~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~

~~ Mordekaiser - Garen Evans ~~

Identité

Nom : Evans
Prénoms : Morderkaiser - Garen
Surnom: Le Givré/Le Prisonnier
Age : 30 ans
Sexe : Masculin
Statut: Aigrefin
Race: Humain
Alignement : Loyal - Mauvais

Pouvoirs : Contrôle des ombres - Force surhumaine

Pouvoir au choix :Peau de fer

Armes: Epée à deux mains - Arbalète

Arme niveau 3 :
Marteau de bravoure : Marteau de guerre forgé à partir d'un morceau de la poignée de la rapière de Kessler Evans brisée dans son dernier combat contre le Royaume de Cieux. La légende raconte que la poignée a été imprégnée de la force de volonté de Kessler Evans et que seuls ses descendants sont capables de manier cette arme. Pouvoir associé : Réflexes accrus.

Main d'appui :Gaucher

Description

Caractère : Mordekaiser est un homme rendu terne et plutôt silencieux par l'injustice dont il a été victime. Autrefois un jeune aspirant chevalier honorable quoique plaisantin à ses heures, Mordekaiser s'est révélé, et ce depuis l'éveil de ses pouvoirs, capable du pire. Héritier maudit de Kessler Evans, il n'avait pourtant jamais imaginé marcher sur les traces de son ancêtre. Cependant, pour survivre dans le monde dans lequel il était tombé malgré lui, il fallait avoir une personnalité brutale et ne jamais montrer le moindre signe de faiblesse. Sans savoir à quel moment il en était arrivé là, Mordekaiser avait fini par intégrer tous ces principes n'oubliant pas toutefois comment se montrer courtois avec les dames une fois loin du regard de ses confrères Aigrefins qui le poussait à se conduire en rustre pour ne pas être rejeté du seul groupe qui assurait sa survie.

Physique :Mordekaiser était tout comme son ancêtre Kessler, un véritable colosse. Hormis l'entraînement qu'il avait suivi, ce qui avait donné à Mordekaiser ce physique était le port permanent de chaînes lourdes et de deux boulets au lieu d'un seul pour les prisonniers standards. Des petits yeux sombres et perfides surmontent un visage carré et souvent fermé. Ses cheveux longs et bruns sont souvent coiffés en arrière pour ne pas gêner de trop sa vue. Il n'est pas rare de voir Mordekaiser porter la barbe, l'homme en question ne se préoccupant que peu de son apparence. Caractéristique étonnante : Morderkaiser porte toujours à son poignet un fer et trois maillons de chaine pour ne pas oublier d'où il vient.

Historique

Histoire :Huit générations après la mort de Kessler Evans lors de la dernière guerre naquit Garen. Depuis longtemps, le honteux passé d'Aigrefin de la lignée avait été enterré et en partie oublié notamment par un changement de nom de la famille renommée Stark, mais aussi par un changement de statut des hommes de celle-ci devenus chevaliers. Garen Stark était un homme exemplaire tant et si bien qu'il avait fini par atteindre les hautes sphères de la Rose Rouge sans pourtant parvenir au niveau du chef de l'Ordre. Cet homme eut un fils à qui il donna son propre nom et qu'il éduqua comme un chevalier devait l'être après le décès de son épouse survenu dans la première année de Garen Le Jeune.

En élève attentif et talentueux, il fit la fierté de son père, cependant, Garen Le Jeune n'avait jamais pu prendre ses fonctions au sein de la Rose Rouge : Il n'avait pas de pouvoir et était par conséquent inapte au combat malgré sa maîtrise des armes et son savoir. L'un des doyens de l'Ordre était un dénommé Laan et se trouvait être un ami proche de Garen L'Ancien. L'homme était connu au sein de son Ordre non seulement pour sa vaillance mais surtout pour l'étrange pouvoir de lire les augures dont il disposait. Souvent, il divaguait et parlait tout seul mais tous l'écoutaient avec attention.

Depuis son plus jeune âge, Garen Le Jeune avait remarqué que ses confrères le regardaient de haut et il sentait émanant d'eux une forme de crainte. Il pensait que c'était parce qu'il ne disposait pas de pouvoirs, mais dans ce cas pourquoi le craindrait-on ? Un jour, il posa la question à son père et ce dernier lui révéla l'histoire de son lineage ; le passé de son ancêtre Kessler Evans et la réputation que la famille s'était employée à oublier. A de maintes reprises et toujours dans le dos de Garen Le Jeune, Laan avait révélé que le neuvième de la lignée Evans depuis Kessler et donc le dernier né à cette époque reprendrait la place de son ancêtre et que sa véritable nature se réveillerait la nuit de ses vingt ans. Par respect pour Garen L'Ancien et ne pouvant affirmer que tout ce que disait Laan était vrai, les autres chevaliers n'en ont jamais fait part au chef de l'Ordre.

Le soir de ses vingt ans, Garen Le Jeune sentit un étaux se refermer sur lui, d'avantage encore que les autres soirs. Ses camarades le méprisaient et il pensait savoir pourquoi. Il était l'un des rares au sein de l'Ordre à ignorer les dires de Laan. Il croyait donc que ce mépris venait du fait que le sang de Kessler Evans coulait dans ses veines et rien de plus. La journée avait été particulièrement stressante, l'entraînement avait été long et les coups bas de ses confrères s'étaient multipliés mais c'était sans compter sur le fait que tous les chevaliers de son âge qui partageaient le même dortoir que lui dormaient déjà à son arrivée. Les seules fois où ses soit disant camarades avaient feinté de dormir aussi tôt étaient justement les nuits où ils avaient prévu de lui faire une mauvaise blague qu'il tâchait toujours de prendre avec humour. Après tout, tous ces jeunes excepté lui avaient Laan pour tuteur et malgré son air vieux-jeu et ultra-disciplinaire, il restait un vieillard tordu aux yeux du jeune Stark.

Ne pouvant rien faire contre cela, Garen gagna à son tour son lit et s'endormit conscient qu'un sceau d'eau glacée risquait de le réveiller quelques minutes plus tard.

La nuit avait passé tranquillement, elle avait même été et cela à la grande surprise du jeune homme, la nuit la plus paisible qu'il n'avait jamais passé. Pourtant, une fois descendu du lit, Garen découvrit une scène horrible. Tous les jeunes gens qui partageaient le même dortoir que lui avaient été sauvagement assassinés et leur sang répandu dans la pièce. Seul le lit de Garen avait été épargné. Un détail attira cependant l'attention du garçon horrifié : Tous ses confrères avaient dormi près de leur épée. Quel genre de farce lui avaient-ils préparé cette fois là ?

Un hurlement d'effroi ébranla les fondations du château de Bénecius et malgré lui, Garen senti des larmes rouler sur ses joues. Laan, en armure et l'épée en main, arriva en trombe dans la chambre en vociférant des insultes adressées à l'héritier maudit de la lignée Evans. Aussitôt, une flopée de gradés déboulèrent dans la chambre et retinrent le vieux Laan de commettre le meurtre auquel il avait dessein. En larmes devant le massacre de ses protégés, Laan ne résista pas et répéta qu'il les avaient tous prévenus.

En état de choc, Garen Le Jeune ne prit même pas conscience qu'on l'avait ferré et qu'on l'amenait à l'extérieur de la citée. La seule chose dont il avait été conscient à ce moment là était le regard méprisant de son père. Désormais, il ressemblait à celui de tous les autres chevaliers avec en plus une noirceur à la profondeur indécelable. Garen fut emmené à Naturalia et on le conduisit aux ruines du château, anciens quartiers de la Rose Rouge. On dégagea un passage conduisant au sous-sol et on le jeta dans une des geôles en gageant que jamais il ne pourrait en sortir. Autour de lui croupissaient les squelettes des anciens détenus qui avaient été condamnés à mourir le jour où le château avait été détruit et où les ruines avaient recouvert les geôles. Ça puait l'urine et la mort.

Cela faisait plusieurs jours que Garen était seul dans l'obscurité totale. Ses yeux s'étaient néanmoins suffisamment accommodés à cet environnement pour qu'il puisse distinguer les silhouettes des rats qui passaient près de lui. Il avait faim mais n'avait même pas la volonté nécessaire pour tenter d'attraper un rongeur. De toute façon, deux boulets réduisaient à néant toutes ses chances de se déplacer rapidement sans compter que même s'il parvenait à tenir un ou deux jours de plus, il finirait par mourir.

Les Dieux seuls savent combien de temps après avoir mené cette réflexion, Garen entendit des pas dans le couloirs. Il se leva avec toutes les peines du mondes et parvint à se trainer jusqu'aux grilles de sa geôle pour voir si son imagination ne lui jouait pas des tours. Après tout, cela aurait été chose normale après avoir passé autant de temps isolé dans le noir.

Mais un homme était bien là. C'était un grand guerrier aux cheveux longs portant une armure rapiécée et dont l'obscurité ne permet pas de donner une approximation de l'âge. Cependant, sa stature colossale permettait d'assurer qu'il avait de l'expérience.

"Tu vas vivre, ne t'en fais pas. Je t'ai choisi." Assura l'homme d'une voix tranquille.

"Qui es-tu ? Et comment es-tu entré ?!" Aboya Garen devant l'inconnu qui le prenait de haut selon toute vraisemblance.

"Eh bien, à ton âge je ne pouvais pas faire autant de bruit. C'est bien, c'est prometteur." Répondit l'homme toujours aussi serein.

Soudain, il disparu, laissant Garen à nouveau seul dans le silence. Le jeune homme s'effondra et perdit connaissance à cause de l'épuisement. Ce qui se passa ensuite resta un mystère et ce également pour Garen lui-même.

La première chose dont il se souvienne ensuite, c'est qu'un bruit de débris déplacés à la hâte le tira d'un profond sommeil. Soudain, une horde d'hommes taillés dans des troncs d'arbre déboulèrent avec des torches dans le souterrain. Il y avait tellement longtemps que Garen n'avait pas vu la lumière qu'il cru que ses yeux avaient littéralement fondu en voyant les flammes dansantes. C'est alors que l'un des hommes s'approcha de lui et appela ses camarades, non mécontent d'avoir trouvé quelqu'un.

"Bah, on nous avait dit qu'il y aurait des Aigrefins, là dedans, mais y'a qu'un seul gars. Ça fait combien de temps que tu moisis dans ce trou ?" Demanda un autre à Garen.

"Je sais pas, je compte plus. J'avais vingt ans quand on m'a jeté ici."

Dès lors, un rire malsain secoua l'assemblée. Certains disaient qu'il avait des cases en moins, d'autres qu'ils étaient sûrs que plus aucun prisonnier n'était enfermé ici depuis longtemps et qu'il serait mort depuis longtemps si on l'avait enfermé aussi longtemps, que les sources étaient "bidons" et cetera et cetera.

"Tu sais te battre ?" Demanda celui qui l'avait trouvé.

"J'ai des notions." Avait répondu Garen sans la moindre once de certitude.

Les hommes lui ôtèrent ses chaînes et le firent sortir dans le couloir. On lui donna une épée et l'un des rustres se distingua du nombre, une lance à la main.

En faisant un peu plus attention, Garen constata que sa barbe avait poussé pour atteindre une épaisseur qu'il ne lui aurait jamais imaginé. Quel âge avait-il ? Comment se faisait-il qu'un humain avait pu survivre aussi longtemps dans un souterrain abandonné et ce sans même se rappeler comment ?

Avant qu'il n'ait eu le temps de mettre un terme à ses propres interrogations, son adversaire l'attaqua de front. Par réflexe, Garen parvient à dévier l'attaque mais il se trouva rapidement désarmé, ayant perdu la quasi totalité des notions qu'il avait acquis en tant qu'aspirant chevalier. Pour le punir de son incompétence, l'homme asséna à Garen un violent coup latéral de sa lance, en plein dans le bras. A la surprise générale, la lance se brisa et l'extrémité brisée alla s'écraser contre un mur. Le bras de Garen s'était recouvert d'une substance grise et très dure, de l'acier selon toute vraisemblance. Aussitôt, l'effet disparu. L'ancien prisonnier n'en revenait pas.

"T'es p'tet givré mais t'as quelque chose, comment tu t'appelles ?" Demanda la lancier qui avait compris que le combat était terminé.

Un court instant, il hésita. Il portait le nom de Garen Stark, mais si ses hommes étaient des Aigrefins comme ils l'avaient sous-entendu eux-mêmes, il serait tué sur le champ si quelqu'un connaissait son patriarche. Il choisit alors un nom guttural et sans signification, comme le lui avait semblé sa vie jusque là.

"Je m'appelle Mordekaiser, Mordekaiser Evans."

Un nouveau rire gras secoua les barbares.

"En plus il est marrant ! On en as pas beaucoup des comme toi. Félicitation le givré, t'es un Aigrefin maintenant."

A l'évidence, on ne le croirait pas mais en suivant ces brutes, la nouvelle recrue avait une chance de sortir de ce trou.

Comment avez-vous connu le forum? :Anciennement Kessler Evans sur la précédente version de celui-ci, pour vous servir.

Compagnon Animal / Familier

Nom : X

Description :X

Rencontre :X

Pouvoir :X

Bienvenue sur Nel Beraid ~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~ 3982057981

Je suis contente de te revoir parmi nous ~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~ 4086215773

~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~ 2675203089

( et Ambrosia va être ravie! )

Je ta valide avec plaisir ^^ Bon jeu sur le forum ~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~ 3982057981

*lui sautes au cou et lui fais un énoooooooooooooooooooooorme calin*

Bienvenue parmi nous mon chéri

Au plaisir de rp avec toi

Groooooooooooooooooos Bisous

» ~ Journal de l'héritier maudit ~
» Souvenirs de nos ancêtres [Morgane Evans]
» Quand le rubis maudit, corrompt la gorge [ Cyric / Niavhe ]
» ~Quête~ Que ma volonté soit ton bouclier [Morgane Evans]

~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~

~Morderkaiser Garen Evans - L'héritier maudit~

Sujets similaires

Sujets similaires