(HRP: je prépare un peu d'action ^^)

Avant…voila un mot qui semblait revenir très souvent chez le chevalier, comme si il se contentait du présent et préférait vivre dans ses souvenirs, pas tous du moins, car seul son enfance fut merveilleuse, le reste, jusqu’à aujourd’hui, était très sombre. D’ailleurs , dans ce bain de foule, un itinérant s’arrêta à la hauteur d’Edalion et brusquement le regard de l’homme plus ou moins âgé se remplissait de peur et préférait s’enfuir de plus en plus vite. Ne l’ayant pas remarqué avec tous ces gens, Edalion continuer à s’imaginer son enfance ici. Il se sentait bien avec Miranda à son bras, même si il ne s’agissait que de marque de politesse et de respect, il appréciait beaucoup. Tout en repassant les bons moments dans la tête, Edalion lui répondait :

« Mes parents et moi-même sommes de Naturalia, et comme Bénécuis et Naturalia sont alliées, mes parents venaient vendre leur bien ici et donc nous y passions beaucoup de temps, des semaines entière. Je n’avais jamais vu une ville aussi paisible et reconnaissante envers ses habitants. Et donc, avant, le voleur de 15 ans de tout à l’heure n’aurait été qu’une adolescent demandant de l’aide au premier passant venu, rien que pour manger et il aurait trouvé son petit bonheur. Aujourd’hui, je suis sûr qu’il a tenté de trouver de l’aide, mais au bout de plusieurs refus et avec la faim qui cri rage, il a succombé aux petits délits…J’espère que ça va bientôt changé, j’y metterai du mien si il le faut…oui , je le ferai ! »

Vers la fin de son dialogue, Edalion semblait entrer dans un serment qu’il a fait à quelqu’un, ou qu’il a fait pour quelqu’un. Mais de toute évidence, il fera partit des gens qui changeront l’esprits de cette ville. Sabre au poing ou cœur à l’ouvrage, peu importe, il sera là!
Ainsi, l’elfe s’appelait Miranda. Le guerrier préférait alors l’appeler par son prénom, ça lui permettait d’oublier un peu de savoir ce qu’elle était vraiment. L’appelait « elfe » alors qu’il n’en ait pas sûr, pouvait prêter à confusion.

«Enchanté Miranda »

Alors qu’ils arrivaient enfin après la porte, la ou la foule était moins dense, l’itinérant sembler revenir par derrière, et au lieu d’être allé chercher la garde pour punir un criminel, il a préféré appeler d’autres bandits . Cette fois Edalion avait remarqué ce petit rassemblement de quatre hommes, mais ne fit rien paraître et continua de marcher. Et pour continuer les présentations, il posait des question à son tour.

« Et vous, d’où venez-vous ? En vous observant, j’en ai déduis que vous n’étiez pas d’ici, ai-je raison ? »

Ainsi Miranda était une grande voyageuse, probablement plus que le Chevalier. Ca ne faisait qu’accroître l’intérêt qu’Edalion avait de la demoiselle. Qu’avait-elle vu durant ses voyages ? Qui avait-elle croisée ? Qu’avait-elle découvert et si elle le désirait, quels secrets emportait elle avec ? Tant de question qui venait d’un coup dans l’esprit d’Edalion. Le moment était peu propice à ce genre de conversation, alors il préféra les garder pour plus tard, autour d’un verre, quand les murs n’auront pu d’oreilles. De plus, Miranda semblé savoir cacher ce qu’elle avait en tête, ou alors peut-être avait-elle des trous de mémoire, une histoire douloureuse qui lui ferai mal si elle en parlait. Le chevalier ne pouvait que respecter ce silence, et lui laisser le temps de s’ouvrir à lui. Pour le moment Edalion appréciait de l’avoir rencontrer et qui sait ? Peut-être le début d’une bonne amitié ? Seul le temps mais surtout leurs actes pourront le dire.

Pour le moment, le temps allait leurs donner une occasion de se découvrir un peu plus et surement amener avec lui encore plus de questions. Car Les deux venaient de sortir de la foule et carrefour d’une petite ruelle, l’itinérant du début accosta le couple. Bien que ses yeux trahissent une peur timide, il les invita à regarder ses marchandises, probablement volé ou facilement gagné. Edalion était pas du tout intéressé et Miranda encore moins, enfin, en la regardant la réponse était clair. Mais voilà que deux Hommes les poussaient dans la ruelle et comme si ça ne suffisait pas un dernier se trouvait près du marchand.
Edalion avait juste était surpris par le fait d’être poussé, mais il ne tomba pas et même, il prit soin de tenir Miranda au cas où si elle serait tombée. Et à peine avaient-ils le temps de poser de questions que le marchand criait :

« Toi ! Chien galeux ! Oui toi ! Je t’ai vu y a quelques années, les temps ta vieilli, mais ta démarche et ton œil ne me trompe pas, c’est toi qui m’a volé mes biens ! Rappelle-toi, un chariot avec une bâche bleu, et deux chevaux blanc et noir entre Maléficium et Naturalia… Et aujourd’hui je vois que tu as trouvé une nouvelle victime ! Attention femme ! Il vous aura !... »

Edalion eu du mal à se rappeler, mais au bout de quelques temps, il comprenait pourquoi cette homme n’avait pas appelé les gardes pour venir le chercher. Bien qu’Edalion était possédé d’une rage de tueur, il savait que ce jour-là, ce marchand avait déjà pillé et tué les propriétaires du chariot avant qu’Edalion et ses geôliers arrivaient. Mais même si c’était simplement pour un rendu, Edalion avait massacré tous les bandits comme du bétail, seul celui-là avait réussi à échapper à la fureur du guerrier.

Durant le papotage du marchand, Edalion avait pris soin d’observer ses agresseurs. Les deux qui était derrière avait l’air courbé dans une cape noir, et vu leurs mains qui étaient prête à saisir un objet, il en déduisait qu’ils dissimulaient une arme de petite taille. Quand à celui derrière le marchand, il tenait fièrement un arc avec une flèche déjà en place et pour le marchand, il avait une simple dague à sa ceinture. Le chef ordonna l’attaque. Et les actions furent rapide, et pour une simple personne, trop rapide.
De manière coordonné, les deux agresseurs de derrière sortit un poignard et s’empressa d’attaquer chaque un, une cible. Mais l’un n’a pas eu le temps de le prendre qu’Edalion lui décocha un coup de poing au visage et tout en harmonie, accompagnait le bras du deuxième homme qui descendait pour le faire descendre encore plus bas jusque derrière le dos en finissant avec une clé au poignet. Le chevalier en profita pour se protéger de la fléché ennemi et d’ailleurs, il prit le poignard de son bouclier dans les mains pour contre attaquer avec un jolie lancé de couteau. Etant plus lent que les autres, le chef n’avait pas réagi, mais aussi par peur. Edalion lâcha son bouclier pour aller prendre son adversaire par le col.

« Combien as-tu payé ces hommes ? Quelle horrible histoire leur as-tu raconté pour qu’ils te suivent ? Maintenant tu vas me suivre, je vais peut-être au-devant de problèmes pour mes actes du passé, mais toi tu seras aussi arrêter, la garde sera content de récupérer un vautour comme toi ! »

Le ton d’Edalion avait changé, il parlait froidement, comme si il sélectionnait son ton en fonction du genre de personne qu’il avait en face de lui. Et pour résumer, il y avait un homme assommé derrière Miranda, un autre à terre avec une flèche dans les côtes et un dernier derrière le chef au sol avec un couteau dans l’épaule. Mais voilà, alors que le chevalier était occupé, le premier au sol se releva en regardant Miranda…

La jeune femme avait été en partie sibylline par nécessité, bien incapable de raconter quoi que ce soit sur ses origines et ses précédents voyages… Elle espérait ne pas avoir trop attisé la curiosité de son interlocuteur ou, tout du moins, qu’il interpréterait cela comme un désir de ne pas s’étendre sur le sujet et qu’il aurait la politesse de respecter ce choix… Les évènements tournèrent en sa faveur, du moins sur ce point, puisqu’ils n’eurent plus vraiment l’occasion de discuter de ce sujet. Alors que le marchand itinérant revenait à la charge, visiblement sourd à la réaction négative de ses potentiels clients, la jeune femme discerna des esprits environnant leur petit groupe. Ce n’était pas toujours bon signe. D’expérience elle avait noté que ce genre « d’attroupement » était provoqué par un même désir violent chez les esprits. Peu d’entre eux entraient dans cette catégorie, on y trouvait la haine, la vengeance et, plus rarement, l’amour et un désir de protéger. Et de ce qu’elle voyait des esprits, ces derniers étaient plutôt venus ici en quête de violence. Soit ils haïssaient particulièrement l’un d’entre eux, soit ils espéraient une vengeance indirecte en leur nom…

Elle sentait qu’ils étaient en train de se faire prendre au piège lorsqu’ils les poussèrent un peu rudement en avant, les entraînant encore plus profondément dans la ruelle. Edalion eut la présence d’esprit de maintenir une prise ferme sur son bras, ce qui lui évita de tomber alors que son talon glissait sur un pavé. Les esprits se rapprochèrent encore plus, oppressant légèrement la sidhe de leur présence agressive. Elle sentait qu’ils n’en avaient pas après elle mais plutôt après le chevalier, même si elle ne comprenait pas exactement pourquoi… Ce fut le marchand qui apporta une partie de la réponse. Visiblement si Edalion avait un passé celui-ci était à oublier. Ou à racheter…

La jeune femme se détacha légèrement du chevalier… Difficile de dire si les paroles du marchand avaient eut un quelconque impact sur elle ou si elle cherchait simplement à lui rendre sa liberté de mouvement en prévision d’une potentielle escarmouche. Dans tous les cas bien lui en avait prit puisque les hommes engagés par le marchand ne tardèrent pas à se montrer un peu trop « entreprenants ». Elle avait entendu parler de la rapidité légendaire des chevaliers mais elle fut soufflée par le temps de réaction d’Edalion. Si cet homme avait vraiment désiré la dépouiller, il l’aurait déjà largement fait depuis le temps… En quelques instants la messe était dite, deux hommes mis hors d’état de nuire et leur chef placé entre de bonnes mains, le chevalier se chargeant d’un début d’interrogatoire relativement musclé.

Les esprits en avaient certes après Edalion mais ils devaient estimer que la shaman était un parti neutre qui ne méritait pas une mort traitresse. Plusieurs d’entre eux pointèrent du doigt l’homme en train de se relever dans le dos de la jeune femme. Comprenant le danger, elle se retourna vivement et jeta sa dague en avant, au jugé, sans même chercher à viser qui que ce soit. La lame s’arrêta tout contre la gorge du malandrin, tournoyant lentement alors que la pointe piquait déjà la chaire tendre et sans défense. Se déplaçant avec précautions, sans quitter l’homme des yeux, la jeune femme alla se positionner de l’autre coté de la ruelle, dos au mur afin de s’assurer qu’elle ne serait plus prise en traitre.

-Je vous déconseille de bouger. Et ce conseil vaut pour tous. Il semblerait que votre chef ait une petite discussion, nous aviserons après ce qu’il convient de faire de vous…

Sans quitter les hommes du regard, elle s’adressa directement à Edalion.

-Je n’ai que faire de cet homme ou ses propos mais j’ai peur que ses « employés » n’aient leur propre opinion sur une arrivée de la garde. Que comptiez-vous faire d’eux ?

Pour l’instant ils étaient relativement coincés. Si Miranda tenait le dernier homme valide en respect, elle n’était pas du genre à l’abattre froidement.

Alors qu’Edalion était occupé avec le bandit qui se prenait pour un noble marchand, Miranda avait dévoilé une étrange capacité. Mais avant de s’intéresser à la façon dont elle se débrouillait, il fallait savoir que faire de ces quatre-là. Bien sûr, le chevalier n’avait aussi que faire de ces hommes. Et quelques années auparavant, il les aurait tué simplement comme ça sans chercher un pourquoi ni un comment. Mais ce jour-là, les tuer été pas nécessaire. En jetant un coup d’œil sur les bibelots du faux marchand, il avait l’idée de les remettre aux autorités, comme l’aurait fait un chevalier. Bien sûr il prenait le risque à ce que les propos de tout à l’heure lui causent des problèmes, mais avec tous ces objets volés, Edalion supposé que les paroles de ce chef ne serait pas pris en considération. Il regarda Miranda et lui répondit :

« Je vais les attacher et attirer les gardes ici juste avant que nous partions, je ne tiens pas à rester plus longtemps avec eux, on pourrait m’accuser de complicité. »

Edalion donna un coup de genou dans le ventre du marchand pour que celui-ci reste au sol en train de se tortiller de douleur. N’ayant pas de corde sur lui, Edalion ramassa la dague et découpe les ceintures des quatre hommes. Avec l’aide de Miranda, il les regroupa et les attacha avec les ceintures. Et pour finir, il renversa tous les objets voler sur leur tête, histoire qu’ils soient bien visible. Maintenant il s’agissait d’appeler la garde.

« Miranda, pouvez-vous vous en charger svp ? Vous me retrouverez quelques mètres plus loin. »
Ceci fait, Edalion prit un morceau de papier et avec le sang d’un des hommes et il écrivait :

-Voici 1 voleur de grand chemin et 3 mercenaires, leur dernière tentative ont eu raison d’eux.-

Le chevalier déposa le mot sur eux et partit de la ruelle direction la rue principal, il s’adossa contre une petite fontaine en attendant Miranda. Il se demandait simplement si la garde ne poserait pas trop de question à Miranda, s’il le faut, il était prêt à intervenir. Il espérait également que cette histoire n’aura pas de résonnance sur la suite des évènements. De plus, il s’imaginait que Miranda devait avoir pas mal de question à lui poser, mais pour lui, il n’était pas encore temps de dévoiler toutes ses cartes, pas encore…

Edalion espérait que tout se passait bien. Mais malgré leur bonnes actions, il se sentait un peu coupable d’avoir entrainé Miranda la dedans, car c’est bien à cause de lui que ce marchand les avait attaqué. De plus, il n’aimait pas devoir fuir devant les porteurs de justices, mais d’après lui, les gardes ne chercheraient pas a savoir si Edalion était bon ou pas. Si leurs assaillants avaient parlé devant lui sur ses massacres du passés, ils l’auraient surement embarqué aussi. Mais en voyant Miranda revenir vers lui, il se disait qu’il lui devait une explication, lui raconter le pourquoi de ses agissements. Bien que cette dame semblait bizarre par moment, car le chevalier l’avait bien vu ,de temps en temps, regarder en l’air ou à un endroit où il n’y avait rien , quelques instants. Mais bon, lui aussi avait des mystères, rien que son œil caché était un mystère. Ce qui rassura le guerrier, c’est que Miranda sembler encore vouloir de sa compagnie en prenant son bras et avec ses paroles, Edalion ne pu s’empêcher de sourire. Ensemble Ils continuaient à marcher, et pendant quelques secondes, Edalion resta silencieux avant de dire :

« Je suis désolé de vous mêler à tout ça, mes agissements doivent vous paraître étrange. Je défends le bien mais je fuis devant ses agents…Et bien, si vous avez un peu de temps à me consacrer, je vous dévoilerai la raison. Mais sachez que je n’ai jamais voulu la mort de qui que ce soit, mais quand l’esprits ne dirige pu son enveloppe physique ça peut faire de gros dégâts… »

Le chevalier regardait devant lui et au final, il se disait que en parler un peu lui ferai probablement du bien, si elle était prête à l’écouter évidament. Et de toute façon, tôt au tard, il savait que toute cette histoire allait le rattraper. D’un côté son passé lui a offert les compétences pour défendre le bien, mais à quel prix ? Si tout cela ne se serai pas passé , il serait encore un simple fermier, labourant tranquillement les champs familiale et cotoyant les gens sans ce soucier de ce qu’ils pourraient découvrire. Bref ! Edalion se frotta légerement la figure et décida de penser à autres chose un peu, comme à cette femme qui lui tenait le bras.

« Puis-je vous inviter à déjeuner ? Ou simplement à vous désalterer ? Je n’ai pas mangé depuis un bon bout de temps et si je peux bénéficier d’une compagnie aussi charmante que la votre j’en serai ravi. Sans vouloir abuser de vous. »

Edalion avait retrouvé un petit sourire, et chevalier ou pas, il restait humain et donc la faim qui va avec et les autres besoins. De plus, il préféra raconter son histoire autour d’une table que ici dans la rue. Appart si elle avait autre chose à lui proposer, après tout elle avait surement des affaires en cours elle aussi. Une visite ? Un travail à faire ? peu importe. Il était même prêt à lui offrire son bras plus longtemps.

Edalion sentait qu’il allait passer une bonne fin de journée. Il adorait se retrouver autour d’une table à discuter dans une ambiance chaleureuse et jovial. De plus il semblerait que l’un comme l’autre, ils auraient beaucoup à raconter. Le chevalier, en plus d’être un bon combattant avait un excellent coup de fourchette et qu’à certains moments, il valait mieux l’avoir en peinture qu’en vrai. Encore une fois, ce genre de situation lui rappela sa jeunesse, son enfance, lorsque ses parents et lui étaient invités chez des amis ou à un banquet, un fête de village. Tous s’était toujours bien passés et en général à la fin ils avaient des amis supplémentaires. Malheureusement Edalion était seul aujourd’hui et il espérait secrètement que son cercle d’amis allait commencer par Miranda.
Pour la fameuse adresse, Le guerrier avait déjà sa petite idée, bien que ça fait longtemps qu’il n’est pas allé là-bas. Un endroit très chaleureux ou les ennuis ne peuvent entrer. L’accueil y est exemplaire, la nourriture saine et à foison et les gens d’une gentillesse rare. Bien qu’il se doutait que le propriétaire ne le reconnaîtra pas, il avait hâte de mettre à jour ses souvenirs en redécouvrant cet endroit. Il se souvenait même que les magiciens et les chevaliers appréciaient particulièrement ce lieu. Et Edalion répondit avec une légère fierté :

« Nous irons au Caudron Etoilé, cela vous convient ? »

De plus cet auberge qui faisait surtout restaurant, n’était pas très loin, il n’y avait que quelques rue à passer puis un par cet ensuite, ils pourront voir l’enseigne de loin. Et d’un ton sincère et avec son plus beau sourire, le chevalier se permettait d’ajouter :

« Je suis ravi de vous avoir à mes côtés, et je vous remercie de ne pas être comme ceux qui ne voyaient pas au-delà de ce que leur yeux leurs disent. »

Edalion jeta un dernier coup d’œil derrière lui, inspectant ainsi les mouvements de gardes, des gens, d’éventuelles suiveurs ou des indiscrets qui voudrai se joindre à eux un peu plus tard, car il voulait à tout prix ne pas être déranger par des problèmes sans aucune fondement de plus, sa nature le poussait à rendre les moments agréable d’une dame aussi agréable que possible et faire de lui un compagnon exemplaire. Il ne s’en vantait pas, mais il prenait soin des autres autant qu’il prenait soin de lui-même.

[HRP, je penses qu'on peut fermer ici et tu peux commmencer au chaudron étoilé]