Il était tard, l’orage avait disparu, mais la pluie balayé par un vent pas trop fort donné une atmosphère triste au paysage. Dans les rues de Bénécius, on entendit les sabots d’un cheval se diriger vers l’auberge, le chaudron étoilé. Le propriétaire du lieu était à la fenêtre, vêtu d’un pyjama rayé, d’un bonnet, inquiet, il vit un cavalier arriver dans sa direction. Petit à petit, il put voir un homme fatigué, marchant et guidant un cheval sur lequel se trouvait une fille. Il remarqua même un chat dans les bras du jeune homme. L’aubergiste cherchait dans sa mémoire, il connaissait ce visage. Edalion ! Le chevalier ! Un habitué ! Aussitôt, il alluma une torche et sortit sous la pluie à leur rencontre. Edalion était content de voir un visage amical par ce temps et les évènements ressentent. Edalion avait pris dans ses bras, Mentali, pour la couvrir le plus possible de la pluie. Et régulièrement, il jeta un œil sur Harmonie en répétant, on est presque arrivé.

L’aubergiste, tournait autour d’eux en agitant ses mains dans tous les sens car il ne savait pas quoi faire pour les aider. Edalion lui demanda de préparer une chambre pour Harmonie tout en déposant Mentali sur un sol sec, à l’intérieur de l’établissement. Il ressortit pour prendre harmonie dans ses bras. Une fois à l’intérieur, l’aubergiste lui indiqua que la chambre du fond à l’étage était pour eux. En guise de paiement et de réponse, Edalion lui offrit le cheval. L’aubergiste fut d’accord et courut pour le mettre à l’abri.

Une fois dans la chambre, Edalion posa Harmonie sur le lit. Il n’y avait qu’un seul lit d’une place et un grand fauteuil près d’une cheminé éteinte. Mais avant de décider comment dormir, il devait s’occuper de Harmonie, elle était toute trempé, et lui aussi. Sans attendre, il alluma un feu qui grossit avec le temps et dans l’enchainement, il mit Harmonie nue comme un ver et pris une serviette pour la sécher. Elle devait être dans les meilleures conditions pour se reposer et rien ne valait de se sentir propre et au sec dans un lit douillet. L’homme n’avait même pas fait attention à l’intimité de la jeune femme, car pour lui, il y avait plus important. Il l’avait déjà fait à des hommes et des femmes, et même si au réveil il se faisait engueler, il a toujours su qu’il avait bien fait. Une fois sa tâche accomplie, Harmonie était couché dans le lit sous un drap et une couverture bien bordée. La tête de la magicienne s’enfonçait dans un grand coussin blanc.

Edalion se déshabilla jusqu’au pantalon et mit tout à sécher devant le feu, avec les vêtements de la mage. Son torse nu dévoila de nombreuses cicatrices. Certaines nets, d’autres mal guérissent, des griffures, des entailles, des trous…mais pour lui, cela faisait partie de son quotidien et il les avait presque oubliés. Lui, il alla s’assoir dans le fauteuil près de la cheminée et se laissa aller pour décompresser un peu. Il allait surement dormir la et c’était très bien. Puis il fixa à nouveau la dormeuse, puis Mentali. Il voulut lui parler, car avoir un compagnon animal qui savait communiquer clairement était un avantage. Au début, il ne savait pas trop comment faire, puis il décida de lui parler doucement à voix basse pour ne pas réveiller la petite.

« Mentali ? Dis-moi, es ce qu’il existe un moyen de lui rendre un peu de bonheur ? Je veux dire, elle a vécu le pire, son esprit est hanté par des tourments et une entité. Comment puis-je lui venir en aide ? »

Puis il tourna son regard dans le feu en attendant la réponse.

Harmonie s'était endormie sur le sol près du fleuve. Elle ne s'était pas réveillée depuis, du moins si, une fois sur le chemin de retour, elle s'était aperçue qu'elle était sur un cheval et que devant se tenait le garde. Ils se trouvaient dans Bénécius et ils semblaient se diriger vers le chaudron étoilé.

Harmonie se rendormit par la suite et ne se réveilla que bien plus tard une fois dans le lit bien chaud de l'auberge mais surtout au petit matin. Elle avait dormit pendant tout ce temps sans se réveiller. Pendant ce temps, Mentali, lui, en avait profité pour parler avec le soldat.

* Ce que vous pouvez faire pour lui venir aide? Bonne question? A vrai dire je n'en ai aucune idée. Elle ne m'a jamais vraiment parlé de ce qu'elle ressentait, de ce qui s'était passé en détail ni même de comment elle avait appris la nouvellle. Je suppose c'est encore trop dure pour elle d'en parler.*

Mentali qui a ce moment donné se trouvait sur le lit entrain de veiller sur la demoiselle endormie se rapprocha du garde et lui sauta sur les genoux. C'était tout de même plus pratique de parler à une personne quand on la voyait et puis n'oublions pas que Mentali est un chat.

*Cela ne vous embêterais pas de me caresser? Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas reçut ce genre d'attention. *

Mentali s'installa sur les jambes de l'homme puis plongeant son regard dans le feu lui aussi déclara:

* Pour ce qui est d'Harmonie, je compte la ramener maintenant à l'endroit où tout a commencé: à son village, peut être y verrais-je plus clair et j'espère qu'elle y montrera certains sentiments. Si cela vous dit, vous pourriez nous accompagner, j'ai remarqué qu'elle tient à vous mais je ne sais pas pourquoi. A vrai dire, vous êtes le premier humain qui souhaite l'aider qu'elle ne repousse pas.*

Il était vrai ce point là, la seule autre personne qu'elle n'avait pas dénigrer, c'était Calliopé Gray, la fillette qu'elle avait rencontré dans les rues marchandes de la cité blanche. Elles étaient devenues rivales. Mais là n'était pas la question, l'animal remarqua alors que l'homme s'était assoupi.

Quand Harmonie se reveilla, elle se découvrit nue dans ce lit, ses affaires pendaient près de la cheminée dont le feu était éteint. Quand elle s'aperçut que le garde s'était assoupit sur le fauteuil avec Mentali, elle ne put s'empêcher de sourire. Elle s'habilla rapidement et tira la couverture du lit. Elle prit Mentali qu'elle posa sur le lit et posa la couverture sur le corps du garde, après, elle entreprit de soigner son corps plein de meurtrissures. Elle utilisa son pouvoir de guérison puis elle reposa Mentali sur les genoux du sieur. Elle déposa un bisou sur le front de Mentali mais ne savait pas comment régir face à cet homme qui l'avait aidé et prit sous aile.
Elle n'était même pas fachée qu'il l'est déshabillée sans la réveillée, elle se disait que grâce à lui, elle n'était pas malade et qu'elle avait put dormir tranquillement. Ensuite, elle décida de se préparer tranquillement avant de passer par la fenêtre pour aller s'asseoir sur les toits de l'auberge. Elle le faisait parfois à la tour, mais ici c'était bien moins dangereux vu qu'il n'y avait pas grand chemin à faire jusqu'au sommet du toit où elle s'assit et regarda les rues encore inanimée de Bénécius.

Edalion s’était endormit avec une main sur le chat et les paroles de celui-ci comme berceuse. La journée lui avait tellement épuisé qu’il s’était endormit rapidement. De plus, il savait qu’au chaudron il pouvait dormir à point fermé. Il s’était même mis à rêver d’un monde meilleur, d’un monde ou Harmonie verrai son objectif avec honneur et bienveillance plus tôt que par vengeance. Il rêvé aussi d’un moment où les gens de son entourage verrai en lui un porteur d’espoir. Puis, petit à petit, il se réveilla, blotti dans une couverture qui n’était pas là la veille. Mentali était toujours là, mais Harmonie n’était plus dans la chambre. Si ils étaient dans une autre ville, le chevalier se serait inquiété et aurait bondit de son divan avec beaucoup d’inquiétude. Mais, Bénécius était sûr, même si des fois il y avait des petits soucis, mais Edalion ne s’inquiéta pas.

Il se leva, posant Mentali sur le fauteuil. Il prit ses affaires, s’habilla, il jeta un coup d’œil par la fenêtre comme à son habitude. Alors qu’il avait fini, il voulut partir à la recherche de la magicienne qu’il croyait être en bas entrain de déjeuner, mais les discussions des gens en bas de la fenêtre l’interpelèrent. Ils étaient tous entrain de lever la tête vers le toit de l’auberge. N’en s’inclinant un peu plus, le chevalier put apercevoir des cheveux planer au gré du vent. Au lieu de se demander ce qu’elle faisait là, Edalion prit son exemple et le suivi et après quelques pas équilibré et un ou de petits bonds, il se retrouva prêt d’elle. Elle avait l’air en forme, ce qui alluma un sourire sur les lèvres du guerrier.

« Bonjour Harmonie, comment vas-tu ? As-tu bien récupérer ? »


Il se mit assis près d’elle et contempla la vue. On pouvait voir la tour blanche, un morceau du haut de la porte du paradis et la place du marché. De ce point de vue, il se rendait mieux compte tout ce dont il devait protéger et préserver. Il aperçut même le château, là où son rang et sa classe complotaient des plans et des misons. Puis il se rappela que Marc devait les rejoindre ici, il leur devait des explications surtout dans l’intérêt d’Harmonie.

« Je vois que tu gardes certaines habitudes, tu aimes ce genre de paysage ? »


Si c’était le cas, ils allaient avoir un point commun supplémentaire. Le chevalier était particulièrement heureux de l’avoir comme amie. Pour le moment, c’est surtout lui qui lui venait en aide, mais peut être qu’un jour, elle sera là pour lui. Edalion semble être un homme robuste et déterminé, mais très savaient que ce mur renfermé des faiblesses et des plais non cicatrisé.

Harmonie s'était levée tôt et était monté sur le toit, cela lui rappelait un peu son village, elle faisait souvent ça chez elle, elle montait sur la colline pour avoir une vue d'ensemble et ensuite elle avait reproduit cette vue avec les toits de la ville.

Après un bon moment, la mage sentit une présence dans son dos, elle attendit que la personne se rapproche au cas où elle devrait l'attaquer. Il s'agissait d'Edalion.

"Je vais bien, merci. Oui, j'ai suffisemment récupéré et vous? Vous sentez-vous bien? Je n'ai put m'empêcher de soigner un peu vos blessures physique: mage blanche jusqu'aux bouts des ongles."

Si quelqu'un d'autre l'avait entendu, il n'aurait pas compris mais pour elle, cela signifiait beaucoup, la demoiselle s'était combattu dans le but de redevenir une mage blanche à part entière, de l'autre ele penchait vers le forces démoniaques, alors dire qu'elle était mage jusqu'au bout des ongles signifiait qu'il n'y avait plus rien à craindre, qu'elle était redevenue elle-même.

La ville était vraiment magnifique le matin quand de nombreuses personnes dormaient encore, les oiseaux se faisaient rares maintenant mais on pouvait en voir voler de nombreux en groupe. Edalion la sortit un peu de sa rêverie en lui demandant si elle aimait ces paysages.

"Oui, j'avais l'habitude d'aller m'asseoir quand mes parents dormait encore tout en haut de la colline près de notre village, delà, j'avais une vue incroyable sur ce qui se passait en bas, je pouvais voir les marchands qui ouvraient leur commerce et les diverses occupations des habitants. Depuis, je chercher à retrouver une vue comme celle-ci et quand je le peux je monte sur les toits. On a un paysage formidable le matin quand les gens dorment, on peut voir certains animaux se balader, les oiseaux faire les toilettes matinales..."

Soudain elle entendit un ronronnement bien connu et sans se retourner, elle déclara.

"Tu as bien dormi Mentali? J'espère que nous ne t'avons pas réveillé."
*Oui, j'ai bien dormi merci. Harmonie?*
"Oui qu'est ce qu'il y a?"
*J'aimerais que tu m'emmènes quelque part... chez toi.*

Harmonie ne répondit pas, elle baissa simplement sa tête, l'animal qui avait fait le tour et était monté sur les genoux d'Edalion la regardait. La mage commençait à perdre son sourire.

"Mentali? Nous nous y rendrons le moment voulu, je ne suis pas prête à y retourner, mais un jour nous y irons."

Un homme se trouvait en bas et leur faisait signe.

"Bonjour vous deux, vous descendez ou je dois monter."
"Entrez, nous vous retrouvons dans quelques minutes."

Harmonie se leva rapidement et retourna à la fenêtre par laquelle elle se glissa tel un chat. Elle ouvrit la porte et courut dans l'escalier afin de retrouver le garde. Mentali, quant à lui, adressa un regard triomphant au garde,il avait réussi, elle retournerait là où tout avait commencé.

"J'espère ne pas avoir été trop longue. Que faites-vous ici?"
"Edalion m'a demandé de passer afin que nous parlions tous les deux, j'ai cru comprendre que vous vouliez me poser quelques petites questions."
"Il est que la dernière fois, tout ne s'est pas passé tel que je le voualsi et j'en suis navrée."

Elle pensa alors que son ami était vraiment quelqu'un de bien et quand il arriva finalement, peu après elle, elle lui sauta au cou et lui déposa un bisou sur la joue. Elle se sentait heureuse et légère. Elle indiqua une table à Marc et l'invita à s'asseoir pour discuter tranquillement.

Edalion avait bien noté qu’il se sentait bien, et que ses blessures avaient miraculeusement disparut. Maintenant, il savait d’où venait se miracle. Le chevalier avait pu dormir à point fermé, ainsi, il se sentait très bien et d’attaque pour une nouvelle journée. De plus, si ses blessures étaient déjà soigner, il ne pouvait que mieux se sentir et pouvait gracieusement remercier son amie magicienne du bien.

« Je vais très bien, et je te remercie de m’avoir soigné, c’est attentionné de ta part. Et je suis heureux de voir que tes dons te sont un réflexe pour venir aider les gens. Tu es comme une lueur d’espoir dans un monde cherchant la lumière. »

Puis, pendant qu’elle décrivit ses souvenirs en rapport avec la vue, lui aussi s’évadé un peu. Lui, il se rappela de la plage et de la lisière de la forêt. Il n’avait jamais vraiment eu d’occasion de contempler des paysages plus beaux les uns que les autres. Et ici, Harmonie en partagé un avec lui. Il se souvenait d’une mission dans les montagnes, mais il n’avait pas vraiment eu le loisir de faire du tourisme. Il était, à ce moment-là, en pleine traque. Un homme avec du sang d’innocent sur les doigts.

« Tu vois, c’est quand je vois ce genre de scène que je me dis que je vais sur le bon chemin. Tout ça et plus encore mérite d’être préservé et protégé. Et rien que pour ça je pourrai me dresser face à la défiance des noirs. Eux qui cherchent à éliminer tout ça. »

A ce moment-là, le chat arriva, Edalion n’entendait pas ce qu’il disait par la pensée, mais il devinait que ça devait pas être mauvais. Ensuite, il fut interrompu par Marc, qui criait sa présence. C’est vrai que leurs présences sur les toits était peu habituel ici, mais bon. Le chevalier lui adressa un signe en guise de salutation alors qu’Harmonie fila à la fenêtre pour rejoindre le garde. Edalion devait aussi descendre, une fois en bas, il arriva enfin dans la grande salle et vit les deux à une table. Sans comprendre pourquoi, Edalion avait eu droit à un gros câlin avec un bisou en prime. Oui, il était heureux qu’on lui en face, c’était même assez rare, mais il ne compris pas vraiment pourquoi. Alors tout en se mettant à la table, il s’adressa à Harmonie.

« Merci, je peux savoir ce qui t’arrive ? Tu es si joyeuse tout d’un coup, ça fait plaisir à voir. »

Puis, il se tourna vers Marc.

« Bonjour Marc, comment vas-tu ? Tu veux déjeuner ? » À Harmonie « et toi ? Tu as faim ? »

A ce moment-là, on pouvait entendre un bruit semblable à un rugissement de félin, mais ce n’était que le ventre d’Edalion qui se manifestait.

Harmonie entendait ce qu'Edalion lui disait même si elle ne put tout comprendre.
Plus tard, elle était descendu et quand le garde ariva enfin suivit de près par Mentali elle lui avait donné un bisous car elle se sentait heureuse que quelqu'un pense à elle. Avrai dire, au réveil, elle avait oublié Marc et toute l'attaque mais en voyant elle s'était rapellée qu'elle n'avait pas put lui parler, lui demander de s'expliquer, de lui raconter ce qui s'était passé enc e village. Si elle arrivait à avoir plusierus versions, elle arriverait sans doute à mettre cette hisotire à palt et à la comprendre mieux.

Harmonie était retournée s'asseoir et souriait en regardant les gardes, il est vrai que la veille, elle était le contraire parfait, son sourire était nul, ses yeux n'étaient remplis de scintillments et là, tout son visage était illuminé.

"Ce qui m'arrive? Je suis tout simplement heureuse, tu m'as redonné le gout de vivre du moins toi et tous ceux que j'ai jusqu'ici rencontré. Grâce à vous je vois devant moi un nouveau chemin et radieux qui plus est."

"Je suis heureux de vous entendre dire cela jeune fille. Pour ce qui est du déjeuner, c'est déjà mangé au château. Edalion sache que Brom et son frère sont en ce moment même dans le bureau du chef. Pour ce qui est de moi, je le verrais ce soir. Et il veut te voir toi aussi demain matin à l'aube."

"Moi par contre je veux bien déjeuner."

Elle avait déjà fait signe à l'aubergiste de venir pour prendre la commande.

"Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous?"
"Je voudrais deux bols de lait, du pain et de la confiture."
"Bien et toi Edalion?"
"Bien et vous monsieur?"
"Rien merci."

Peu de temps après le gérant revint avec les commandes. Harmonie posa au sol l'un des bols et on entendit une langue lapée le,liquide avec rapidité.
Elle pendant que les gardes parlaient du château prenait son petit déjeuner. Ensuite, elle attendit qu'ils arrêtent de parler.

"J'espère que je ne vous coupe pas masi si vous étiez venu ici, c'était bien pour parler avec moi, c'est ce aps? Alors si vous pouviez me dire tout ce que vous avez vus ce fameux jour où le village de Subas a été détruit, je vous en serais grandement reconnaissante."

"Et bien j'avais été envoyé avec Fern et Pylo à ton village pour veiller que tout se passe bien. Des rumeurs disaient qu'il allait s'y passer quelque chose de grave. Arrivé là-bas, tout était calme mais j'ai voulu que nous y restions plusieurs jours afin de vérifier que tout allait réellement bien. Ce matin-là, des habitants avaient entendus des bruits dans la forêt, j'était donc partis voir mais je n'y ait rien trouvé et quand je suis revenu, certaines maisons étaient en feu, les rues couvertes de cadavres et quelques personnes se battaient avec les mages noirs. Je les ait vus être torturés, il s'agissait d'un homme assez grand avec un médaillon vert qui tenait une cape et une femme un peu moins agée que lui avec de longs cheveux blonds. Fern et Pylo se trouvaient à leur côtés. J'ai essayé de m'interposer mais je n'y suis pas arrivé, j'ai pris la fuite et je suis revenu à Bénécius pour y chercher du renfort mais quand je suis revenu seulement des jours à près car le chef que nous avions à l'époque n'était pas très pressé tous les corps avaient disparus et sur la colline, on voyait des tombes. Un groupe de rescapé vivait toujours dans la forêt, nous les avons conduits à Bénécius et je n'y suis plus jamais retourné."

Harmonie n'en croyait pas ses oreilles. Non, cela ne pouvait être vrai, la description des personnes qui avaient été torturés, c'était ses propres parents, elle en était sur. Son père était le suel homme du village à porter ce genre de médaillon, quand à sa mère, c'était la seule blonde. Harmonie avait une raison de plus de leur en vouloir, ils lui avaient gachés sa jeunesse masi en plus, ils avaient torturé ses parents. A la fin, du récit, Harmonie avait les poings serrés sur sa robe, le visage les regardant. Elle se mit alors debout, les mains posées sur la table te la tête remuée de gauche à droite.

"Non, je ne vous crois aps, je ne peux pas vosu croire! C'est impossible!"

Et elle se laissa tomber au sol où elle se trouvait dans la position que les chinoises ont quand elles servent le thé. Les mains sur ses yeux faisient dévier ses larmes qui partait sur ses bras.

Quand l’aubergiste arriva avec les commandes, il déposa devant le chevalier, un verre de lait avec de simples croissants. Ça pouvait paraître étrange pour un homme de son genre, on avait l’impression que quelque part, il vivait encore à l’époque où il avait sa ferme familiale. Tout en savourant ce petit déjeuner, il écouta le récit et les remarque d’Harmonie. Le chevalier savait que ce que Marc allait dévoiler serait très dur à encaisser, il se souvenait du récit que la magicienne blanche lui avait fait au fleuve. Le massacre de son village, et là, elle était en train de dessiner une nouvelle version, un autre point de vue dans ses souvenirs. Lorsque le soldat racontait son récit, Edalion vit le visage d’harmonie se décomposer, un visage témoignant de la tristesse, de la rage, mais aussi de la confusion. Marc venait de décrire ses parents…Aussi tôt, le chevalier Hélios vit la mort de ses parents également dans sa mémoire et la tristesse s’attaqua à lui également. Quel dommage, Harmonie avait réussi à sourire de joie avant ça. Mais, il fallait qu’elle encaisse le choc, si elle voulait allait mieux. Au moment, ou Harmonie tomba au sol, Edalion se leva, se mit accroupi près d’elle et l’enlaça tendrement pour la consoler en laissant échapper quelques paroles.

« Je suis là… »

Marc était assez mal à l’aise, il était, dans le cas-là, un messager de mauvaise nouvelle et y parait que chez les noirs, on les tuait pour leur métier. Edalion essaya de comprendre. Pourquoi les mages noirs se sont pris juste aux parents D’harmonie ? Avaient-ils quelques choses de spécial ? Des informations ? Des trésors ? Le médaillon ? Ou es ce que c’était parce que la voie de la magie blanche était leur vocation ?

« Marc, sais-tu la raison pour laquelle ses gens ont été torturé ? » Il regarda Harmonie, « Es ce que tu peux me parler de tes parents ? »

Il fallait rendre l’honneur de ce village quoi qu’il doive arriver. Edalion connaissait un peu après leur mode de fonctionnement, étant donné qu’il fut un vulgaire pantin accomplissant involontairement les objectifs déments de ces scélérats. Il faudra peut-être retourner sur le lieu du village, car si les mages noirs cherchaient quelques choses, il était possible qu’ils y soient encore.

Edalion avait dû quitter les lieux avec Marc, apparemment son supérieur voulait les voir. Pas de problème, bien qu’il préfère rester avec Harmonie, il devait suivre son devoir. Il se leva, finit son repas en deux trois bouchées et regarda la mage blanche.

« On se reverra, j’en ai pas pour longtemps. »


Sur un sourire, il quitta les lieux, direction le château. En faites, ils devaient assister aux jugements de Brom et de son frère. Marc aussi fut jugé, mais le chevalier Hélioz prit sa défense et il dut suivre une formation, car son manque de courage faisait défaut depuis un bon moment. Après ça, Edalion escorta les deux prisonniers à la prison, sur le chemin, il avait eu droit à quelques insultes et pour la part de la magicienne aussi, mais ce n’était pas nécessaire de lui transmettre ce genre de message. Son séjour dans les arènes en tant que Gladiateur lui avait appris à ne pas être tenter par la défiance des autres et de garder un esprit claire et déterminé, aussi Brom et son frère perdaient leur temps. La journée passa vite, et le chevalier du malgré lui retourner à l’auberge dans la soirée. Il entra dans la chambre et vit la petite endormit, il l’avait couvert, et en profita pour dormir profondément.

Le matin fut très surprenant, elle avait à nouveau disparut. Il prit son temps, croyant qu’elle était à nouveau sur le toit, mais ce ne fut pas le cas, et là il commençait à s’inquiété. Il descendit dans le séjour et interrogea les employés. Une charrette avait disparu avec une jeune fille dessus, puis, l’aubergiste lui adressa un message. Elle était retournée vers son village. D’abord il voulait la laisser, mais ensuite, il repensait à sa déduction de la veille. Lui seul était resté sur la présence de magiciens noirs dans ce village en ruine. Il ne pouvait pas laisser rester sur une éventualité, il devait en être certain. Il courut dehors, pris un cheval et fonça vers le village. Il se servit de tout ce qu’harmonie et Marc lui avait décrit pour atteindre le village.
Il s’approcha, et vit des chevaux et un peu plus loin une charrette. Et il vit des silhouettes, trois pour être précis, s’approcher D’une maison près de la mairie, Ils avaient entendu quelques choses…Harmonie. Il devait agir.

De l’intérieur, un mage noir avait repérer la petite fille, il sourit malicieusement et voulait l’attraper, mais un cri étouffé l’interpela. Et soudain, Edalion entra dans la maison dans une vitesse folle, quasi surhumaine, bousculant les deux Noirs, car le troisième était sans connaissance devant la porte, celui qui faisait le guet. Le chevalier se releva et se plaça devant la magicienne, la protégeant de sa présence. Tapant du pied, les mages noirs se relevèrent et prépara une magie noir, des boules de feu noir. Cette situation lui rappela l’affrontement de mage noir à la passerelle maudite, avec Marika, la première fois qu’il avait réussi à lever un mur de terre pour se protéger de ce genre d’attaque. De plus, la terre était présente dans cette maison en ruine. La rage était dans le creux de son ventre.

« Vous ne la toucherez pas ! »


A ce moment-là, ils lancèrent leur sort, et le corps d’Edalion fut recouvert d’une épaisse couche de terre absorbant l’attaque. Il contre-attaqua en lançant des filaments de terre, neutralisant l’attaquant de leur mouvement. Il s’approcha d’eux et les assomma pour de bon. Edalion prit la main d’harmonie.

« ca va aller je suis là. »


Mais à ce moment-là, il entendit plusieurs pas dehors. Edalion était tellement inquiet, en venant ici, qu’il n’avait pas bien observé l’environnement, il n’y avait pas trois mages noirs, mais cinq accompagné de deux aigrefins. Que faisaient-ils ici, Que cachait ce village de si précieux ? Mais avant de chercher la réponse, il devait se débarrasser de ces gêneurs, et ça n’allait pas être facile.

Elle s'était caché en entendant des bruits venant vers elle, Edalion arriva rapidement mais ce n'était pas lui qu'elle avait entendu, mais qui était-ce alors, elle passa la tête et s'aperçut de la présence de trois mages noirs. Mais que pouvaient-ils bien faire ici? Il n'y avait plus à rien à voler, et puis c'était son village, il était assez démoli comme cela, elle devait le reconstruire et voilà qu'ils revenaient. Son esprit perplexe cherchait à savoir ce qui se passait, alors qu'Edalion combattait ou lui parlait, son regard était vide, et son esprit bien ailleurs.

Mentali vint les retouver et leur déclara que deux aigrefins et deux autres mages noirs se trouvaient dehors. Harmonie sortit de sa torpeur et aquarquillait les yeux.

"Quoi? Non, mais ça va pas recommencer cette hisoire! Edalion, je suis désolée de vous avoir entrainé sans le vouloir dans cette histoire mais si je suis partie en pleine nuit c'était justement pour que vous ne me suiviez pas. Pour ce qui est de ces bandits, je m'en occupe toute seule, ne vous inquiétez pas, dans quelques minutes je serais là. N'ouvrez quà ceux qui vous diront Ignace."

Harmonie courut à l'extérieur de la demeure. Mentali voulut la rejoindre mais ce ravisa quand elle lui claqua la porte au nez.

"Ah vous voilà, justement je vous cherchais. Je pourrais savoir ce que vous chercher ici? Il n'y a rien à voler, ou en tout cas, il n'y a plus rien de valeur."
"Vous entendez ce que cette petite dit, on pourrait te le dire puisque tu vas mourir mais non."

Harmonie se mit à courir vers un arbre, les deux aigrefins la suivirent, les deux autres restèrent sur place à les attendre. La fillette se stoppa contre arbre, elle se couvenait encore de ce que lui avait dit Xadr. Elle fit comme si elle avait peur, les deux hommes se sentait fier, sans aucunes failles et ils attaquèrent. La fillette se baissa et en remontant, coupa la jugulaire de l'un d'eux. L'autre qui avait perdu l'équilibre vint trébucher sur le corps qui perdait son sang sans pouvoir faire grand chose. Une fosi au sol, la fillette s'assit sur lui et lui maintenait sa dague au niveau du cou.

"Vous allez parler, maintenant? Qu'êtes vous venus faire ici?"
"On se calme, pas la peine de s'énerver. Si je vous le dis, vous me tuerez quand même."
"Je ne m'énerve pas et je peux vous promettre que vous resterez en vie."

Et elle enfonça la dague sous les côtes pour le blesser suffisament pour qu'il se mette à table.

"Très bien, très bien. On nous a dit que sous le village se trouvait une chambre secrète."

Harmonie se mit à rire, c'était donc pour cela qu'ils venaient tous, cette pièce dont il parlait, elle la connaissait mais il n'y avait rien dedans. La jeune fille se releva et lui expliqua. Le jeune homme semblait souffrir, elle lui fit un bandage et l'aida à se relever. Il ne comprenait rien. Pourquoi l'aidait-elle alors qu'il avait voulu la tuer?

"Je suis mage blanche, je ne tue pas par plaisir, que si je ne peux pas faire autrement et je préfère vous avoir dans mon camp qu'en fasse. Alors voulez-vous toujours me tuer?"

Le jeune homme lui fit signe de la tête de manière négative. La demoiselle lui déclara alros que pour entrer, il devrait dire Ignace. Et qu'il devrait expliquer la situation à Edalion pour qu'il ne le tue pas. Sur ce, elle courut jusqu'à la maison où les mages noirs allaient entrer. Elle les siffla et ils revinent vers elle sans voir leur ancien compagnon entrer dans la maison.

Ils se mirent en position d'attaque et Harmonie en position de défense. Ils lui lancèrent des boules de feu qu'elle évita en se jetant à terre. Elle ferma les yeux et se concentra. Il y avait un orage assez loin, elle devait le faire venir mais se défendre aussi. Une partie de son esprit se concentra sur l'attaque et l'autre servait à se défendre. De dedans, Mentali suivait le combat avec intérêt.

*Je vois qu'elle a progressé depuis la dernière fois. Edalion, n'intervenez en aucun cas, elle a des comptes à régler avec cette caste.*

L'orage arrivait, et des éclairs tranchaient le ciel au dessus d'eux, la demoiselle contrôlait ce pouvoir meiux que les autres. Elle leur adressa un "c'est terminé, adieu" et lança sur eux deux éclairs qui les frappèrent de pleins fouet ne laissant plus que des corps calcinés. Le ciel retrouva sa couleur bleuté et les nuages se dissipèrent.

Harmonie revint chez elle et toqua à la porte en disant le mot de passe "Ignace". Elle s'assit sur une chaise et regarda sa robe, des tâches de sang étaient présentes, elle devraient la mettre à laver en arrivant à la Tour.

"Voulez-vous que je vous conduise voir ce que vous étiez venus chercher où aie-je le temps de finir ce que je faisais? "

Cette parole était bien évidement adressé à l'aigrefin, Edalion n'était venu, lui que par peur.

Edalion était dans une drôle d'histoire, le voila obligé de rester dans une maison le temps qu'une magicienne blanche tue des gens mauvais. Edalion, en tant que chevalier, devrait faire appliquer une justice, pour éviter que le bien tombe aussi bas que le mal. Mais il était conscient que dans certains cas, il devait laisser la mort nettoyer les traces de sang. Lorsque la vie rejette , la mort n'est pas loin d'accepter son dut. Alors, il resta dans la maison, se mordant la langue pour s'empecher d'intervenir, car dans un autre côté, c'était son amie qui était en danger, il était la juste en guise de figurine, si les choses tournaient mal, appart la mort d'Harmonie, il se demandait comment ça pouvait être pire. Il regarda Mentali:

"J'éspère qu'après ça, elle agira de manière plus réflechit . "

Puis, la voila qui revient disant un mot de passe qu'il n'avait même pas mémoriser, mais peu importe, il était contre un mur attendant le reste du déroulement. Il ne parlait pas, laissant Harmonie agire à sa gise. Peut être allé t il partir , elle n'avazit pas vraiment besoin de lui. Il jeta un coup d'oeil par la fenêtre, enfin, ce qu'il en reste. Il vit la charette avec du matériel dedans. Ah d'accord, elle voulait reconstruire son village. Es ce que c'était une bonne ou une mauvaise chose? construire un village en ésperant récussiter les gens du passé? Ou le faire, pour des gens qui voudront venir s'installer ici.

"Je vais t'attendre dehors, si tu as besoin de moi, je serai pas loin."

il sortit du batiment et se dirigea vers un mage noir au sol, mort, evidament, il le fouilla mais ne découvrit rien. Il regarda autour de lui et essya de s'imaginer le village animait comme dans les récits de la mage blanche. L'ambiance devait être merveilleuse, Edalion ne savait pas trop ce que c'était , parce que sa ferme d'enfant était isolé. Mais il connaissait la bonté des gens dans ces moments la.

Edalion ne voyait pu la jeune fille. Elle était en compagnie d'un aigrefin, comment pouvait elle le laisser ainsi aller. Ces êtres ne vallait pas mieux que les mages noirs. Jamais Edalion ne leur ferai confiance, même si c'était pour trouver un trésor. Le guerrier accéléra le pas dans le village pour essayer de les retrouver. Et peu de temps après, il vit mentali sortir d'un bois. Merci Mentali, il venait de lui donner la direction.

"Mentali! Ou est elle? Elle est folle ou quoi? Pourquoi avoir conduit l'aigrefin..."

Il n'avait pas vraiment attendu la réponse, il se mit à courire dans les bois, des temps en temps il s'arrêta, pour voir ou il était, et à chaque apparition du chat, le chevalier était réorienté vers la bonne direction. Il n'était pas un rodeur ou un nomade, et donc le pistage n'était pas son fort. Mais avec un peu de patience, il se retrouva devant une souche avec un trou sur le côté...il entendait des voix. Harmonie et l'aigrefin étaient la. Les intentions d4edalion était clair, il voulait neutraliser l'aigrefin et mettre Harmonie en garde. Il entra dans la chambre secrète de manière dynamique, et sans même s'arrêter pour voir si harmonie allait bien, il décocha un coup de poing dans la machoir du guerrier noir pour le mettre à terre, il prit une corde qui trainait parmi les objets déjà présents et attacha solidement l'aigrefin. il le forca à se relever et le laissa près de l'entrée.
edalion n'avait pas de sourire ou un air inquiet, mais son visage était neutre et son regard perçant.

"Harmonie, ne laisse jamais! au grand dieur, jamais un aigrefin libre à tes côtés. Peut importe ces intentions! ces charognards n'hésiteront pas à tuer leurs propres mères si ça pouvait leur rapporter une pièce d'or! Je sais que tu es forte, mais fait plus attention stp."

Les dernier mots avaient laissé la place à une voix plus inquiète. Et sans attendre, il enlacça la jeune fille comme on enlace sa soeur, son amie. il reprit son souffle normal et regarda la pièces.

"Alors c'est ici...C'est rempl ide souvenir je supose"

il prit en main, un jouet , c'était un yo-yo. il avait changé de sujet assez vite, non pas pour être insouciant, mais pour ne pas commencer à sermmoner , il n'était pas mage ou pretre après tout

Harmonie se trouvait avec l'Aigrefin qui regardait partout, elle faisait semblant de ne rien voir, continuant de ranger les affaires dans des sacs. Mais où était Mentali? La mage se disait qu'il mettait trop de temps. Elle savait maintenant qu'elle devait faire attention avec cette caste mais comment voulez-vous qu'elle le sache alors qu'elle n'en avait jamais rencontré avant.
La jeune fille vit arriver Edalion et il décocha un coup de poing à l'homme avant de l'attacher. Il vint ensuite vers elle et commença à la sermonner avant de changer de sujet.

"Merci Mentali de l'avoir trouvé si vite. J'ai eu peur qu'il vous soit arrivé quelque chose, je vous ait appelé mais vous ne m'avez pas répondu."

Elle ne répondit rien aux remarques que lui avait fait son compagnon, elle serait plus prudente maintenant. Oui, c'était ici, la chambre secrète, remplie de souvenir, plus ou moins. Les jouets qui se trouvaient ici avaient appartenus à tous les enfants du village.

"Tous les enfants connaissaient cette cachette, c'est d'ailleurs nous qui l'avons créée afin d'avoir un endroit où l'on pourrait se cacher si on commettait une bêtise ou tout simplement si on se sentait seul. Il y avait toujours quelqu'un ici. Mais je ne peux pas dire que cela me rappelle des souvenirs car au contraire de mon frère, je n'y suis presque jamais allée, je préférais me réfugier sur la colline, au grand air pour m'évader dans les nuages. Ici, c'est un endroit clos et sombre, on ne peut pas s'échapper si besoin est."

La jeune mage se releva, elle avait finie de tout empaqueter, il restait seulement deux jouets: le yo-yo qu'Edalion tenait dans ses mains et la petite poupée en chiffon sur l'étagère. Cette poupée c'était la sienne, elle l'avait eu pour ses quatre ans et lorsqu'elle était partie du village, elle l'avait laissée pour que les autres enfants ne l'oublient pas.

Son visage était neutre, aucune expression n'y figurait, ni peine, ni haine, ni joie. Elle était neutre et laissait son esprit vagabonder dans sa mémoire. Elle revoyait le jour où elle avait eu cette poupée. Cela faisairait partie des affaires qu'elle ne donnerait pas à son arrivée à Bénécius. Ils avaient fêtés son anniversaire dasn la jardin derrière la maison, la demoiselle s'était faite des couettes et alors que le soleil commençait à se coucher et que l'anniversaire semblait fini, son frère revint. Il n'avait pas été là pour son anniversaire et elle lui en avait voulu jusqu'au moment où il lui expliqua pourquoi. Il avait passé deux jours non stop à la crétion de cette poupée avec un maitre en la matière qui habitait le village. Il lui avait créer cette poupée pour qu'elle se souvienne de lui, pour qu'elle garde quelque chose de lui le jour où il devrait partir pour Naturalia pour devenir mage.

Harmonie sortit de sa rêverie et regarda Edalion.

"Peut-on rentrer? Mais avant, j'ai une dernière chose à faire."

Ils sortirent les sacs et les amenèrent au chariot. Elle se concentra et créa un orage très violent qui firent tomber plusieurs arbres sur la cachette, cassant la trappe et faisant tomber de la terre afin de reboucher le trou. Plus personne ne pourrait y entrer. Cela lui avait prit beaucoup d'énergie, c'était la première fois qu'elle faisiat un si gros orage, mais bien qu'elle était fatiguée car cela faisait presqu'une journée entière qu'elle n'avait pas dormie, elle alla chercher le cheval qu'elle avait mis à l'écurie et le positionna pour tirer la charette. Elle monta dessus et attendit que Mentali et Edalion soit prêt à leur tour pour faire faire demi-tour au chariot.

Edalion aida Harmonie à sortir les sacs, et pendant que la mage blanche changea la météo, le chevalier se dirigea vers le chevalier noir pour l’attacher à une pierre et le laisser la. Edalion agissait peut être par cruauté, mais la cruauté était parfois nécessaire avec cette classe vicieuse. Puis il entendit un gros bruit sourd suivi de deux secousses, harmonie venait de faire frapper la foudre afin de détruire ce qui était pour eux, une cachette pour les enfants du village. Oui, c’était mieux ainsi. Puis, Il marcha vers la charrette avec les sacs et attendit la mage avec le cheval.

« Tu à l’air de t’y connaître avec les chevaux, je me trompe ? »


Il afficha un sourire, et monta aux côtés de la magicienne. Il prit lui les rênes, Harmonie était fatigué et la vue de ce village devait l’avoir atteint moralement. Pour l’aider à lui montrer qu’elle n’était pas seule, il passa un bras sur ses épaules. Le voyage du retour allait se faire doucement et calmement, le temps était doux et le vent frais, appart si la lanceuse de sort voulait encore changer la météo, mais il ne croyait pas, avoir détruit la cachette à du lui demander pas mal d’énergie.

« Tu as fait ce qu’il fallait. Maintenant, il faut aller de l’avant, que comptes-tu faire ? T’exercer à la magie ? »

Edalion devenait un peu bavard, de un parce qu’il voulait se changer les idées, mais aussi pour mettre un peu d’ambiance aux gros silences.

« Je suis très content de t’avoir rencontré, dans un sens, on se comprend, on a vécu à peu de chose près la même chose. Le plus curieux dans tout ça, c’est que malgré ce qui nous ai arrivé, on fait partie d’une classe qui parle de justice et de paix. Dans un sens, on a bien fait, si je me serai trouvé en tant qu’aigrefin, je pense que j’aurai perdu toute crédibilité et d’honneur envers nos ainés et descendant. Mais heureusement je n’ai jamais et encore aujourd’hui ressemblé aux noirs et faire du mal parce qu’on m’a fait du mal. Tu sais qu’un jour je compte m’installer à nouveau dans une maison, ne plus voyager ainsi et finir mes jours avec le sourire et la certitude d’avoir laissé une trace dans ce monde, une trace que beaucoup suivront pour devenir des gens biens… »


Sur ces mots il se tut et observa un instant le ciel et s’imaginait que ses parents, et ses ancêtres le regardaient. Pour eux et pour lui, il était décidé d’y arriver, de vivre sa vie jusqu’au bout et d’apporter le plus de paix possible. Si il devait faire la guerre, alors il la ferai , si la paix était derrière, même si il savait très bien que dans une guerre il n’y a jamais de vainqueur…il reprit ses yeux sur la route.

« Je suis d’accord avec toi, je disais simplement que nous sommes nombreux à s’être fait ravagé et que entre nous il faut se serrer les coudes. »

Le silence réapparut un petit moment, le temps d’arriver à l’entrée de Bénécius. Edalion était content d’être de retour, surtout que cette étape vers le village n’était pas vraiment prévue car Harmonie était partie toute seule. Là il revenait au chaudron, il mobilisa la charrette à l’emplacement prévu, descendit et déchargea les cas le temps que la magicienne s’occupa du cheval. Une fois ça fait, le chevalier entra dans l’auberge, salua chaleureusement les gens, et se laissa tomber sur la même chaise qu’il avait quitté le matin. Sans même ouvrir la bouche, l’aubergiste lui apporta de l’eau avec de la menthe.

« Tiens Edalion, tu as l’air exténué. Jamais tu fais de pause ? »

Il avait le sourire en disant ça, et le chevalier lui répondit avec un roulement des yeux. Le tavernier connaissait la réponse. Edalion venait en aide aux gens autant que possible même au détriment de sa santé. C’est vrai, il devait se ménager un peu même si sa caste l’obliger de temps en temps à se surpasser.

« Tu sais, chaque un est fait pour une vie précise, toi tu remontes le moral aux gens qui passe ici et moi je les sauves dans leur quotidien. Santé ! »

L’aubergiste tapota l’épaule du chevalier et retourna à son comptoir, il salua au passage Harmonie qui entra dans le bâtiment. Edalion savoura une gorgée avant de tourne la tête vers elle.

« Tu veux te rafraichir un peu ? Je t’invite. »

Puis, il changea du sujet.

« Il va falloir que je retourne au château poursuivre mes missions et j’ai encore deux rapport à faire. Alors, si tu as encore besoin de moi, je resterai, mais dans tous les cas, si tu as besoin d’aide, viens au château, ne pars pas toute seule face au danger. Tu veux bien ? »

Bien sûr, il était presque sûr qu’à tous les coups, elle partirait quand même seule, comme elle l’avait fait ce matin.

Ils étaient enfin arrivés à Bénécius, ils étaient revenus. Ah la cité blanche, toutes les rues calment et bien rangés, les gens presque toujours de bonne humeur. Et en dehors le chaos, la destruction,la rage. Pourquoi la cité ne semblait-elle pas s'en inquiéter? Pourtant on en voyait de nombreuses traces telles que des mages noirs se promenant tranquillement dans la ville. Le monde partait à la dérive et Harmonie pensait être la seule à voir ce qui se passait. Elle ne fit aucune remarque lorsque l'on adressa une remarque à Edalion. Il semblait fatigué? Rien d'étonnant à cela, il était venu la rejoindre et c'était battut pour la sauver à de nombreuses reprises. Il avait besoin de dormir rien de plus.

Harmonie remit le cheval en place et s'en occupa: de l'eau, de l'avoine, une carotte pour le féliciter et un bon pansage. Quand elle revint, les sacs étaient déchargés, il n'y avait plus qu'à les amener à la Tour mais elle était bien trop fatiguée pour cela. Et pourtant son cerveau marchait à plein régime. Elle laissa les sacs à leur place et alla dans la taverne.

L'aubergiste la salua et elle lui rendit son salut, elle s'approcha d'Edalion qui lui demanda si elle voulait boire quelque chose.

"Moi non, mais à Mentali, cela ne fairait pas de mal."

Elle demanda un bol d'eau et elle avait raison, dès que le bol fut servi, Mentali n'attendit pas qu'il soit au sol, il monta sur la table et se mit à laper l'eau bruyamment.
Edalion lui fit remarquer qu'il devait rentré car il avait des choses à faire. Elle acquiesca, Harmonie comprenait bien la situation. Il était chevalier et devait protéger les gens, tout le monde. Et puis avec tout ce qui venait de se passer, il devait les mentionner dnas ses rapports.
Ne pas partir seule face au danger? C'était la meilleure, c'est ce qu'elle faisait toujours car au départ, il n'y avait jamais de danger c'était toujours sur place qu'il se manifestait.

"Je comprends et je vous promets de vous appeler si besoin est." elle rajouta en murmurant: "Ou d'appeler Xadr."

Elle avait toujours sa carte dans son sac, elle l'ouvrit et vérifia ce qu'elle pensait, oui elle y était bien, elle la voyait dépasser d'entre deux livres.

"J'ai une dernière demande à vous faire, m'aider à emmener les sacs à la Tour Céleste, je fairais le tri là bas."

Edalion ne voyait pas de problème pour l'accompagner une dernière fois. Après tout, c'était à Bénécuis, à seulement quelques pas d'ici. Et il était impossible de ne pas voir la tour blanche, même hors de la ville. Puis il lui posa quelques questions, histoire de se mettre au courant.

"Comment ça se passe à la tour blanche? j'avoue que je n'y ai jamais mis les pieds."

Le chevalier avait entendu le nom de Xadr, le rôdeur qui l'avait aider à attraper un meurtirer. Mais il ne faisait pas partie de ses fréquentation les plus aimable, ce rodeur sentait l'arrogance et le respect et la disicpline semblait beaucoup lui échapper. Les elfes...Rien qu'à cette pensée edalion était heureux d'être né humain. Il n'était pas raciste et bien plus tolérant qu'un magicien blanc. Il fallait e tout pour faire un monde et souvent les être les plus original n'étaient pas si loin que ça, pensait il en regardant la fille et son chat. Harmonie était pleine de ressource , un brin d'inconscience , prévisible et avec un coeur sur la main. Elle mérité qu'Edalion lui accorde d'avantage de temps à l'aider.

"Bien, on y va tout de suite? Ou tu veux d'abord te reposer et y aller demain matin?"

Edalion finit son verre et s'étire histoire de se détendre, il n'était pas fatigué, mais après tout il n'était qu'un homme.
Il allait surement croiser pas mal de magicien blancs en allant à la tour. il y verra surement des référence aux héros mages blanc d'antan, comme doukas , shendow et mileena. des être qui l'inspirait plus que tout autres chose à continuer sa lutte contre les Noirs . Peut être pourra t il rendre hommage à ceux qui ont donné leurs vie pour le remettre sur le droit chemin. sans eux, Edalion serait encore un vulgaire gladiateur ou assassin selon la volonté et les désir de son marionnettiste. Il repensait ensuite à sa ligne de vie, comme elle avait démarré . Si les noirs l'avaient laissé tranquille chez lui avec ses parents, peut être qu'aujourd'hui, il serait marié, père avec ne maison et un simple métier. Forgeron, ou encore brocanteur. Allez savoir.

Ah ce qu'elle comprenait, cela ne lui posait pas de problème. Voilà quelque chose qui lui faisait plaisir à entendre, elle allait passer encore un peu de temps avec lui.
Il lui demandait comment ça se passait à la tour alors qu'elle regardait Mentali. Elle ne comprenait pas sa question.

"Que vous lez-vous dire par comment ça se passe à la tour blanche? Par ce que si je dois donner une réponse, je dirais comme dans les autres. On est plus ou moins libre, on doit savoir concocter des antidotes, savoir à quoi servent certaines fleurs. On doit connaitre le corps humain et il faut passer un test comme partout ailleurs je suppose pour monter dans les rangs des mages."

Voulait-elle y aller tout de suite ou demain, elle l'apercevait qui s'étirait. Il valait mieux y aller demain matin, quand ils seraient bien reposés. Si ça ne tenait qu'à elle, elle serait rentrée directement à la Tour mais le chevalier n'avait quasiement pas dormis de la nuit, il avait certainement besoin de dormir. Vous aller me dire qu'Harmonie est humaine et que elle aussi a besoin de dormir mais je vosu rappel que la plus part du temps, elle passait ses nuits à tester des antidotes.

"Je pense qu'il vaudrait mieux remettre cela à demain."

Harmonie se demandait en même temps comment le remercier. Si seulement, elle pouvait l'aider d'une manière ou d'une autre. Il avait tellement fait pour elle. Il lui venait une idée. C'était la dernière soirée qu'ils allaient passer ensemble, ce serait elle qui préparerait à manger.

L'aubergiste vint les voir et leur demanda s'ils comptaient manger et Harmonie lui demanda si elle pouvait utiliser sa cuisine. Il la regarda drolement. Depuis quand les mages faisaient ils à manger chez les autres mais son regard suppliant eu raison de l'homme et il la laissa faire. Elle courut à l'étage chercher ce dont elle avait besoin, c'est à dire: un tablier et un crayon qu'elle mettait dans ses cheveux pour les maintenir ensemble.

Elle redescendit et disparut en cuisine. Elle avait retrouvée un regain d'énergie. Elle allait lui préparer un festin de roi, avec l'aubergiste, elle prit tous les ingrédients dont elle avait besoin. Et quand cel afut fait, elle lui versa l'argent nécessaire en le priant de ne rien dire à Edalion, quasi certaine qu'il ne tiendrait pas sa parole.

Pendant ce temps, Mentali venait de finir son bol.
*Merci Edalion. Pour le bol et pour elle. Ne faites pas cette tête là, Harmoni est une excellente cuisinière, il n'y a aucun danger pour qu'elle vous empoisonne durant ce diner.*

Le chat descendit sur les jambes de l'homme et se remonta afin que ses pattes de devant ne viennent toucher le bas du torse. Il le regardait, l'homme semblait totalement plongé dans ses pensées, sans se soucier de lui. Peut être dormait-il déjà intérieurement.
Une heure plus tard, Harmonie revenait avec un plateau dans les mains. Dans un bol: une soupe familialle. Dans la grande assiette, le plat principal: un boeuf bourgignon et dans un plus petit bol: une salade de fruit avec deux gâteaux à la fleur d'oranger.

Elle raporta un deuxième plateau pour Mentali, où il y avait du poisson dans une assiette et un bol d'eau avec à côté des petits gateaux.
Et un dernier voyage à moitié fait pour récupérer dans les mains de l'aubergiste son propre plateau.

Arrivée à la table, elle enleva son tablier et s'assit. Elle regardait l'homme teant sa cuillère fermement à ce que les phalanges en devienent blanches. Il était rare qu'elle cusine pour quelqu'un d'autre que Mentali et elle. Alors, à chauqe fois, elle attendait le verdict avec impatience.

Bon, Edalion était contrait de rester ici à table à attendre d’être gratuitement servit. Il ne s’en plaignait pas, à vrai dire, il ne s’attendait pas non plus à cette surprise. Alors, il en profite pour se détendre un maximum, il retira son armure, ne laissant que sa tunique sans manche, ses brassard, ses gantelets, il le retira, son épée également. Il ressemblait à ce moment-là, à un simple citoyen, si on ne comptait pas les multiples cicatrices sur ses bras et sa musculature de chevalier. Alors qu’il attendait, Mentali lui fit la conversation.

« J’ai quand même hâte, j’ai faim à vrai dire, mais je ne la savais pas cuisinière. »


Le chat disparut, et le chevalier en profita pour aller se laver les mains et passer un peu d’eau sur son visage, il faudra qu’il prenne un bain. Malgré les rumeurs sur la classe des chevaliers, Edalion accroché une importance à l’hygiène de vie et à une image soigné. Peut-être ce soir ou demain matin, selon l’occasion. Quelques temps après, il vit la magicienne de Bénécius arriver avec un plateau. Tout de suite, il reconnut l’odeur, un bourguignon ! Et il fut encore plus surpris de voir une entrée et un dessert, et ben, il était gâté.

« Merci harmonie, c’est très généreux de ta part. »


Il attendait qu’elle se mette à table avec lui, et il constata qu’elle attendait un verdict. Il commença alors par la soupe. Il savoura la première gorgée, mais il ne savait pas comment lui dire. Avec une blague, faire semblant d’être empoisonné ? Faire une petite remarque pour la taquiner ? Non, ce genre de blague il les gardait pour ses confrères. Alors tout simplement-il dit.

« J’ai rarement eu la chance de gouter à une soupe aussi délicieuse. Elle te vient d’où ? Une recette personnelle ? »


Sans attendre la réponse, Edalion continua à savourer sa soupe. Il y allé mollo, il avait envie d’apprécier cette soirée autour de cette table.

La soupe avait tellement plu à Edalion qu'on aurait pu remettre l'assiette dans le placard . Il ne restait plus une goutte. Il avait bien compris que cette recette était précieuse et il n’avait pas du tout l’intention de rompre la tradition . Au fond de lui, il espérait que le jour où il aura sa propre famille, si ce jour arrive un jour, sa compagne lui fera des plats au moins tout aussi succulent que la soupe d’Harmonie.

« J’apprécies la cuisine, je l’exerce également dans mes temps libres, à mes heures perdues. Mais c’est très bon, vraiment ! »

Il attaqua aussi tôt le plat principal, du bourguignon. Parfait, d’abord il prit quelques petites bouchées, histoire de gouter et de savourer, ensuite il mangeait surtout pour se nourrir. Mais à ses gestes et son sourire aux lèvres, on voyait qu’il apprécié la cuisine. Sur ce point il était plus que ravi d’avoir harmonie comme amie. Entre deux fourchettes, il comprit qu’Harmonie était en train de parler à son chat. Elle avait de la chance d’avoir un telle compagnon , Edalion aimerait aussi avoir un tel ami, mais il n’avait pas envie de sortir un animal de son milieu naturel, soit il doit en sauver un et par-dessus tout, l’animal doit l’accompagner de plein gré sans aucune retenue.

« J’ai entendu dire que certaines personnes cuisinaient pour leur compagnon à quatre pattes, tu cuisines pour mentali aussi ? »

Sur un sourire, et une pensée de « pourquoi pas », il continua son assiette et la finit . pour le dessert il entendit un peu, histoire de profiter un peu plus de la présence d’Harmonie, le lendemain, il va falloir rejoindre le château, et quelques chose lui disait que son supérieur voulait le voir.

« Que compte tu faire demain ? si ce n’est pas indiscret ? »

Alors qu'ils mangeaient tranquillement, seul le bruit de leurs couverts dans les plats ne se faisaient entendre, Edalion lui posa quelques questions.

"Oui il m'arrive de cuisiner pour Mentali, du moins, je n'en ai l'occasion que lorsque nous commes sur la route. A aller de Bénécius à je ne sais où pour je ne sais quelle raison."
*Et c'est toujours un régal.* déclarait Mentali qui venait de terminer son repas. Il avait sauté sur le banc où se trouvait Harmonie.

Celle-ci avait égalment terminé, il ne restait plus qu'Edalion qui sembalit déguster son repas le plus longtemps possible. Il lui demanda ce qu'elle comptait faire le lendemain.

"Et bien il me semblait vous l'avoir déjà dit. Je compte aller à la Tour Céleste avec mes sacs et y faire du tri. Tout ce que je ne compte pas garder, je le donnerais aux personnes qui se trouvent près de la Tour et qui travaillent en faveur des plus démuni. Noël arrivera bientôt et les enfant auront des jouets, les adultes auront des vêtements. Ce n'est pas la première fois que nosu mages blancs, travaillont en collaboration avec eux à l'approche des fêtes. Certains préparent des décorations, d'autres aident à faire à manger. Certains apportent des livres, jouets ou autre chose comme cadeau et chaque année, c'est un bonheur de voir les visages de ces personnes se remplirent de gaietée pour un petit moment."

Harmonie eut comme un problème, elle releva la tête rapidement et regarda autour d'elle. Il n'y avait personne à part eux, il se faisait tard, et les clients avaient finis depuis un moment de manger et avaient regagner leur chambre et pourtant... pas loin, elle entendait des pas. Elle se leva et tout allant vers la porte, elle lança à Edalion.

"Ne bougez pas, je reviens tout de suite."

Harmonie ouvrit la porte et aperçut quelqu'un qui s'approchait en se tenant au mur de l'auberge. Harmonie s'avança vers lui pour voir si tout allait bien. Il pleuvait et le vent se déchainait, on voyait bien le temps d'automne et bientôt l'hiver. Quand elle arriva à sa hauteur, elle reconnu l'homme, il s'agissait de son ami Nathan, mais il ne semblait pas aller bien.

"Nathan qu'est ce qui se passe?"

Il n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit et s'écroula dans ses bras. Elle le porta jusqu'à la porte, heureusement qu'ils en étaient pas loin et le posa au sol, avant de refermer la porte. Mias que lui était-il arrivé. Harmonie se mit à genoux mais ne céda pas à lapanique, elle inspecta ses affaires, du sang, il avait été poignardé à plusieurs reprises.
Mais pourquoi lui arrivait-il autant de catastrophe dans la même journée. Il semblait avoir voulu refermer ses blessures tout seul mais certaines étaient sérieuses. Comment avait-il fait pour la retrouver? Il avait du la voir passer quand elle était rentrée à l'auberge. Alors qu'elle le soignait, Mentali, sortit une lettre de sa poche.

Alors que l'instant était parfait, un bon repas dans une ambiance sereine en compagnie d'une amie et de gens qui ne vous veux aucun mal, voila que tout sombre quand la petite fila vers la porte. Un homme, blessé apparament, était allongé près de l'entrée. Dommage, edalion vida son assiette en deux trois mouvements, sauca l'assiette avec le pain, se leva et se dirigea vers eux. Quel gachis! Il aurait bien voulu manger encore, c'était peut être son petit péché . Enfin bref. Il préta son attention sur le nouveau. En entendant Harmonie, il s'agissait d'un certain Nathan. Avant de les rejoindre, le chevalier fila derrière le comptoir, chercher des pensemants, et des bandages, bref totu ce qui faut pour les premiers soins. Il activa le pas, et commença à faire ce qui faut pour le soulager.

"Que c'est il passé?"

Edalion n'était pas un maître dans lart des soins, mais bon, tous les chevaliers digne de ce nom savaient se servir d'un bandage , d'un désinfectant etc. C'est vrai qu'i lavait un des meilleurs médecin avec lui, une mage blanche! C'est pas n'importe qui comme soigneur. Puis, une question lui venait en tête, pourquoi n'est il pas allé à la tour blanche? Surtout en début de nuit, l'auberge est vide à cette heure ci, il à eu de la chance que la magicienne et lui étaient encore là. Puis il vérifia les blessures, pour découvrir ce qui à bien pu faire ça. C'étaient des entailles, mais d'une arme ? Ou d'un animal? Car la fi ndes blessures se finissaient dans un déchiquement , alors soi c'était un coup de griffe, soi, l'arme devait avoir une lame courbé au bout, ou alors très mal aguisé pour arracher ainsi. Biensure, d'autres blessures étaient du à des coups des couteaux. A son avis, il était au mauvais endroit, au mauvais moment.

"Qui est il? un ami?"

Si il s'agissait d'un ou plusieurs malfrats qui sont dans la ville, edalion devait les neutraliser dans l'instant, il ne se permetterait pas que des mauvais rodent dans Bénécuis. et si il s'agissait de gens d'extérieur, le chevalier profiterait d'aller au château pour faire le signalement et lancer un avis de recherche.