vivre, là est une chose importante pour moi. La liberté commence là où celle de l’autre commence, bien sûre, je viens de briser cela en tuant une personne, mais elle l’avait bien mérité. Mon regard retourna de droite et à gauche et vis un regard qui me regardait, je me retourna rapidement, agrippa ma capuche et la posa sur ma tête, pour cacher ma tignasse rousse. Puis je me fondis entre le monde, mon geste était trop rapide, pour qu’une personne puisse penser que c’est moi qui l’est tué, et la blessure trop petite pour qu’on puisse s’en rendre compte. Je plaça ma cape pour cacher suffisamment de mon corps, pour que le regard que j’ai vue ne puisse me reconnaître si il me revoit, enfin j’espérais. J’avais encore qu’elle que pièces qui traînait dans une poche, je n’allais tout de même pas donner toute l’argent qui y avait à l’intérieur à cette femme. Je m’étais alignée devant une place qui vendait des pièces pour construire une multitude de chose mécanique, par exemple des pièces de montre, etc. J’ai toujours adorée ce genre de chose, quand je m’ennuie sa passe le temps de s’amuser avec des pièces, même si je n’avais pas de talent dans la fabrication d’objet.

Psaro surveillait le guerrier, ses actions lui semblait étranges. Une autre jeune femme, arrivant a contre sens le rejoins. Elle était a la fois ravissante, a la fois étrange. Une armure, oui, mais une armure lui laissant le ventre nu. C'était presque ridicule a coté de l'autre guerrier. Elle était aussi blanche que la jeune femme dans les bras du guerrier, mais elle avait un quelque chose qui la rendait différente d'elle. Ils ont discutés un moment, ils riaient, sauf la jeune blonde, qui gardait une mine déterrée. Ils devaient se connaitre. Enfin, ce n'était plus très intéressant. Malgré tout, Psaro avait du mal a détacher ses yeux du trio. Le démon, sur la scène continuait a beugler comme un sourd, accompagné tour a tour de jeune homme, de vieillards, tous dévêtus et en mauvais état. Mais cela n’intéressait plus le gnome. Il voulait comprendre les réactions du guerrier et de la jeune blonde. Il les fixa... Un long moment...

L'ennui s'installa rapidement. Il était peut être temps de repartir a la recherche de matériaux. Il sortit les mains de ses poches et chercha une autre sortie a cette place. Il lança un dernier regard au guerrier et aux deux femmes. C'est alors que la femme en armure leva la main, l'homme tomba d'un coup. Qu'est ce qu'il s'est passé?! La main cachée par l'armure, l'inventeur n'a rien pu voir! Il regarda autour de lui, personne ne l'avait vu, tous obnubilés par le démon sur la scène. Son regard revint se poser sur les deux femmes. La blonde, les mains devant elle regardait la femme en armure. Psaro était bien trop loin pour voir ce qu'elle tenait ou ce qu'il s'était passé juste avant. Elle se mit a courir a toute vitesse a l'opposé d’où été posé le gnome. Il ne comprenais rien. Néanmoins, il regarda autour de lui, les gens avait enfin aperçu l'homme.

-Que quelqu’un aille le porter au mouroir! Vite! Où il y aura un cadavre ici!

Un cadavre? C'est ça, le monde extérieur? Un homme se précipita vers le guerrier. Le gnome leva les yeux vers la femme en armure. Il croisa son regard. Certainement était elle inquiète, car, tout de suite après, elle se retourna et mit sa capuche. Elle se précipita dans la place d’à coté. Le gnome se rapprocha du guerrier et de l'homme, celui ci marmonnant :

-Et encore un mort. Dommage pour lui.

Aucune compassion pour les autres. Le monde extérieur est merveilleux, décidément. Un peu plus près, le gnome rabaissa ses lunette/jumelle sur le nez et examina rapidement le cadavre. Aucune trace sur l'armure, ni sur le visage, ni nul part! Est ce qu'un homme peut mourir aussi facilement? Est ce que c'est elle, la femme a l'armure, qui a pu faire ça? Comment! La curiosité pris une fois de plus le dessus sur la raison, l'inventeur remonta ses lunette sur son front et se précipita dans la même direction que la femme avait suivi. Si c'est vraiment elle... Elle posséderait une arme qui passe a travers une armure? Mais ce serait... Incroyable!
Le gnome arrive alors dans l'autre place. Une foule pas possible. Comment la retrouver? Heureusement, c'est pas comme si elle était discrète. Une armure laissant entrevoir le ventre, une longue cape surmontée d'une capuche, de long cheveux long roux; le gnome a décidément bien fait de les fixer un moment! Il leva les yeux. C'est une blague? Dans cette ville a l’atmosphère sombre, tout le monde porte une cape sombre avec capuche de la même couleur! Il va pourtant falloir la trouver. Une arme pareil... Si c'est bien une arme, ce serait fascinant! Il chercha du regard, un coup a gauche, un coup a droite. Il finit par poser les yeux sur un stand. Des ressources, des pièces métalliques, enfin, il trouvait ce qu'il cherchait! Il s'en rapprocha, admirant chaque pièce avec beaucoup d'attention.
Ah! Mais il devait peut être aussi chercher la femme a l'armure! Que faire. Chercher une personne, peut être en vain, dans une ville peuplée et inconnue par curiosité, ou rester sur ce stand, et prendre ce qu'il lui fallait pour s'amuser un moment. Un soupire s'échappa de sa large mâchoire, il se tourna dos au stand en s'appuyant sur ce dernier. Il le va les yeux, et, qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vu la femme en armure, apparemment passionnée par le stand derrière lui! La moue disparu pour laisser place a un sourire presque victorieux. Il se rapprocha discrètement d'elle, en évitant de se faire écraser. Il fixait le stand, visiblement plongée dans ses pensées, sans voir que le gnome arrivait vers elle. Ce dernier, dans un petit rire de savant fou, tira deux petit coups sec dans sa cape en lui soufflant, de sa voix troublante enfantine

-Et bien, ne saviez vous pas que le meurtre se doit d’être puni?

Intérieurement, le gnome pria pour que, dans un élan de peur et de surprise, elle braquerait son arme sur lui. Il plongea vite une main dans sa poche. En dernier recours, sa peau de métal pourrait le sauver.

Les pièces sont merveilleuses, plein de pièces que je ne sais même pas à quoi elles peuvent bien servir! Mais pourrait faire de quoi de super à la fin! Comme si cela n’était pas merveilleux! J’adore cette place, c’est si merveilleux, si on oublie, les cadavres, les meurtres, les viols, la ventes d’esclaves, les démons, les voleurs, les kidnappeurs, les tueurs, les bagarreurs, les assassins, les escrocs, enfin quasiment tout de ce que regorgeait cette place. Mais souvent ici, ce retrouvent des choses si rares qu’on se demande si ce sont des fausses ou non, parfois on peut tomber sur de bonne personnes, mais généralement se sont des escrocs.

Mon regard vagabonda de fond en comble de ce stand aux pièces inconnues! Le choix allait être si difficile. Je pris une pièce, l’analysa, puis la reposa, pris une autre pièce, la regarda la reposa, ce manège se répéta pendant une vingtaine de pièces, puis soudains elle entendit un rire, elle ne se posa pas trop de question, ce devait être un de ses étranges personnages qui fouilles les pièces et qui a dû trouver LA pièce qu’il cherchait depuis un moment, en espérant pour lui que cela ne soit pas une fausse.

Alors que j’allais prendre une de ses pièces, de petit coups se plaça sur ma cape, on tirait dessus, je la tira d’un coup vers moi en me retournant vers le tireur, cela devait être un enfant, les enfants n’arrête pas de tirer sur les capes des gens, cela devait être une raison pourquoi les enfants se faisait kidnapper, certains n’aiment pas sa ce faire agacer. Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir un Gnome qui me lança de sa voix quasiment enfantine :

-Et bien, ne saviez vous pas que le meurtre se doit d’être puni?

Je souris en le regardant et me pencha pour être environs de
sa grandeur, alors il avait vu? Cela ne
doit pas, je crois l’avoir vue de loin, alors si il a vu de quoi, il doit être sûr
de rien sur si je l’ai tué, il veut surement voir ma réaction pour vérifier s’il
avait raison, mais on ne joue pas à ce petit jeu avec moi, seulement moi ai le
droit. Je le fixai et sourit encore de
mes yeux bleus presque déstabilisant et puis je parla de ma voix douces :

-Vous êtes méchant Monsieur le Gnome d’accuser qu’elle qu’un
ainsi! C’était un guerrier que j’ai connu
et que cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, et vous m’accusez de l’avoir
tué!? Je ne suis pas une tueuse, il a du faire un malaise ou avoir une crise
cardiaque ou avoir je ne sais pas trop qu’elle maladie! Mais vous ne devriez
pas accuser ainsi une personne, cela peut être dangereux, si vous lancer des
telles dires sur n’importe qui, surtout ici!
Je lui souris toujours et me releva, en espérant qu’ils
prennent m’a parole pour la vérité et qu’il parte, ma main que j’avais blesser
était bander d’un tissus noir, cela ne faisait même plus mal, au moins je n’en
avait pas beaucoup utilisez, alors ce mal de tête devrais partir d’ici quelque
heures, l’utilisation du sang est puissant mais peut être dangereux pour l’utilisateur,
s’il use de son don sans penser au contre effet : La perte de sang. Mon regards
repris vers les objets mécaniques. J'ignorait le Gnome comme s'il n'existait pas, mais je gardais quand même une attention vers celui-ci. On sait jamais ici et surtout avec des Gnomes.

La main dans la poche, Psaro fixa la femme a l'armure, qui se retourna. Elle se plaça a la même hauteur que le gnome, celui ci, un grand sourire aux lèvres, attendait sa réaction. Les yeux bleus brillant de la femme le fixait, droit dans les yeux vert clair du gnome, amusé par la situation.

-Vous êtes méchant Monsieur le Gnome d’accuser qu’elle qu’un
ainsi! C’était un guerrier que j’ai connu
et que cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue, et vous m’accusez de l’avoir
tué!? Je ne suis pas une tueuse, il a du faire un malaise ou avoir une crise
cardiaque ou avoir je ne sais pas trop qu’elle maladie! Mais vous ne devriez
pas accuser ainsi une personne, cela peut être dangereux, si vous lancer des
telles dires sur n’importe qui, surtout ici!

...Quoi? C'est tout? Elle se redressa, puis se retourna, un sourire presque angélique illuminant son visage. Surement avait elle découvert le petit jeu du gnome. Rejeter la faute en se justifiant signifie bien souvent un magnifique mensonge. Si il pouvait la faire avouer, juste... Un indice. Il releva les yeux vers elle. Celle ci semblait l'ignorer. Le visage de l'inventeur s'illumina d'un rictus sadique que les savants fous ont quand ils trouvent une solution. Elle semblait chercher des pièces. Elle est blessée au poignée, ou du moins, elle a l'air. Un bandage, noir qui plus est... Elle doit vouloir le cacher.
Le gnome mit en place une hypothèse. En l'utilisant, son arme a cassé sur le guerrier, lui assenant un coup mortel, mais un contre coup sur elle même. Le poignée blessé, elle a voulu s'enfuir pour se soigner rapidement. Après ceci fait, il ne lui restait plus qu'a trouver une pièce pour retaper son arme.
Ce doit être ça... Si elle veux jouer a ce jeu, elle n'as visiblement affronté que des imbéciles, et pas de génies comme Psaro aimait se définir. Comme elle l'ignorait, il est clair qu'elle surveille ce cher gnome discrètement, au cas ou il aurait autre chose a rajouter. Dans un autre rire, plus sadique que le dernier. Jouons.

-Ignorer les gens qui vous accusent n'est pas très malin, surtout quand on essaye de se justifier. Et puis, chez nous, les gnomes, nous avons un outils amusant.

Il redescend ses lunettes jumelles, lui donnant un grossissement des yeux presque comique.

-Ceci est pratique pour, disons... Voir de loin.

Il attendit un moment, toujours souriant. Il se tourna face au stand, pris une petite pièce aux reflets dorés, qui semblait être un engrenage. Il la rangea, en prie une autre, en ajoutant, jouant exprès la voix de l'enfant.

-Ce doit être une sacrée blessure que vous avez la, madame.

Il retourna la tête vers elle, une main dans la poche, dans l'autre, il tenait une fine aiguille en acier, légèrement tordue. En jouant a celui qui avait tout vu, il était sur de la faire réagir. Il ne restait qu'a espérer qu'il ai vu juste, et que son hypothèse soit bonne, ou soit assez proche de la réalité pour la déstabiliser.

Il commençait à m’ennuyer se gnome de jardin. Il cherche des poux, là où il ne devrait pas en chercher. J’ai mal à la tête, je sens toujours ma blessure au poignet, c’est une chose que je déteste, devoir me blesser moi-même, car on dirait que j’ai toujours plus mal que si c’est d’autre personne qui me blesse. Mon regard se repencha sur le Gnome puis sur les pièces, un bon coup de pied et il devrait s’envoler loin, n’est-ce pas?

Le Gnome ne partait pas, il voulait jouer? Jouer peut être dangereux, mais jouer en public l’est plus, je être plus maligne que lui, les Gnomes sont généralement rusés, je devrais
l’être plus. Je lui laisse débuter le jeu, car généralement c’est lui qui débute le jeu qui perd. J’aime cette idée, finalement la journée va être plus animé que je le pensais, mon sourire
angélique était toujours présent et je regardais les pièces avec admirations. Qu’est-ce que ce Gnome pouvait bien pensé? Ou est-ce qu’ils cherchent ses indices, ils cherchent à me découvrir, mais personne le peut, même moi.

Alors que je pensais à changer de place, j’entendue un rire, encore se rire de ce Gnome fatiguant. Ah si seulement le botter et le faire envoler loin serait facile!

-Ignorer les gens qui vous accusent n'est pas très malin, surtout quand on essaye de se justifier. Et puis, chez nous, les gnomes, nous avons un outils amusant.

J’eus un rire en le regardant, il avait l’air ridicule, sa lui grossissait les yeux à ce que la
tentation de le botter avec mon pied est tentant! Il me regardait et il me parla à nouveau.

-Ceci est pratique pour, disons... Voir de loin.

C’était tout de même impossible pour lui de m’avoir vue le tuer avec mon sang, tout simplement. Il prit un engrenage et le serra, je le regarda et il prit une voix plus enfantine, ce que c’est ridicule un Gnome.

-Ce doit être une sacrée blessure que vous avez la, madame.

J’éclata d’un rire puissant, puis je le regarda et dirigea mon attention sur mon bandage,
lentement je l’enlevas et lui montra ma blessure, une coupure, droite, précise, faite par un couteau, enfin à ce moment-là par ma dague. Ma blessure semblait être en train de se guérir
le sang ne coulait plus.

-Vous voyez Monsieur le Gnome, ce matin je me suis couper, je suis assez nul à cuisiner, et en cuisinant je me suis couper! Sa vous est jamais arrivé? Moi ça m’arrive tout le temps regardé!

Je lui montrais mes paumes de mains, on voyait plein de coupure, et le pire est que c’est quasiment vrai ce que je dis, je me coupe souvent en cuisinant, ok et des fois dans mes
combats, mais c’est un détail. Je le regarda de mes yeux bleus et lui souris et ma voix ressortie :

-Si vous m’accusez, accusez moi, mais je n’ai rien fait, cela me ferait quoi de tuer du monde? Surtout en public? Pensez-vous sérieusement que je pourrais tuer une personne? J’ai une dague et une épée, pensez-vous sérieusement que si je les aurais utilisez le monde ne m’aurait pas vue vous pensez? Sérieusement vous chercher des problèmes là où il y en a pas, et en plus je n’aurais jamais gagné contre cet homme, il est bien trop fort pour une personne comme moi! Avez-vous finie maintenant de m’importuner? J’aimerais continuer mes achats, sans qu’un Gnome m’accuse d’un geste que je n’ai pas commis! Merci et bonne journée!

Je me dirigea plus loin de lui pour continuer à fouiller dans les pièces, je sortie ma montre de poche, enfin celle de Gaël et je la resserra. Je repris donc ma chasse au pièce de montre.

HRP : Je sais pas ce qu'il se passe, mais quand je copie colle mon texte de Word, tout bug O_o

Surement s'attendait il a un aveu, mais la femme est plus rusée qu'elle n'en a l'air. Il la fixait, elle éclata de rire suite a sa phrase. Le jeu va certainement se poursuivre. Comme prévu, elle reporta son attention sur lui, elle s'attendait a ce qu'il réagisse. Et la, elle eue une réaction imprévisible. Elle ôta son bandage, juste un coupure. Profonde, mais une coupure.

-Vous voyez Monsieur le Gnome, ce matin je me suis couper, je suis assez nul à cuisiner, et en cuisinant je me suis couper! Sa vous est jamais arrivé? Moi ça m’arrive tout le temps regardé!

La cuisine? Elle plaisante? C'est plausible, mais... Non! Elle se justifierais autant? Ça peut pas être une blessure d'arme, en tout cas. Pas d'une qui passe a travers les armures. Elle me présente alors ses mains, couvertes de petites coupures. C'est quoi ça? Pourquoi?

-Si vous m’accusez, accusez moi, mais je n’ai rien fait, cela me ferait quoi de tuer du monde? Surtout en public? Pensez-vous sérieusement que je pourrais tuer une personne? J’ai une dague et une épée, pensez-vous sérieusement que si je les aurais utilisez le monde ne m’aurait pas vue vous pensez? Sérieusement vous chercher des problèmes là où il y en a pas, et en plus je n’aurais jamais gagné contre cet homme, il est bien trop fort pour une personne comme moi! Avez-vous finie maintenant de m’importuner? J’aimerais continuer mes achats, sans qu’un Gnome m’accuse d’un geste que je n’ai pas commis! Merci et bonne journée!

Le gnome baisse la tête. Il se serait trompé? Bien sur que non, il est génial! L'excuse de la femme faible n'est pas fiable. Elle l'as tué, c'est sur. Mais pourquoi! Il faut trouver le mot qui lui ferait tout avouer. Mais quoi dire, quand son hypothèse est fausse? Elle se retire pour aller plus loin. Elle sort une montre, la regarde et reprends ses recherches.
Reprenons depuis le début. Une blessure coupure au poignée, une arme qui serait passé a travers l'armure? Il ne peut pas s’être trompé, donc oui. Une dague et une épée. Elle cherche des pièces pour une arme... Et si c'était pour sa montre? Ou autre chose? Alors, et si ce n’était pas une arme. Alors... Un pouvoir? Le gnome ne connait que le magnétisme. Le jeu ne fait que commencer que le gnome bloque. Et s'il continuait a insister, ça pourrait se retourner contre lui. Il repose l'aiguille, observe la femme un instant. Si elle voulait vraiment l’éviter, elle aurait pu partir très loin. Pour être rester, ça veut dire qu'elle veut réparer quelque chose qui lui est cher. Et cette montre... Ce doit être ça. Elle n'as pas l'air d'avoir d'autre objets mécaniques. Comment retourner la situation a son avantage?
Il sourit alors. Et si il jouait son jeu?
Il se dirigea vers elle, lentement, en cachant son sourire, la tête baissée.
Arrivé a coté d'elle, il releva la tête, hésita. Et si il avait encore faux? Non, il ne peut pas se tromper!

-Excusez moi, mademoiselle. Vous devez avoir raison, je suis désolé de vous avoir accusé. Je tiens a me faire pardonner. Puis je vous proposer mon aide? Il me semble que vous avez besoin d'aide pour retaper votre montre.

Un petit sourire, plus gentil, sans aucune trace de sadisme, sur son visage, il espérait aussi découvrir les mécanismes de base du monde extérieur a travers la montre. Et puis, il désire plus que tout découvrir cette arme, ou ce pouvoir. Au pire, avec une proposition pareil, il est clair que, si elle refuse, c'est qu'elle a quelque chose a cacher. Il ne lui resteras plus qu'à sortir son dernier atout.

Ma montre, j’aime ma montre, sa beauté est magnifique, elle me rappelle de bon souvenir mais aussi de si mauvaise, son visage blême et sur le seuil de la mort de mon Gaël, me revient sans arrêt dans la tête, j’aimerais que ce monde ne soit plus qu’un monde de paix, qu’il n’y est plus de guerre, que les peuples s’allient et deviennent qu’un, un monde et non pas deux. Mais ce rêve est quasi-impossible. Je tremble, oui, je tremble, la peine me frappe de plein fouet, m’engourdis le corps, me monte des pieds à la tête, je sens mes yeux vouloir devenir de l’eau, mais je résiste. Je serre mon point, respire un grand coup et reprend mon calme.

Je recherche des pièces, mais l’une d’elle est importante, ma montre est briser, sa musique ne joue plus quand je l’ouvre. Je ne veux pas la laisser ainsi, si je n’entends pas à nouveau sa musique, je crois bien devenir folle. Mais qu’elle est cette pièce qui manque? Mon regard vagabonde sur chaque pièce, pourquoi en cet instant, ne puis-je donc pas identifié ça pièce manquante? Ils se ressemblent tous! Gaël si tu serais là je suis sûre que tu serais capable de la refaire! Pourquoi ta mort me hante-t-elle encore? Cela va déjà si longtemps que tu es parti…
Ces pensées me harcèlent a-t-elle point que je ne pense même plus à ce nabot de Gnome. Jusqu’à ce qu’il revienne à la charge.

-Excusez moi, mademoiselle. Vous devez avoir raison, je suis désolé de vous avoir accusé. Je tiens a me faire pardonner. Puis je vous proposer mon aide? Il me semble que vous avez besoin d'aide pour retaper votre montre.

Je le regardai, mes sourcils levés, surprise, ils voulaient continuer à jouer? Comme c’est intéressant… J’eus un sourire triste puis mon regard se voilà sous un air triste à son tours et je sortie la montre.

-Cet objet m’est précieux, avant elle jouait une musique, et une pièce ses brisées et je ne suis pas capable de retrouvé la pièce manquante, comme je ne suis pas la meilleure pour ce genre de chose, j’ai de la misère à trouver la pièce manquante… Je prends vos excuses, mais n’accusez pas le monde si vous n’avez pas de preuve, si vous auriez dit à une autre personne que moi, peut-être que sa se serait mal déroulé, pour vous, c’est dangereux, c’est pour ça qu’il vaut mieux ce taire quand les gens malsains nous entourent.

Pourquoi dire ça? Pour lui faire poser des questions, peut-être qu’il pensera que c’est une autre personne et retourneras à sa chasse au tueur!? Je soupira et regarda ma montre, une pièce, il manquait qu’une pièce… Une petite pièce dorée qui s’installe entre deux mécanistes de la montre. Mon visage avait perdu son sourire, tout mon air semblait devenir mélancolique, j’enleva ma capuche et laisse mes cheveux roux retomber sur mes épaules, laissant voire mes oreilles elfiques et mon visage fin.

-Oui aidez-moi et je vous pardonnerai de votre fausse accusation envers ma personne.

Je le regarda et lui fit un léger sourire.

Elle a du deviner qu'il avait rien vu. Mais peut être qu'il n'y avait vraiment rien a voir? Alors pourquoi continuer... Il la regardait d'un sourire faussement désolé. La femme en armure haussa un sourcil, certainement surprise. Elle n'est pas stupide, comme prévu par le gnome.
Elle se penche vers lui, un sourire triste sur le visage encapuchonné, et présente sa montre.

-Cet objet m’est précieux, avant elle jouait une musique, et une pièce ses brisées et je ne suis pas capable de retrouvé la pièce manquante, comme je ne suis pas la meilleure pour ce genre de chose, j’ai de la misère à trouver la pièce manquante… Je prends vos excuses, mais n’accusez pas le monde si vous n’avez pas de preuve, si vous auriez dit à une autre personne que moi, peut-être que sa se serait mal déroulé, pour vous, c’est dangereux, c’est pour ça qu’il vaut mieux ce taire quand les gens malsains nous entourent.

Elle lui donne des leçons? A lui qui avait vécu certainement quatre fois sa vie, voire plus? Comme observé par le gnome, elle tiens donc bien a cette petite montre, au point d'excuser ce dernier alors qu'il l'accusait... Ça l'arrange plutôt! A moins qu'elle ne joue encore. Psaro se pencha donc sur la montre. Quel chance! Le mécanisme est d'une simplicité enfantine, pour un inventeur! Et puis, il ne manquais qu'une minuscule petite pièce. Un petit rouage servant de transmetteur dans la série vers la boite à son. Il en profita un instant pour étudier la montre. C'est... Une montre. Simple, pas de signe bizarre. Il releva les yeux vers elle. A sa grande surprise, elle retira sa capuche en ajoutant :

-Oui aidez-moi et je vous pardonnerai de votre fausse accusation envers ma personne.

Son visage fin et pale s'illumina d'un petit sourire. Sa longue chevelure rousse laissait entrevoir de longue oreilles pointues. C'est une elfe?! Sur l'instant, son argument comme quoi elle n'aurais pas pu tuer le guerrier pris de l'importance. Une si frêle et pale jeune fille? Tuer un véritable mastodonte? Il ne faut pas se fier a l'apparence, et le gnome le sais mieux que quiconque. Enfin, elle semble vouloir le faire culpabiliser a chaque prise de parole. Ce qui ne déstabilisait absolument pas l’inventeur. Celui ci répondit d'un grand sourire.

-J'en ai pour un instant!

Et il plongea les mains dans les piles de morceaux métallique, analysant si vite la moindre petite pièce qu'il trouvait en un instant. Il sort alors, très rapidement un petit engrenage, minuscule, aux magnifiques reflets cuivrés. Il l'observa avec attention, avant de mordre dedans. Du toc. Raté. Il jeta la pièce dans le tas et repris vite ses recherches. Après une ou deux petites minutes, il ressortis un engrenage, de la même taille que le précédent, mais celui ci était de couleur doré, éclatant de brillance. Il se retourna vers l'elfe avec un sourire triomphant aux lèvres. Le gnome plongea la main dans sa poche et en ressorti un petite pointe en acier. Il se rapprocha de la montre, plaçant l'engrenage dans l'espace vide. Il mit au dessus du rouage la pique grise, la tourna rapidement de ses doigts fin puis pressa le bout, provoquant un bruit faible, mais strident. A cette instant, une musique retentit. Une douce mélodie. Toute l'attention du gnome se focalisa sur la musique, jusqu’à en oublier l'elfe, l'espace d'un instant. Il secoua la tête, retira la pointe et leva les yeux vers la femme.

-Prenez en un peu plus soin, si vous y tenez tant. Il serait bête de priver le monde d'un si belle mélodie.

Il était clair que la pièce brisée comme l'avait précisé l'elfe, a due l’être a la suite d'un choc. Donc, ou une inattention, ou un combat. A cette idée, le gnome effaça l'idée comme quoi il avait pu avoir tort de sa mémoire, reportant son attention sur la mélodie, qui devait certainement finir.

La vie n’est souvent pas juste, je me souviendrais toujours de ta mort, oh mon cher et tendre Gaël, cette flèche qui te perça, cette musique qui résonna, cette douce musique qui malgré me relate à un souvenir si douloureux, me remémore de si jolie souvenir. Je regardai le Gnome, il me regardait de ses grands yeux quand j’avais enlevé ma capuche, il semblait ne pas avoir remarquée que j’étais un elfe, ce n’était si pas remarquant que ça? Pourtant on dit que les elfes ont une magnifique voix, bon je dois être une exception à la règle, tout le monde en a une.

Le Gnome lui répondit avec un grand sourire :

-J'en ai pour un instant!

J’eus un autre sourire à sa réponse, je le regardai farfouiller dans tous les petits engrenages, ils semblaient bien connaître ses choses, généralement les gnomes étaient inventeurs, ils sont brillants…Attendez… Essaie-t-il de m’adoucir pour que je lui dise que j’ai tuée cet homme? Oh… Il ne gagnera pas à ce jeu avec moi… Il eut un air triomphant en trouvant un morceau, il mordit dedans et le rejeta dans les autres débris et repris sa recherche, je le regardais faire, regardant ma montre, puis il afficha un air fier en montra une pièce dorée, il sortit de sa poche un petit outil et s’approcha de cette précieuse montre, un bruit retentit pendant qu’il la réparait, puis un petit bruit strident, puis la musique joua…
Une douce mélodie, qui fit frissonner tout mon corps, enfin le retour de ma mélodie, si jolie, si mélancolique, mais donnant court à de beau souvenir, le Gnome avait son regard fixer sur la montre, le monde avait souvent cette fixation quand ils entendaient cette montre. Puis il me la redonna en disant des paroles.

-Prenez en un peu plus soin, si vous y tenez tant. Il serait bête de priver le monde d'un si belle mélodie.

Je souris, oui c’était vrai, je n’y avait pas fait attention quand je l’ai briser… C’était lorsque je fuillais une bête étrange dans la forêt, en m’enfuyant ma montre à tomber de mon sac et elle a dû briser à cet instant, oui c’était à cet instant… Je le regarda droit dans les yeux et je lui sourit :

-Oui je sais, je dois faire attention, vous savez en forêt, il y a d’étrange créature qui sont dangereuse et mieux vaut pas les croisés et malheureusement j’en ai rencontré une et la fuite a été assez périlleuse.

Voilà une vérité véritable, c’était tout-à-fait vrai ce que je venais de dire, j’étais quand même assez malchanceuse de nature face à mes promenades dans la forêt, on dit qu’un rôdeur est mieux dans nature, moi j’aime mieux traîner en ville, mais sans parler à personne. Un mal de tête vint, mon regard se voila et revint normal, ma main ayant rangé ma montre, mon autre main vint gratter ma tête, bon cet étrange phénomène est revenu… Mon mal de tête amplifia… mon regard regarda de droite à gauche, je voilais flou, oh non… Le bruit des personnes parlant semblaient s’amplifier dans ma tête… Je me mordis la lèvre inférieur et fronça les sourcils, ma main tremblai…

-Je…Je… Merci pour la montre…je dois partir…

Je recula et tomba au sol et me releva rapidement, je me retourna, remis mon capuchon sombre et esseya de rentrer dans la foule pour m’y camoufler. Je devais me rendre à l’auberge où j’avais ma chambre, je me sentait étrange… Que se passait-il…? Mon cœur battait 100 milles à l’heure, ma tête tournais, ma vision était étrange… Je n’aime pas cela…

Psaro souriait, l'air fier de ce qu'il avait fais. Il releva le regard vers l'elfe. elle lui sourit aussi, expliquant.

-Oui je sais, je dois faire attention, vous savez en forêt, il y a d’étrange créature qui sont dangereuse et mieux vaut pas les croisés et malheureusement j’en ai rencontré une et la fuite a été assez périlleuse.

Une information capitale. Les forêts du monde extérieur sont dangereuses. C'est toujours bon a savoir. L'air fier, le gnome hochait la tête, les bras croisés. Mais... Elle fuyais? Alors, elle n'aurais vraiment aucun pouvoir? L'homme est mort d'une autre personne? Plus il parlait avec elle, plus il la pensais innocente. Il s'est salement planté, dirait-on. Il la regarda, cherchant peut être un tic. Elle pâlit. Elle n'avait pas l'air de bien aller. Malade, peut etre? Elle porta une main a sa tête, l'autre rangeant la montre.

-Je…Je… Merci pour la montre…je dois partir…

Elle s’éloigna a reculons, trébucha, tomba, puis se releva et parti en courant, l'air paniquée. Le gnome, légèrement surpris, courras dans la même direction. En courant, un humain qui marchait lui donna un coup de pied, ce qui le fit vaciller, et perdre ses repaires. Il l'avait perdue de vue. Peut être que la chance pourrait frapper de nouveau. Il se colla alors contre le mur de ce qu'il semblait être une auberge et chercha du regard. Il resta la une bonne dizaine de minutes a regarder chaque visage, chaque personne qui passait devant lui. Il l'a perdue. Un sentiment nouveau l'envahit soudainement. Un sentiment de culpabilité. Elle était innocente... Et il l'as accusée de meurtre? Si ce n’était que ça... Ce n'est pas la première fois, mais elle était malade... Quel abruti, ce gnome! Il tapa du pied contre le mur, un peu en colère, puis retourna au stand de pièce ou il prit une petite et fine tige d'acier, et un petit engrenage aux reflets dorés. Il les plaça dans ses poches, grommelant quelques mots incompréhensibles. Il partit ainsi de la ville maudite, espérant tout de même recroiser cette femme, et son pouvoir, auquel il croyais toujours. Ainsi se passa son premier contact avec une personne du monde extérieur.

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